La Conférence des établissements privés d’enseignement supérieur du Sénégal (Cepes) est déçue par La loi de finance rectificative que l'État a fait voter pour apurer une partie des dettes qu’il leur doit. Car, l’Etat leur doit toujours un bon pactole.
"Le projet de loi adopté lundi 11 juin relatif à une Lfr 2018 illustre l'absence de volonté quant à l'apurement totale des montants dus aux établissements privés. Car, il y est prévu une dotation de 3 milliards pour un apurement partiel des factures dues aux Epes pour l'année académique 2016-2017", explique Mamadou Gning.
Il ajoute : "Ce montant représenterait 4,61% du total du projet de loi chiffré à 65 milliards. Cette dotation représente 1/5 du montant en jeu de 16 milliards, dont le ministre lui-même, a fait l'annonce dans la presse le 8 juin 2018".
3 Commentaires
Khatior-bi
En Juillet, 2018 (15:07 PM)Khatior-bi
En Juillet, 2018 (15:07 PM)Anonyme
En Juillet, 2018 (18:07 PM)Participer à la Discussion