La présidente du Haut conseil du dialogue social (Hcds) a rencontré, hier, des responsables syndicaux, les ministres de l’Education et du Travail, les associations des parents d’élèves et la société civile. Une année scolaire zéro perturbation est à entrevoir.
L’Etat veut guérir son espace scolaire de sa maladie chronique : la grève.
A l’entame de la rentrée scolaire 2015-2016, la présidente du Haut conseil du dialogue social (Hcds), Innocence Ntap, a rencontré hier les différents acteurs, en vue d’aplanir les angles. Car, pour Mamadou Diop «Castro», «l’heure est grave et il faut travailler inlassablement» à l’apaisement de l’espace scolaire. Ce qu’Innocence Ntap a compris.
«Le Haut conseil du dialogue social est dans la logique, avec ses partenaires, de créer les conditions d’une année scolaire stable et apaisée. Parce que, à travers le Plan Sénégal émergent (Pse), notre pays s’est doté d’un cadre de développement économique et social devant traduire une vision du Pse à l’horizon 2035, avec une société solidaire et dans un Etat de droit. Dans cette ambition de réaliser l’émergence dans la solidarité, l’éducation occupe une place essentielle et le dialogue social, une place de choix», a-t-elle déclaré, lors de la cérémonie de la session prérentrée.
Conformément aux dispositifs sur les consultations tripartites de l’Organisation internationale du travail (Oit), Mamadou Diop «Castro» estime qu’il «faut une instauration d’un climat apaisé dans le milieu scolaire, dans la perspective de renforcement de la démocratie sociale et de consolidation des relations professionnelles apaisées».
Le ministre de l’Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, qui a présidé la rencontre, a annoncé qu’il «y a un engagement très fort de la communauté internationale pour régler des difficultés que connaît le système éducatif et de formation au niveau de tous les pays sous-développés et des pays en voie de développement, ainsi que les pays à revenus intermédiaires». Pour lui, «notre pays ne pourra tirer profit de cet engagement de la communauté internationale que s’il réduit les conditions propices à prendre en charge les problèmes d’éducation et de formation d’ici 2030», a-t-il indiqué.
«La formation des enseignants est une préoccupation du gouvernement»
Dans toutes leurs revendications, les enseignants ont réclamé la formation de leur personnel. Ainsi, selon Serigne Mbaye Thiam, ceci reste une préoccupation pour le gouvernement du Sénégal. «La formation des enseignants qui est une revendication, est en même temps une préoccupation du gouvernement. Et ces défis, nous ne pouvons les relevés que si nous travaillons ensemble», a indiqué le ministre de l’Education nationale.
A l’en croire, «200 écoles primaires sont en train d’être construites à travers tout le territoire national et que la question des conditions d’enseignement et d’apprentissage doit être réglée».
MARIEME SALL (STAGIAIRE)
L’Etat veut guérir son espace scolaire de sa maladie chronique : la grève.
A l’entame de la rentrée scolaire 2015-2016, la présidente du Haut conseil du dialogue social (Hcds), Innocence Ntap, a rencontré hier les différents acteurs, en vue d’aplanir les angles. Car, pour Mamadou Diop «Castro», «l’heure est grave et il faut travailler inlassablement» à l’apaisement de l’espace scolaire. Ce qu’Innocence Ntap a compris.
«Le Haut conseil du dialogue social est dans la logique, avec ses partenaires, de créer les conditions d’une année scolaire stable et apaisée. Parce que, à travers le Plan Sénégal émergent (Pse), notre pays s’est doté d’un cadre de développement économique et social devant traduire une vision du Pse à l’horizon 2035, avec une société solidaire et dans un Etat de droit. Dans cette ambition de réaliser l’émergence dans la solidarité, l’éducation occupe une place essentielle et le dialogue social, une place de choix», a-t-elle déclaré, lors de la cérémonie de la session prérentrée.
Conformément aux dispositifs sur les consultations tripartites de l’Organisation internationale du travail (Oit), Mamadou Diop «Castro» estime qu’il «faut une instauration d’un climat apaisé dans le milieu scolaire, dans la perspective de renforcement de la démocratie sociale et de consolidation des relations professionnelles apaisées».
Le ministre de l’Education nationale, Serigne Mbaye Thiam, qui a présidé la rencontre, a annoncé qu’il «y a un engagement très fort de la communauté internationale pour régler des difficultés que connaît le système éducatif et de formation au niveau de tous les pays sous-développés et des pays en voie de développement, ainsi que les pays à revenus intermédiaires». Pour lui, «notre pays ne pourra tirer profit de cet engagement de la communauté internationale que s’il réduit les conditions propices à prendre en charge les problèmes d’éducation et de formation d’ici 2030», a-t-il indiqué.
«La formation des enseignants est une préoccupation du gouvernement»
Dans toutes leurs revendications, les enseignants ont réclamé la formation de leur personnel. Ainsi, selon Serigne Mbaye Thiam, ceci reste une préoccupation pour le gouvernement du Sénégal. «La formation des enseignants qui est une revendication, est en même temps une préoccupation du gouvernement. Et ces défis, nous ne pouvons les relevés que si nous travaillons ensemble», a indiqué le ministre de l’Education nationale.
A l’en croire, «200 écoles primaires sont en train d’être construites à travers tout le territoire national et que la question des conditions d’enseignement et d’apprentissage doit être réglée».
MARIEME SALL (STAGIAIRE)
4 Commentaires
Anonyme
En Octobre, 2015 (08:53 AM)Anonyme
En Octobre, 2015 (16:07 PM)Vivalacasa
En Octobre, 2015 (21:04 PM)Anonyme
En Octobre, 2015 (12:08 PM)pour devenir voyant professionnel.
Cette formation ouverte à tous, prépare et accompagne les personnes qui
dans un but professionnel souhaite réaliser des consultations de voyance.
Cette formation propose pendant 10 jours une approche complète du métier
de voyant en étudiant spécifiquement la numérologie ainsi que le
fonctionnement de la capacité de voyance.
Démarrage du stage prévu le 26 octobre 2015
Les places sont limitées renseignements au 33 823 54 72
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