Le Fonds monétaire international (Fmi) a mis en suspens le programme de financement de 1000 milliards de francs Cfa conclu avec le Sénégal en 2023 et reporté à 2025 le versement de 338 milliards initialement prévu cette année. L’institution de Bretton Woods a pris cette décision après que le Premier ministre, Ousmane Sonko, a déclaré qu’un rapport de l’Inspection générale des finances (Igf), à viser par la Cour des comptes, pointe un maquillage des comptes publics entre 2019 et 2023.
En attendant de s’accorder avec le Fmi pour un nouveau programme d’ici à quelques mois, Dakar a trouvé un moyen de faire face à l’exécution budgétaire 2024. Dans un communiqué repris par Le Soleil, le ministère des Finances et du Budget annonce que le Sénégal a levé, ce mercredi 30 octobre, 300 millions de dollars (181 milliards de francs Cfa) sur le marché financier international.
L’opération «entièrement souscrite par la banque américaine Jp Morgan» a été conclue au taux de 6,33% pour une maturité de sept ans et assortie d’une couverture contre le risque de taux de change, souligne la source. Qui signale qu’elle «traduit la confiance renouvelée des investisseurs internationaux en la signature du Sénégal».
En attendant de s’accorder avec le Fmi pour un nouveau programme d’ici à quelques mois, Dakar a trouvé un moyen de faire face à l’exécution budgétaire 2024. Dans un communiqué repris par Le Soleil, le ministère des Finances et du Budget annonce que le Sénégal a levé, ce mercredi 30 octobre, 300 millions de dollars (181 milliards de francs Cfa) sur le marché financier international.
L’opération «entièrement souscrite par la banque américaine Jp Morgan» a été conclue au taux de 6,33% pour une maturité de sept ans et assortie d’une couverture contre le risque de taux de change, souligne la source. Qui signale qu’elle «traduit la confiance renouvelée des investisseurs internationaux en la signature du Sénégal».
Le ministère des Finances a fait savoir dans son communiqué, selon le même journal, que cette levée de fonds «est la dernière émission de titres du pays sur le marché financier international pour l’année 2024».
30 Commentaires
JP MORGAN emprunté de l argent. Ensuite il le prête au Sénégal.
Simplement
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Tout est dit! Des "boroom bor" qui prêtent après et te notent
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En Octobre, 2024 (08:26 AM)-
Vous avez résumé la "finance internationale" avec ses magouilles en quelques mots. Merci
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En Octobre, 2024 (08:27 AM)Toto
En Octobre, 2024 (08:31 AM)-
MDR
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En Octobre, 2024 (09:52 AM)Esprit
En Octobre, 2024 (08:35 AM)Si oui, alors ils excellent dans la malhonnêteté.
Pour une institution tant décriée, ils finissent par se réjouir même d’une simple note d’encouragement ou de félicitation venant d’elles.
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Que veut dire
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En Octobre, 2024 (09:03 AM)La crise des subprimes
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Les eurobonds ne sont-ils pas libellés en euro ? Tu as besoin de te couvrir contre un risque de change sur une monnaie avec laquelle tu as une parité fixe ?
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En Octobre, 2024 (11:58 AM)Reply_author
En Novembre, 2024 (17:59 PM)Aujourd'hui, qu'est-ce qui a changé depuis cette date ?
Qui a réellement pris l'initiative du report du décaissement, ne s'agit pas du FMI, compte tenu d'abord de l'eurobond lancé par l'Etat ou les déclaration du PM ?
si tant est que les chiffres sont "faux et falsifiés" comme l'a déclaré le PM, pourquoi alors s'endetter encore, alors que la situation n'est toujours pas claire et stabilisée.
- si la situation du Sénégal est aussi catastrophique pourquoi s'endetter encore et encore à des conditions opaques.
je rappelle à ce jour la cour des comptes n'a toujours pas confirmé ou infirmé les dires du PM
Ce Gouvernement semble faire dans la manipulation à outrance : les déclarations politiciennes rattrapent toujours et causent souvent du tord au Pays
Al Gore
En Octobre, 2024 (09:27 AM)Ngoné Latyr
En Octobre, 2024 (09:37 AM)L'Etat du Sénégal doit séparer au plus vite avec les FMI - BM et autres et faire comme l'avait fait l'Algérie en son temps, quand les ressources additionnelles du pétrole et du gaz vont tomber, il faudra rembourser toutes nos dettes et se séparer définitivement de toutes ces institutions qui ne sont rien d'autres que des prédateurs. Nous subissons leur pollution depuis le début de l'ère industrielle et ils viennent nous endormir avec des concepts : Adaptation - COPxx - Finance Carbone - JETP et autres promesses qui ne seront jamais tenues. Pour les COPxx, ils avaient promis aux pays les plus faibles et plus impactés une somme de 100 milliards de USD par ans pendant 10 ans pour lutter contre le réchauffement climatique NADA.
Merci,
Moi
En Octobre, 2024 (10:37 AM)à viser par la Cour des comptes,
Morgan
En Octobre, 2024 (10:46 AM)En l espace de deux mandats
Alors que avant ces positions
Ils prenaient des cars rapides
ET des NDIAGA Ndiaye pour se rendre au boulot
Ils ontacquis des terrains des immeubles
ET ont des pretes-noms pour se couvrir dans Divers domaines
C est l'argent des sénégalais
C est les biens du public
Il faut les dénigrer
Il faut que Ces richesses MAL ACQUISES
reviennent aux citoyens lamda
5 mai 2024 - 16:00
Pour stimuler la transition vers une économie durable et renforcer la résilience aux catastrophes naturelles, le Maroc a bénéficié en mars dernier d’un financement de 3,3 milliards de dirhams, représentant la première parcelle du prêt de 1,3 milliard de dollars octroyé par le Fonds monétaire international (FMI).
En septembre 2023, le Conseil d’administration du FMI a donné son aval à un financement de 1,3 milliard de dollars en faveur du Maroc, dans le cadre de la Facilité pour la résilience et la durabilité. Une première tranche de financement de l’ordre de 3,3 MMDH a été ainsi débloquée en mars à la suite d’une réunion stratégique avec des experts du FMI, au cours de laquelle l’engagement du Maroc envers plusieurs mesures visant à renforcer la résilience de son économie face aux impacts des changements climatiques a été minutieusement examiné, apprend-on de nos sources bien informées.
Bathe Faye
En Octobre, 2024 (11:12 AM)Freemind
En Octobre, 2024 (11:23 AM)Quelle déchéance !
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Evidemment , var ces gens gouvernent à vue. Apparemment ils n'ont pas de stratégie claire, ils tatonnent clairement et jouent avec notre avenir
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En Octobre, 2024 (11:56 AM)Max
En Octobre, 2024 (11:43 AM)Mba
En Octobre, 2024 (11:46 AM)Non sérieusement,on a préféré gatsa gatsa d'Ousmane sonko et on lui a donné raison devant la pauvre A.Sarr eh Bein assumons...yallah baaxneu ...
Non sérieusement,on a préféré gatsa gatsa d'Ousmane sonko et on lui a donné raison devant la pauvre A.Sarr eh Bein assumons...yallah baaxneu ...
Psycho
En Novembre, 2024 (07:04 AM)Nous voulons des politiques qui vont attirer les grands financements et en ressort, les jeunes auront du travail, paieront les impôts qui vont financer d’autres structures et rembourser les dettes.
Toutes ses grandes institutions que sont la Sonatel, Seneau, Poste doivent diversifier leurs activités et aller vers l’agriculture, l’hôtellerie, l’artisanat, la formation, la pêche, etc.
En tout cas dans tous les pays visités c’est comme ça qu’ils ont construit leur développement.
Il faut assainir nos politiques économiques et éviter ses répétitions aveugles et puériles.
Amadou Kl
En Novembre, 2024 (20:11 PM)Boly Gou Kheuteu
En Novembre, 2024 (02:42 AM)en ta qualite' de chef de gouverneme t et tu pars emprunter 181 milliards et un fou comme Malick Ndiaye se permet de defendre ce gros mensonge
Comme Senegal bougoul lou baakh, lou fa seuss? LOU BONE
Boly Gou Kheuteu
En Novembre, 2024 (02:42 AM)en ta qualite' de chef de gouverneme t et tu pars emprunter 181 milliards et un fou comme Malick Ndiaye se permet de defendre ce gros mensonge
Comme Senegal bougoul lou baakh, lou fa seuss? LOU BONE
Pourquoi se plaindre des difficultés rencontrées après avoir travaillé soi-même à détruire la crédibilité du Sénégal auprès des partenaires financiers ?
N'a-t-il pas lui-même dit avoir pris l'initiative de l'audit des finances publiques ?
Audit non encore certifié par la cour des comptes mais malencontreusement rendu public par un PM pressé d'avoir un os à ronger lors des législatives.
Les conséquences de ce point de presse sont désastreuses pour notre pays et le ministre s'en rend compte 'aujourd'hui .
Et d'ailleurs , si demain la cour des comptes invalidait tout ou partie des chiffres du rapport d'audit révélés par sonko, quel serait l'attitude du gouvernement ?
Du FMI ?
Quelle urgence y'avait- il donc à rendre public un document non encore certifié avec toutes les conséquences présentes et à venir ?
Li moye rambakh deug !
Mais le plus dur est à venir, le Sénégal devant s'attendre, si les chiffres se confirment, à un plan d'ajustement structurel avec la suppression des subventions sur certains produits de grande consommation.
Ceux qui ont vécu l'ajustement structurel sous Abdou Diouf avec aux manettes le duo Mamoudou Touré/ Cheikh Hamidou Kane savent à quoi s'en tenir.
Aka metti !
Espérons que ce sera moins dur à vivre cette fois-ci.
En tout cas, quel que soit l'issue de cette histoire, SONKO et son gouvernement nous auront plongés dans une situation que l'on aurait pu éviter.
C'est la première que l'on voit un pays travailler à se placer volontairement et consciemment sous les fourches caudines du FMI.
Et c'est l'oeuvre du gouvernement PASTEF.
Dans d'autres pays on ruse ,on triche même avec les chiffres pour ne pas en arriver là.
Donc TOUT SAUF LE PASTEF pour une gouvernance plus responsable.
Votez et faites voter contre le Pastef pour plus de sérénité dans manière de gérer notre pays.
Sonko da fa rambakh.
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