La nouvelle collectivité communale de Dianah Malary issue du dernier découpage administratif de la nouvelle région de Sédhiou (sud) est dans un marasme infrastructurel qui hante le sommeil des autorités municipales.Le maire de la ville, Bademba Bayo, face à la presse a réclamé un lycée moderne construit en dehors des locaux du collège qui abrite les deux cycles (moyen et secondaire) soulignant que les collèges d’enseignement moyen (Cem) des villages de Sakar, Oudoucar, Samécanta, Kolibantang et Karantaba déversent chaque année au lycée de Dianah Malary leurs heureux élus au Bfem.
L’édile de la ville a également martelé que la taille géographique et démographique de sa collectivité exige une structure sanitaire autre qu’un dispensaire, rappelant que les normes de l’organisation mondiale de la santé (Oms) voudraient qu’une population égale à dix mille habitants puisse disposer d’un médecin, donc d’un hôpital.L’autorité municipale regrette que chaque année, l’association Wélémy basée en France fait don au dispensaire d’un important matériel de chirurgie et de médicaments que l’infirmier redistribue à l’hôpital de Sédhiou faute de pouvoir l’utiliser.Correspondance à Sédhiou
3 Commentaires
Emile Sambou
En Novembre, 2012 (13:53 PM)Welimi
En Novembre, 2012 (14:46 PM)Un Diannois
En Novembre, 2012 (04:59 AM)Participer à la Discussion