Mamadou Tall Thiombane est depuis 2014 le président de l’Association des parents d’élèves d’une école à Rufisque. Le retraité de 61 ans est réputé pour son engagement dans la scolarité de sa fille et dans les activités de l’établissement. Le 16 juin dernier, il est complètement sorti de ses gonds à cause d’une maîtresse qui aurait sévèrement corrigé sa fille.
D’après L’Observateur, qui relaie cette affaire dans sa livraison du jour, Mamadou Tall Thiombane était dans tous ses états lorsqu’il a remarqué des marques de coups sur le corps de son enfant. Il décide de se rendre à l’école pour régler son compte à l’enseignante.
D’après le directeur de l’école, c’était en pleine composition. En arrivant sur place, d'après le chef d'établissement, le parent d’élève, l’insulte à la bouche, s'est dirigé vers la classe de sa fille en criant le nom de la maîtresse. Certains enseignants, alertés par le bruit, s’interposent. Une bagarre s’engage. Un des instituteurs, Mamadou Seck, s’en sort avec une fracture à la clavicule.
Devant la résistance opposée par le personnel de l’établissement, Mamadou Tall Thiombane rebrousse chemin. Mais en rentrant chez lui, il profère des menaces de mort à l’endroit de la maîtresse de sa fille.
Prenant ces menaces au sérieux, l’administration de l’école a porté plainte contre le parent d’élève. Qui a été arrêté et placé sous mandat de dépôt.
Mamadou Tall Thiombane a été jugé hier, mardi, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour coups et blessures volontaires. Il a déclaré à la barre que Mariama Diallo a frappé sa fille avec un fouet en bronze, lui causant des blessures à la hanche.
Et lorsqu’il a débarqué dans l’établissement, c’est Mamadou Seck, l’instituteur qui s’est retrouvé avec une fracture, qui lui a asséné en premier un coup de poing. «J’ai riposté et on est tombé ensemble, raconte-t-il. Il a voulu arracher mon œil gauche avec ses deux doigts. Ses collègues et la femme du gardien ont pris parti. Cette dernière était armée d’un pilon.»
Le procureur a requis l’application de la loi. La défense a demandé la requalification du délit de coups et blessures volontaires en coups et blessures involontaires. Le tribunal a condamné le mis en cause à trois mois avec sursis, malgré que la partie civile se soit finalement désistée.
D’après L’Observateur, qui relaie cette affaire dans sa livraison du jour, Mamadou Tall Thiombane était dans tous ses états lorsqu’il a remarqué des marques de coups sur le corps de son enfant. Il décide de se rendre à l’école pour régler son compte à l’enseignante.
D’après le directeur de l’école, c’était en pleine composition. En arrivant sur place, d'après le chef d'établissement, le parent d’élève, l’insulte à la bouche, s'est dirigé vers la classe de sa fille en criant le nom de la maîtresse. Certains enseignants, alertés par le bruit, s’interposent. Une bagarre s’engage. Un des instituteurs, Mamadou Seck, s’en sort avec une fracture à la clavicule.
Devant la résistance opposée par le personnel de l’établissement, Mamadou Tall Thiombane rebrousse chemin. Mais en rentrant chez lui, il profère des menaces de mort à l’endroit de la maîtresse de sa fille.
Prenant ces menaces au sérieux, l’administration de l’école a porté plainte contre le parent d’élève. Qui a été arrêté et placé sous mandat de dépôt.
Mamadou Tall Thiombane a été jugé hier, mardi, devant le tribunal des flagrants délits de Dakar pour coups et blessures volontaires. Il a déclaré à la barre que Mariama Diallo a frappé sa fille avec un fouet en bronze, lui causant des blessures à la hanche.
Et lorsqu’il a débarqué dans l’établissement, c’est Mamadou Seck, l’instituteur qui s’est retrouvé avec une fracture, qui lui a asséné en premier un coup de poing. «J’ai riposté et on est tombé ensemble, raconte-t-il. Il a voulu arracher mon œil gauche avec ses deux doigts. Ses collègues et la femme du gardien ont pris parti. Cette dernière était armée d’un pilon.»
Le procureur a requis l’application de la loi. La défense a demandé la requalification du délit de coups et blessures volontaires en coups et blessures involontaires. Le tribunal a condamné le mis en cause à trois mois avec sursis, malgré que la partie civile se soit finalement désistée.
7 Commentaires
Thiombane
En Juillet, 2022 (09:53 AM)Malaraw
En Juillet, 2022 (10:17 AM)En avant rek, que personne ne recule. On finira par fuir chez les autres car on aura deja preparé l'enfer dans notre pays