En cette veille de rentrée scolaire, le Cadre unitaire des enseignants du moyen secondaire (Cusems) est monté au créneau pour lister les maux qui gangrènent le système éducatif.
Des maux qui, selon le Cusems, ont pour nom : politisation, négligence, favoritisme, népotisme. Et c’est face à la presse, relaye Vox Populi, que le Cusems a étalé sa conviction « dans le but d’alerter l’opinion nationale sur les dangers qui guettent nos écoles ».
Profitant de l’occasion, le syndicat a également dénoncé de toutes ses forces la fermeture de l’école Yavuz Selim par les autorités sénégalaises.
6 Commentaires
Oubli
En Septembre, 2017 (07:51 AM)les enseignants propriétaires de la majorité des écoles privées sabotent l'école publique pour amener les parents à inscrire leurs enfants dans les écoles privées. en même temps ils maintiennent leurs salaires du public.
ayez pitié des élèves, l'Etat a fait d'énormes efforts pour le secteur de l'éducation.
maintenant les enseignants qui veulent les indemnités des autres corps n'ont qu'à faire les concours professionnels. quand on choisit un concours on choisit ses indemnités. évitons le nivellement par le bas, les courageux n'ont qu'à tenter les concours professionnels.
Anonyme
En Septembre, 2017 (10:24 AM)Anonyme
En Septembre, 2017 (13:39 PM)Anonyme
En Janvier, 2018 (19:01 PM)Anonyme
En Janvier, 2018 (19:01 PM)Anonyme
En Janvier, 2018 (19:01 PM)Participer à la Discussion