La vie a ses réalités profondes qui transcendent nos simples manœuvres
individuelles. Elle avance à un rythme soutenu que nul d’entre nous ne peut
supporter. On la suit pourtant jour et nuit et continue à la suivre nuit et jour, de
tout le temps dans son rond périple. Elle nous dicte sa loi, nous manipule à sa
guise et nous fait subir ses soubresauts. Elle nous accueille à notre naissance
à bras ouverts avec de grands honneurs, nous « accompagne » à sa façon
d’une manière non consensuelle durant tout le temps qu’on reste à sa merci
(le temps d’une vie), avant de nous livrer à la mort mystérieuse. Insaisissable,
elle nous saisit pourtant autant que nous sommes, nous malmène, nous
contrarie, nous bouleverse. Impuissant devant elle, on se laisse faire face à
une vie tumultueuse qui ne sourit qu’à ceux qui acceptent son ping-pong. La
vie nous transporte dans ses émotions sinueuses. Tractations et équivoques,
énigmes et ambiguïtés, larmes et sang, guerre et trahison, pauvreté et
discrimination constituent sa ration.
individuelles. Elle avance à un rythme soutenu que nul d’entre nous ne peut
supporter. On la suit pourtant jour et nuit et continue à la suivre nuit et jour, de
tout le temps dans son rond périple. Elle nous dicte sa loi, nous manipule à sa
guise et nous fait subir ses soubresauts. Elle nous accueille à notre naissance
à bras ouverts avec de grands honneurs, nous « accompagne » à sa façon
d’une manière non consensuelle durant tout le temps qu’on reste à sa merci
(le temps d’une vie), avant de nous livrer à la mort mystérieuse. Insaisissable,
elle nous saisit pourtant autant que nous sommes, nous malmène, nous
contrarie, nous bouleverse. Impuissant devant elle, on se laisse faire face à
une vie tumultueuse qui ne sourit qu’à ceux qui acceptent son ping-pong. La
vie nous transporte dans ses émotions sinueuses. Tractations et équivoques,
énigmes et ambiguïtés, larmes et sang, guerre et trahison, pauvreté et
discrimination constituent sa ration.
Une fois rassasiée, elle fait sa débande
chez son ennemi juré. Celui qu’elle fait semblant de chérir par son matériel
fictif, son bonheur passager, ses richesses dévastatrices et son trésor
éphémère. Celui-là qu’elle a fini de dominer dans tous les compartiments de
lutte sans le lui dire. Celui, qui sans cesse, lui court après et à qui, elle joue
des tours inélégants.
Celui qu’elle jongle de fort belle manière à son corps défendant. Celui-là :
l’homme, elle l’a dépouille de son âme, son sens humain, sa mesure, sa
sagesse, et lui laisse désespoir, mépris, méchanceté, connerie, bref le réduit à
un état animal. Emportant sa pitié, son pardon, sa fidélité et son amour. Oui !
La preuve. Soyez riche, elle vous ragaillardie et vous tente. Soyez-pauvre, elle
vous pousse à la dérive. C’est dans ses possibilités et agissements injustes
et discriminatoires de créer des riches discourtois et de les opposer à des
pauvres incorrects dans un cercle de désordre fratricide.
chez son ennemi juré. Celui qu’elle fait semblant de chérir par son matériel
fictif, son bonheur passager, ses richesses dévastatrices et son trésor
éphémère. Celui-là qu’elle a fini de dominer dans tous les compartiments de
lutte sans le lui dire. Celui, qui sans cesse, lui court après et à qui, elle joue
des tours inélégants.
Celui qu’elle jongle de fort belle manière à son corps défendant. Celui-là :
l’homme, elle l’a dépouille de son âme, son sens humain, sa mesure, sa
sagesse, et lui laisse désespoir, mépris, méchanceté, connerie, bref le réduit à
un état animal. Emportant sa pitié, son pardon, sa fidélité et son amour. Oui !
La preuve. Soyez riche, elle vous ragaillardie et vous tente. Soyez-pauvre, elle
vous pousse à la dérive. C’est dans ses possibilités et agissements injustes
et discriminatoires de créer des riches discourtois et de les opposer à des
pauvres incorrects dans un cercle de désordre fratricide.
Cette vie ! Elle est
vraiment aussi mystérieuse que la mort. L’on donne ainsi raison à cette
assertion devenue proverbiale: « Qu’avons-nous fait pour naitre ? ». C’est
sûr, beaucoup se seraient désistés de venir sur terre s’ils étaient mis au
parfum de ce qu’ils y trouveraient. Malheureusement, nous vivons tous pour
nous qui subissons les tares et brimades de la vie! Heureusement, nous
vivons tous pour nous autres qui profitons de ses faveurs ! D’un côté comme
de l’autre, nous ne sommes pas sûrs de notre destin tellement la vie incertaine
nous coince à chaque fois jusqu’à nos derniers retranchements. Certes
difficile, mais pas impossible de la combattre. Commençons par ne plus vivre
comme avant. Dans tous les cas, nous, vous et moi, n’avons jamais été
parfaits. Et donc essayons de nous parfaire dans notre imperfection. Ainsi
seulement, nous pourrons mieux évoluer en société. Reconnaissons et
aimons notre semblable. Cessons nos manœuvres malpropres. Moi qui écris
ce texte, je décide pendant que ces mots s’extirpent de ma petite inspiration,
d’être quelqu’un d’autre. Toi qui me lis, pendant que ton esprit sculpte les
idées entre ses lignes, décides de ne plus être comme tu étais.
vraiment aussi mystérieuse que la mort. L’on donne ainsi raison à cette
assertion devenue proverbiale: « Qu’avons-nous fait pour naitre ? ». C’est
sûr, beaucoup se seraient désistés de venir sur terre s’ils étaient mis au
parfum de ce qu’ils y trouveraient. Malheureusement, nous vivons tous pour
nous qui subissons les tares et brimades de la vie! Heureusement, nous
vivons tous pour nous autres qui profitons de ses faveurs ! D’un côté comme
de l’autre, nous ne sommes pas sûrs de notre destin tellement la vie incertaine
nous coince à chaque fois jusqu’à nos derniers retranchements. Certes
difficile, mais pas impossible de la combattre. Commençons par ne plus vivre
comme avant. Dans tous les cas, nous, vous et moi, n’avons jamais été
parfaits. Et donc essayons de nous parfaire dans notre imperfection. Ainsi
seulement, nous pourrons mieux évoluer en société. Reconnaissons et
aimons notre semblable. Cessons nos manœuvres malpropres. Moi qui écris
ce texte, je décide pendant que ces mots s’extirpent de ma petite inspiration,
d’être quelqu’un d’autre. Toi qui me lis, pendant que ton esprit sculpte les
idées entre ses lignes, décides de ne plus être comme tu étais.
Prends cet
engagement avec ta conscience et ne dis du mal ni de celui qui a écrit ce
texte ni de ceux qui sont autour de toi, ni même de ceux que tu considères
comme tes ennemis. D’ailleurs, pardonnes à ces derniers s’ils t’ont fait du mal
et va demander aussi à être pardonner du mal que tu as commis. Je sais que
tu en comptes beaucoup comme moi d’ailleurs. Ni toi, ni tes ennemis en
réalité, n’êtes responsables des barbaries, et insanités que vous commettez et
des adversités que vous vous opposez. La vie vous a invités dans son cercle
vicieux et vous contraints à vous mépriser, à vous entretuer et à vous haïr.
Considères que le mal, c’est toi et que si tu restes sage, il n’y aura jamais de
mal ici et ailleurs.
Déjà, ne donnons aucune finalité à nos vies insensées. Nous vivons parce
que c’est comme ça! Ne nous fixons pas d’objectif personnel; plutôt commun,
celui de préparer l’autre vie apparemment meilleure que celle que nous
connaissons tous. La vie n’acceptera jamais qu’on ait la joie de vivre, que nos
sociétés soient des havres de paix, qu’on se solidarise, qu’on s’accepte
mutuellement, qu’on exprime notre commun vouloir de vie commune. Elle
trouve son compte dans nos tiraillements, nos guerres, nos tueries, nos
catastrophes.
engagement avec ta conscience et ne dis du mal ni de celui qui a écrit ce
texte ni de ceux qui sont autour de toi, ni même de ceux que tu considères
comme tes ennemis. D’ailleurs, pardonnes à ces derniers s’ils t’ont fait du mal
et va demander aussi à être pardonner du mal que tu as commis. Je sais que
tu en comptes beaucoup comme moi d’ailleurs. Ni toi, ni tes ennemis en
réalité, n’êtes responsables des barbaries, et insanités que vous commettez et
des adversités que vous vous opposez. La vie vous a invités dans son cercle
vicieux et vous contraints à vous mépriser, à vous entretuer et à vous haïr.
Considères que le mal, c’est toi et que si tu restes sage, il n’y aura jamais de
mal ici et ailleurs.
Déjà, ne donnons aucune finalité à nos vies insensées. Nous vivons parce
que c’est comme ça! Ne nous fixons pas d’objectif personnel; plutôt commun,
celui de préparer l’autre vie apparemment meilleure que celle que nous
connaissons tous. La vie n’acceptera jamais qu’on ait la joie de vivre, que nos
sociétés soient des havres de paix, qu’on se solidarise, qu’on s’accepte
mutuellement, qu’on exprime notre commun vouloir de vie commune. Elle
trouve son compte dans nos tiraillements, nos guerres, nos tueries, nos
catastrophes.
Depuis la nuit des temps, elle nous regarde passés devant elle
dans un silence ubuesque. De nos arrières arrières grands-pères à nos futurs
petits-fils en passant par les parents beaucoup plus proches de notre
génération d’avant ou d’après et nous-même, nous continuons à subir de
façon cyclique les contrecoups de la vie sans jamais vraiment prendre
conscience de ses combines. Alors qu’on devrait s’interroger du sort qu’elle
avait réservé il y’a peut-être plus d’un siècle et même moins à un proche
parent ou simplement à un semblable dont la vie certainement n’a été qu’un
monstre. Ainsi on ne donnerait à la vie, plus aucun moyen de récidiver sur
nous, ni même d’orchestrer d’autres de ses nombreuses manigances. Mais
difficile même de s’interroger sur le devenir de nos morts car cette vie ne nous
lâche pas. Vraiment pas; tant qu’on n’ait pas sorti notre dernier souffle et elle
nous fait oublier aussitôt après. Votre attention s’il vous plait ! La mort !
dans un silence ubuesque. De nos arrières arrières grands-pères à nos futurs
petits-fils en passant par les parents beaucoup plus proches de notre
génération d’avant ou d’après et nous-même, nous continuons à subir de
façon cyclique les contrecoups de la vie sans jamais vraiment prendre
conscience de ses combines. Alors qu’on devrait s’interroger du sort qu’elle
avait réservé il y’a peut-être plus d’un siècle et même moins à un proche
parent ou simplement à un semblable dont la vie certainement n’a été qu’un
monstre. Ainsi on ne donnerait à la vie, plus aucun moyen de récidiver sur
nous, ni même d’orchestrer d’autres de ses nombreuses manigances. Mais
difficile même de s’interroger sur le devenir de nos morts car cette vie ne nous
lâche pas. Vraiment pas; tant qu’on n’ait pas sorti notre dernier souffle et elle
nous fait oublier aussitôt après. Votre attention s’il vous plait ! La mort !
Papa Ibrahima Diassé, Professionnel de la communication
7 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (12:57 PM)Che Guevarra
En Novembre, 2015 (13:55 PM)Fouiller dans Larousse et Wikipedia et tirer des gros mots.
Diambar Ndiaye...Lol. Bravo
A.ba
En Novembre, 2015 (14:05 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (15:19 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (17:13 PM)Ndiaye_doss
En Novembre, 2015 (19:11 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (00:13 AM)Participer à la Discussion