L’écrivaine franco-sénégalaise, Fatou Diome, a affirmé mercredi que le niveau d’une société dépend de la manière dont celle-ci «traite ses enfants, ses femmes et ses malades».
« Je ne crois pas au machisme et c’est très africain. Le machisme est d’ailleurs plus africain qu’européen», a soutenu l’auteure de La préférence nationale (recueil de poèmes, 2001) et du roman Le Ventre de l’Atlantique (2003), lors d’une rencontre littéraire avec des lycéens à Dakar.
Elle animait une rencontre littéraire avec des élèves du lycée Saïdou Nourou Tall de Dakar dans le cadre de la 15éme édition de la Foire internationale du livre et du matériel didactique de Dakar (Fildak) qui s’est ouvert hier.
Appelant à la tolérance et à la justice sociale, Fatou Diome a dit à la centaine de lycéens que «la douceur que vous donnez n’est pas une faiblesse, c’est une tendresse que vous recevrez en retour».
«Mon objectif en ce moment est de continuer à semer la paix et la fraternité», a-t-elle confié aux élèves, ajoutant qu’elle «rêve de construire des bibliothèques partout dans le monde en commençant par Niodior», dans les Îles du Saloum, où elle est née en 1968. Docteur en philosophie et littérature,
Fatou Diome a fait comprendre à son jeune auditoire que « la meilleure manière d’aider l’Afrique à progresser, c’est d’aider l’école, donc le savoir ».
Aps
« Je ne crois pas au machisme et c’est très africain. Le machisme est d’ailleurs plus africain qu’européen», a soutenu l’auteure de La préférence nationale (recueil de poèmes, 2001) et du roman Le Ventre de l’Atlantique (2003), lors d’une rencontre littéraire avec des lycéens à Dakar.
Elle animait une rencontre littéraire avec des élèves du lycée Saïdou Nourou Tall de Dakar dans le cadre de la 15éme édition de la Foire internationale du livre et du matériel didactique de Dakar (Fildak) qui s’est ouvert hier.
Appelant à la tolérance et à la justice sociale, Fatou Diome a dit à la centaine de lycéens que «la douceur que vous donnez n’est pas une faiblesse, c’est une tendresse que vous recevrez en retour».
«Mon objectif en ce moment est de continuer à semer la paix et la fraternité», a-t-elle confié aux élèves, ajoutant qu’elle «rêve de construire des bibliothèques partout dans le monde en commençant par Niodior», dans les Îles du Saloum, où elle est née en 1968. Docteur en philosophie et littérature,
Fatou Diome a fait comprendre à son jeune auditoire que « la meilleure manière d’aider l’Afrique à progresser, c’est d’aider l’école, donc le savoir ».
Aps
5 Commentaires
Sago
En Novembre, 2015 (17:54 PM)Wotw
En Novembre, 2015 (18:15 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (19:20 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (21:13 PM)elle aurait plutôt dit "la meilleure manière d’aider l’Afrique à progresser, c’est d’aider l’école, donc le savoir en venant dispenser des cours dans les universités du Sénégal au lieu de vivre en France »'
Anonyme
En Novembre, 2015 (10:19 AM)Participer à la Discussion