Depuis le 2 janvier, le Sénégal a démarré son mandat de membre non permanent du Conseil de sécurité de l’Onu. Durant sa mission, Dakar va présider le Groupe de travail sur les opérations de paix et le Comité des sanctions concernant la République du Soudan du Sud.
Le mandat du Sénégal en tant que membre non permanent du Conseil de sécurité de l’Organisation des nations unies (Onu) a démarré officiellement le 2 janvier dernier. Dans un communiqué, le ministère des Affaires étrangères et des Sénégalais de l’extérieur a listé les aspects sur lesquels le Sénégal va axer son intervention durant la durée de son mandat au sein de cette organisation. Dans le document, on souligne que «dans un monde affligé par maintes situations de crise et même de guerre et un Conseil de sécurité de nouveau en butte à des clivages internes, le Sénégal entend privilégier le dialogue et la recherche du consensus pour le règlement de ces conflits».
De même, on informe qu’«il entend aussi y faire jouer à fond la diplomatie préventive pour amener le Conseil de sécurité à faire davantage de prévention, ce qui n’est le cas actuellement». Pour mener cette diplomatie de prévention, le Sénégal «compte introduire dans son agenda des thématiques nouvelles comme «Eau-paix-sécurité», «Santé-paix-sécurité’’ et en contribuant activement à la mise en œuvre de celles actuellement examinées comme «Femmes-paix-sécurité» et «Jeunes-paix-sécurité»».
En outre, on informe qu’en plus des activités variées citées ci-dessus, notre pays va «d’entrée de jeu assumer des responsabilités particulières au sein du Conseil de sécurité».
En outre, on informe qu’en plus des activités variées citées ci-dessus, notre pays va «d’entrée de jeu assumer des responsabilités particulières au sein du Conseil de sécurité».
Ainsi, le Sénégal étant «7ème plus gros contributeur mondial de troupes (militaires, de police et civils), 3ème au plan africain et 1er à l’échelle ouest-africaine» sera «chargé de présider deux importants organes subsidiaires que sont : le Groupe de travail sur les opérations de paix et le Comité des sanctions concernant la République du Soudan du Sud».
«Il est aussi vice-président pour les thématiques «Prévention des conflits en Afrique de l’Ouest» et «Protection des enfants en périodes et zones de conflits», en plus d’être «Porte-plume» (Pen holder) pour la situation dans le Sahel et la situation en Guinée-Bissau», a-t-on ajouté dans le document.
<12>dkane@lequotidien.sn
5 Commentaires
Anonyme
En Janvier, 2016 (19:37 PM)Abk
En Janvier, 2016 (20:01 PM)Abk
En Janvier, 2016 (20:01 PM)Abk
En Janvier, 2016 (20:01 PM)Galse Yewou Len
En Janvier, 2016 (22:54 PM)donc y a que wade qui n a pas goutte a l argent sale de diack et sa coalition
jeunes juges levez vous faites front c est votre honneur qui est en jeu seneweb j espere que vous cesserez de trier les articles pour n en montrer que ceux qui plaisent au gouvernement ne soyez pas des fakes
y a pas que les 1 500 000 euro l argent depasse plus que çà karim a un dossier corser qu il pilotera pour mettre le senegal sur les rails des grandes pays de justice qui emprisonne des juges des magistrats des hommes politiques et des anciens présidents et çà sera une premiere car etant le porte flambeau de la démocratie africaine grâce a ton pere WADE on doit etre les premiers a juger des corrompus de haut rang des bandits au colle blanc blanchisseurs des grands scandales
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