Sur le site principal de l’université, 13 chantiers ont été engagés dont certains depuis 8 ans. A l’instar du bloc Ufr et Cri, entamés sous le magistère du ministre Ahmed Tidiane Bâ.
Quant aux bâtiments réceptionnés, les finitions ont été faites à la hâte. La peinture est encore fraiche sur les murs. A peine installés, certains loquets pendouillent. Le campus social, souffre des remontées d’eau. Au restaurant, le toit a manqué de peu de s’effondrer sur les étudiants.
Pas moins de 460 millions ont été déjà injectés à l’université Assane Seck. Les travaux de rénovation et d’extension vont engloutir pour près de 6 milliards. Tous les coûts ont été engagés et pourtant rien ne va à Assane Seck. « Les restaurants ne sont pas encore ouverts. On nous avait promis qu ils allaient ouvrir le 5 de ce mois. C est pareil pour les logements qui sont impraticables. Les bâtiments sont envahis par les herbes, les chambres par les moustiques. L eau est inexistante. Nous sommes obligés d aller au dehors pour chercher de quoi manger. Parfois nous préparons dans nos chambres pour avoir le déjeuner », s’est indigné un étudiant en 4ème année au département de Mathématique Physique-Chimie et Informatique.
Pas moins de 460 millions ont été déjà injectés à l’université Assane Seck. Les travaux de rénovation et d’extension vont engloutir pour près de 6 milliards. Tous les coûts ont été engagés et pourtant rien ne va à Assane Seck. « Les restaurants ne sont pas encore ouverts. On nous avait promis qu ils allaient ouvrir le 5 de ce mois. C est pareil pour les logements qui sont impraticables. Les bâtiments sont envahis par les herbes, les chambres par les moustiques. L eau est inexistante. Nous sommes obligés d aller au dehors pour chercher de quoi manger. Parfois nous préparons dans nos chambres pour avoir le déjeuner », s’est indigné un étudiant en 4ème année au département de Mathématique Physique-Chimie et Informatique.
Son camarade Massaer Badji, vice-président de la commission sociale, étudiant en 3ème année à la faculté Sciences et Technologies explique les dures conditions dans lesquelles ils évoluent. « Nous sommes obligés de passer la nuit dans les couloirs parce que nous leur avons rendus les clés des chambres. Chacun se débrouille pour la restauration depuis le jour de notre arrivée, le 05 octobre. Le restaurant est dans un état insalubre, c’est seulement avec la visite du ministre qu’il a été nettoyé et le toit refait, confie-t-il. Il y a quelques temps il avait cédé ». Pour les membres du Personnel administratif technique et de service (Pats) également, la vie n’est pas des meilleures. « Nous manquons des locaux pour le personnel administratif.
Nous sommes obligés de nous entasser dans les bureaux, en plus d un manque de matériel de bureaux. Ce sont des problèmes récurrents à l université », s’est plaint Ibrahima Gassama.
Devant la kyrielle de doléances et des promesses non tenues, Rama Diatta, député, a relevé l’urgence de corriger ses impairs. « Tout est urgent. Rien ne va à l université Assane Seck. Des entrepreneurs gagnent des marchés de constructions pour ensuite faire ce qu ils veulent sans qu il ait un suivi. C est anormal. Des lenteurs dans la livraison des infrastructures sont déplorables d autant que l autorité contractante respecte son engagement financier. Quand un entrepreneur installé à Dakar gagne un marché pour ensuite procéder à la sous-traitance, c est un problème. Ça ne marche pas. Ils évoquent toujours les problèmes de sécurité. Il faut que l Etat prenne ses responsabilités. Les entrepreneurs ne sont pas compétitifs. Il y a un laisser-aller total. Il faut que ces entrepreneurs soient sanctionnés pour le retard de livraison des infrastructures qui durent des années», a martelé la parlementaire.
Devant la kyrielle de doléances et des promesses non tenues, Rama Diatta, député, a relevé l’urgence de corriger ses impairs. « Tout est urgent. Rien ne va à l université Assane Seck. Des entrepreneurs gagnent des marchés de constructions pour ensuite faire ce qu ils veulent sans qu il ait un suivi. C est anormal. Des lenteurs dans la livraison des infrastructures sont déplorables d autant que l autorité contractante respecte son engagement financier. Quand un entrepreneur installé à Dakar gagne un marché pour ensuite procéder à la sous-traitance, c est un problème. Ça ne marche pas. Ils évoquent toujours les problèmes de sécurité. Il faut que l Etat prenne ses responsabilités. Les entrepreneurs ne sont pas compétitifs. Il y a un laisser-aller total. Il faut que ces entrepreneurs soient sanctionnés pour le retard de livraison des infrastructures qui durent des années», a martelé la parlementaire.
12 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2015 (09:48 AM)Casa2
En Octobre, 2015 (10:35 AM)Babs
En Octobre, 2015 (10:42 AM)M Abdoulaye Seck
En Octobre, 2015 (11:06 AM)2/ les agents de l'etat doivent effectuer les controles
3/ les manquements ,les retards doivent etre sanctionnes
4/ des travaux mal effectues ne doiv ent pas etre receptiones
5/ si les travaux mal executes sont receptionnes et paqyes , c'est qu' il y'a presomption de corruption ; il faut poursuivre les agents vereux et obliger l'entreprise a reprendre les travaux ou rembourser les sommes percues,
IL FAUT ETRE FERME ET NE PAS LAISER FAIRE SINON LE PAYS N AVANCERA JAMAIS
Lynx
En Octobre, 2015 (11:24 AM)Pivot
En Octobre, 2015 (12:39 PM)Mols
En Octobre, 2015 (12:48 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (13:20 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (13:40 PM)Vous pouvez y constater naturellement que l'UGB 2 livré il y a quelques mois est dans un état lamentable déjà.
A qui la faute? peronne
Anonyme
En Octobre, 2015 (13:43 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (13:54 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (11:24 AM)pour devenir voyant professionnel.
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