Le département de Diourbel a un déficit d’enseignants dans l’élémentaire.
Plus d’un mois après l’ouverture des classes, plusieurs enfants sont obligés de rester encore chez eux faute de maîtres. Le Comité départemental de développement, axé sur la rentrée scolaire, a été un prétexte pour Moussa Mbaye, Inspecteur de l’éducation et de la formation de Diourbel, de tirer la sonnette d’alarme.
« On se retrouve avec un gap de 53 enseignants en français et 14 en langue arabe, ce qui fait un total de 67 maîtres», annonce l’inspecteur Moussa Mbaye. Au niveau de ce département, les effectifs du préscolaire sont assez faibles avec un Tbps de 12,18% par rapport à la moyenne nationale qui est de 14,70 %. On note cependant une évolution de ce taux qui est passé de 5% en 2014 à 12,18% en 2015. Cette faiblesse, d’après l’inspecteur Moussa Mbaye, s’explique par plusieurs facteurs.
« Les structures d’accueil de la petite enfance ne suffisent plus, les effectifs du personnel de la petite enfance sont insuffisants, il y a l’absence de création de nouvelles écoles maternelles publiques depuis presque 15 ans, en zone rurale, les structures sont très rares malgré la forte population pré-scolarisable, la faible implication des collectivités locales en termes d’appuis ou de subventions.»
Ce Comité départemental de développement, présidé par le préfet Saer Ndao, a permis de savoir que les différents examens professionnels ne sont pas totalement bouclés : Car, sur les 404 candidats, 190 attendent d’être inspectés.
Au cours de ce Comité départemental de développement, l’Ief a souligné «la nécessité de construire le Cem de Pikine dont l’état de dégradation est très avancé.
Plusieurs correspondances ont été envoyées au ministre de l’Education nationale pour le sensibiliser sur l’urgence de cette question de réhabilitation du Cem». <9> badiallo@lequotidien.sn
Plus d’un mois après l’ouverture des classes, plusieurs enfants sont obligés de rester encore chez eux faute de maîtres. Le Comité départemental de développement, axé sur la rentrée scolaire, a été un prétexte pour Moussa Mbaye, Inspecteur de l’éducation et de la formation de Diourbel, de tirer la sonnette d’alarme.
« On se retrouve avec un gap de 53 enseignants en français et 14 en langue arabe, ce qui fait un total de 67 maîtres», annonce l’inspecteur Moussa Mbaye. Au niveau de ce département, les effectifs du préscolaire sont assez faibles avec un Tbps de 12,18% par rapport à la moyenne nationale qui est de 14,70 %. On note cependant une évolution de ce taux qui est passé de 5% en 2014 à 12,18% en 2015. Cette faiblesse, d’après l’inspecteur Moussa Mbaye, s’explique par plusieurs facteurs.
« Les structures d’accueil de la petite enfance ne suffisent plus, les effectifs du personnel de la petite enfance sont insuffisants, il y a l’absence de création de nouvelles écoles maternelles publiques depuis presque 15 ans, en zone rurale, les structures sont très rares malgré la forte population pré-scolarisable, la faible implication des collectivités locales en termes d’appuis ou de subventions.»
Ce Comité départemental de développement, présidé par le préfet Saer Ndao, a permis de savoir que les différents examens professionnels ne sont pas totalement bouclés : Car, sur les 404 candidats, 190 attendent d’être inspectés.
Au cours de ce Comité départemental de développement, l’Ief a souligné «la nécessité de construire le Cem de Pikine dont l’état de dégradation est très avancé.
Plusieurs correspondances ont été envoyées au ministre de l’Education nationale pour le sensibiliser sur l’urgence de cette question de réhabilitation du Cem». <9> badiallo@lequotidien.sn
4 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (20:00 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (23:53 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (00:31 AM)Anonyme
En Novembre, 2015 (08:36 AM)Participer à la Discussion