Ils sont près de cinq (05) mille titulaires du baccalauréat, sans être orientés dans une université sénégalaise. Ces derniers s’impatientent. Ils veulent des actions concrètes et demandent également à être orienter. Ces bacheliers non-orientés acceptent aussi d’être inscrits dans les Universités privées mais exigent les mêmes conditions sociales que les étudiants des autres facultés publiques.
Ils l’ont savoir cet après-midi au cours d’une conférence de presse au pavillon A de l’Université Cheikh Anta Diop (Ucad) de Dakar. Saliou DIAO, le porte-parole des bacheliers n’emprunte pas quatre chemins pour exposer leurs revendications. « Nous ne rejetons pas les Universités privées. Mais à condition qu’on nous accorde le même privilège. Il s’agit de notre accès aux restaurants au même titre que les autres étudiants, avoir les mêmes cartes d’étudiants, accès aux bibliothèques, avoir une bourse, etc. Parce que nous sommes tous des fils des paysans et nous venons presque tous de l’intérieur du pays », tambourine le porte-parole des ceux sont au seuil de l’Université après l’obtention du baccalauréat.
Toutes leurs revendications a été remises au médiateur. Pour l’heure, ils n’ont rien de concret sous la main et promettent, si rien est fait dans 72 heures, de jouir de la violence pour se faire entendre afin d’être orientés comme tous les bacheliers du Sénégal, selon la Rfm. Appelés aussi des « déflatés », ces bacheliers sont près de 05 mille venus de tous les quatre du Sénégal.
9 Commentaires
Bbbb
En Mars, 2013 (21:43 PM)Ba
En Mars, 2013 (21:51 PM)Thiey Sénéweb...
En Mars, 2013 (22:18 PM)Bèye
En Mars, 2013 (22:20 PM)vraiment relisez ce que vous publiez. L'article est truffé de fautes.
Problème de syntaxe noire.
Avec toutes mes excuses.
Nullard De ?
En Mars, 2013 (01:01 AM)l'orientation n'est pas un droit, stop aux menaces à l'autorité ça ne marche pas comme ça. s'il y'a des régles il faut les respecter!
L'education, Un Droit
En Mars, 2013 (01:26 AM)Futur_president_du_senegal
En Mars, 2013 (02:29 AM)Par ailleurs, je souhaite que l'Etat crée des centres de redressement du style ''Kaomi'' que tous les étudiants ou toutes les personnes qui jouissent de la violence et de troubles à l'ordre public soit déférés dans ces casernes pour une durée à déterminer par un juge d'application. Ces camps devront être un lieu de redressement éducatif, de pépinières de récoltes afin d'inviter les pensionnaires des lieux aux travaux d'intérêt général voir travaux forcés.
il est temps que cesse la violence et le chantage!
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En Mars, 2013 (13:57 PM)Jo
En Mars, 2013 (11:39 AM)Participer à la Discussion