La ville de Thiès est depuis vendredi la capitale de la culture, le lieu de convergence des acteurs culturels qui ont pris part à l’ouverture du festival «Kaay Thiès», une invitation à découvrir les richesses culturelles de la cité aux deux gares. Le lancement des activités a eu lieu en présence du maire de Thiès Talla Sylla, du gouverneur de région, Amadou Sy représentant le ministre de la Culture, du président des écrivains du Sénégal, Alioune Badara Bèye, des autorités religieuses, coutumières et locales.
Riche en couleurs, le festival au programme diversifié qui se tient à plusieurs endroits de la ville, a débuté par une série de démonstrations, un défilé en tenues traditionnelles. Des sérères aux manjacks en passant par les bainouk, les hal pulaar, les diolas, tout ce qui fait la diversité de la région de Thiès a été déroulée hier sur la Promenade des Thiessois.
Pour le maire de la Ville, initiateur du festival, cet évènement ne saurait avoir aucune connotation politique, mais se veut un rendez-vous annuel dont l’objectif est de faire de Thiès la première destination culturelle du Sénégal en fin d'année.
«Talla Sylla a su transformer ce bureau qu’on disait le bureau hanté. Il a su en faire un bureau béni, c’est le bureau de feu Léopold Sédar Senghor», a témoigné le président des Ecrivains du Sénégal, Alioune Badara Bèye, invité d’honneur du festival «Kaay Thiès».
«Thiès est non seulement un foyer culturel mais un carrefour de dimension internationale qui gère toutes les sensibilités aussi bien cultuelles, attractives et en même temps créatrices», a-t-il ajouté.
Revoir la prestation du comédien Cheikh Seck au festival Kaay Thiès.
2 Commentaires
Anonyme
En Décembre, 2017 (08:51 AM)Anonyme
En Décembre, 2017 (17:04 PM)Diantre, nous sommes 98% de musulmans adeptes d'une religion qui a l'avantage d'être complète( on y rajoute rien , pas de bida) et parfaite (applicable en tout temps et tout lieu) . Donc il y a , pour votre information car vous semblez avoir passé votre temps à acquérir des sciences inutiles) il y aune manière islamique pour faire chaque chose. Faire le golo et le pitre ne sont pas des pratiques admises.Le Prophète, SAW, ne disait-il pas "si vous saviez ce que je sais , vous rirez peu et pleurerez beaucoup" .
D'ici quelques années , ces mêmes acteurs pleureront sur leurs sorts, car il ne peut pas y avopir de baraka dans leurs occupations.
il est encore temps de faire un repentir sincère et se réconcilier avec son Créateur qui aime ceux qui reviennent à Lui.
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