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Vendredi 01 Juin, 2018 +33
Contribution

Une justice à deux vitesses et les dispositions claires de l’article 272 (Par Pape Konaré DIAITÉ)

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Une justice à deux vitesses et les dispositions claires de l’article 272 (Par Pape Konaré DIAITÉ)
Dans une République où l’état de droit est constamment invoqué, il est déplorable de constater que certaines interprétations juridiques semblent délibérément biaisées pour servir des intérêts particuliers. Le cas de Barthélémy Dias, maire élu, mérite une clarification rigoureuse à la lumière des textes en vigueur, en particulier des articles 272 et 277 du Code électoral.
        
Une interprétation erronée du droit ?
        
L'article 272 du Code électoral dispose clairement que la tête de liste victorieuse aux élections municipales est élue maire, et non conseiller municipal. Cette distinction fondamentale rend toute tentative de lier le maire aux dispositions de l'article 277 caduque. Ce dernier article concerne uniquement les conseillers municipaux et non le maire, qui jouit d’un statut distinct et protégé. En dehors des cas prévus par la loi, le maire ne peut être révoqué que pour crime, ce qui n’est absolument pas le cas ici.
        
Ainsi, les allégations visant à remettre en question l'éligibilité de Barthélémy Dias relèvent davantage d’une tentative de manipulation que d’une interprétation sincère et équitable du droit. Cette application biaisée de la loi illustre bien une justice à deux vitesses, où certains citoyens semblent bénéficier de largesses judiciaires tandis que d'autres sont soumis à une rigueur extrême.
        
Deux poids, deux mesures : la gestion de l’affaire Thierno Aly Sy
        
Monsieur le très intègre et indépendant Garde des Sceaux et Ministre de la Justice, Ousmane Diagne, il est nécessaire de rappeler un autre exemple de traitement différencié. Thierno Aly Sy, député et remplaçant d’Abass Fall récemment nommé ministre, a été condamné définitivement pour abus de confiance. Malgré cette condamnation, son statut n’a pas été remis en question avec la même virulence que celui de Barthélémy Dias.
        
Cet écart flagrant dans l’application de la loi interroge. Comment justifier que certains individus condamnés continuent à occuper des fonctions publiques sans entrave, tandis que d’autres sont immédiatement ciblés et écartés ? Cette disparité nourrit un sentiment d’injustice et fragilise la confiance des citoyens dans nos institutions.
        
Pour une justice équitable et respectueuse des textes
        
Il est impératif que la communication officielle concernant cette affaire mette en exergue les principes suivants :
        
1. Respect de l’article 272 : Barthélémy Dias, en tant que tête de liste, est élu maire et n’est pas concerné par les dispositions de l’article 277.
        
2. Exclusivité des cas de révocation : En dehors des crimes ou des cas expressément prévus par la loi, un maire ne peut être révoqué.
        
3. Fin des deux poids, deux mesures : Tous les citoyens, qu’ils soient députés, ministres ou simples élus locaux, doivent être soumis au même traitement devant la loi.
        
Le peuple attend des institutions qu’elles soient les garantes de l’équité et de la justice, et non des instruments au service d’agendas politiques. L’heure est venue de restaurer cette confiance en appliquant rigoureusement les textes légaux et en mettant fin aux pratiques discriminatoires.
        
Pour une République réellement démocratique, nous demandons une justice impartiale, appliquée de manière uniforme à tous. Barthélémy Dias demeure éligible et ne saurait être empêché d’exercer ses fonctions de maire sur la base d’arguments infondés. Le droit doit primer, sans exception.
        
        
Pape Konaré DIAITÉ 
Chargé de communication du Maire Barthelemy DIAS 
Directeur de l’éducation et de l’insertion de la Ville de Dakar


39 Commentaires

  1. Auteur

    Senegal

    il y a 2 semaines (20:56 PM)
    Très très pertinent comme texte , li laniou sokhla pas ay fénne
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    • Auteur

      Reply_author

      il y a 2 semaines (21:18 PM)
      Barthe est il conseiller municipal ou pas ? En repondant a cette question , il y aurait pas besoin de tout ce verbiage inutile. Barthe fait partie de la coalition Sama Sa kaddu qui de vraiment serieux dans cette coalition a condamne cette situation mieux Barthelemy a dit qu'il ne pouvait etre elu depute ni se presenter aux prochaines elections locales. Ce gars panique car il risque de perdreson gagne pain si Barthe quitte son poste de maire et de député
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    • Auteur

      Reply_author

      il y a 2 semaines (21:39 PM)
      Si Diomaye peut dissoudre l'Assemblée Nationale il doit pouvoir dissoudre la Mairie de Dakar. J'aimerais bien qu'il prononce la dissolution de toutes les mairies dirigées par des ivrognes.
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    • Auteur

      Karim-usa

      il y a 2 semaines (22:17 PM)
      Toute tentative de manipulation est une insulte aux Sénégalais ! C’est uniquement en étant honnête et compétent que SONKO est devenu l’homme politique le plus aimé de l’histoire de la politique sénégalaise et africaine ! Et nous voulons tourner la page des politiciens malhonnêtes, incompétents et violents et nuisibles ! Nous demandons à SONKO et DIOMAYE d’appliquer la loi en toute impartialité à Barthélémy DIAZ ! On ne peut pas prendre le risque de voir d’autres Sénégalais agressés, insultés, violentés, avoir leurs mains coupées ou morts en prison parce qu’entrainés dans des violences par, probablement, le maire le plus ignorant et violent de l’histoire de la ville de Dakar. Protégez les Sénégalais et on vous aimera encore beaucoup plus. C’est une demande sociale ! Barthélémy doit quitter la mairie en application stricte, honnête et impartiale de la loi !
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    • Auteur

      Reply_author

      il y a 1 semaine (20:26 PM)
      Entre les militaires au 0iuvour et Pastef au pizvoir
      Nous choissirions militaires...
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    • Auteur

      Reply_author

      il y a 1 semaine (15:44 PM)
      @(20:26 PM)
      Les militaires au pouvoir, il n'y a pas de article ...., pas de droit, pas de loi, ...

      Avec Pastef au moins si tu respectes la loi tu peux dire ou faire ce que tu veux et tu es sure que tu ne seras pas inquièté.
      Soyez lucide.
      Vous savez trés bien que Pastef est entrain de mettre le pays sur les railles.
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  2. Auteur

    Moussa Diop

    il y a 2 semaines (20:57 PM)
    Ce jeune pape Konaré ne cesse de me surprendre, il a vraiment un avenir prometteur
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    Auteur

    Fallou

    il y a 2 semaines (21:03 PM)
    “Le respect des lois doit être uniforme pour garantir l’égalité de tous devant la justice. Toute dérogation à ce principe engendre frustration et perte de confiance dans l’État.”

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    Auteur

    Ngone

    il y a 2 semaines (21:04 PM)
    Cette affaire est symptomatique d’une République malade, où les intérêts politiques semblent primer sur le droit et la justice
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    Auteur

    Garmi

    il y a 2 semaines (21:05 PM)
    Il est inadmissible que des élus soient persécutés pour des raisons partisanes. Cela crée une dangereuse dérive autoritaire
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    Auteur

    Habib

    il y a 2 semaines (21:06 PM)
    Une justice impartiale est essentielle pour maintenir la cohésion nationale. Sans cela, le fossé entre les citoyens et leurs institutions se creuse davantage
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    Auteur

    Nar Sarr

    il y a 2 semaines (21:08 PM)
    La République doit être un modèle de justice, pas un outil de règlement de comptes. Toute partialité mine son fondement démocratique.
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    Auteur

    Bamba

    il y a 2 semaines (21:09 PM)
    L’affaire Dias met en lumière une crise de confiance envers notre système judiciaire, qui semble parfois servir les intérêts d’une élite au détriment du peuple
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    Auteur

    Saliou

    il y a 2 semaines (21:10 PM)
    Quand la loi est contournée, c’est la stabilité de l’État qui est en péril. Une démocratie ne peut survivre sans une justice équitable
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    Auteur

    Bamba

    il y a 2 semaines (21:11 PM)
    L’égalité devant la loi est un principe fondamental que nous devons défendre. C’est la condition sine qua non d’un État de droit solide et respecté
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    Auteur

    Kalidou

    il y a 2 semaines (21:12 PM)
    Cette situation démontre une volonté de marginaliser certains leaders politiques. Ces pratiques sont indignes d’une République qui se dit démocratique
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    Auteur

    Amina

    il y a 2 semaines (21:13 PM)
    Les citoyens attendent des décisions justes, pas des manipulations politiques. Seul le respect des textes en vigueur peut restaurer leur confiance
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    Auteur

    il y a 2 semaines (21:21 PM)
    Texte precis donc court factuel et sans fioritures et signé pour rester transparent. Le type de politique/politicien à promouvoir.
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    Auteur

    Baye

    il y a 2 semaines (21:22 PM)
    Bon nguén sen texte def bokéco ak seni auti commentaire barth day teub par force
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    Auteur

    Seydou Faye

    il y a 2 semaines (21:37 PM)
    La protection juridique du maire est violée au mépris des textes en vigueur.
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    Auteur

    il y a 2 semaines (21:38 PM)
    Il voulait avoir la majorité et mettre le pays a terre plus de transport terrestre ni aérien plus de salaire etc...

    Voilà il n'a que ce qu'il mérite..Le vrai Ndanane c'est celui qui t'a donné la mairie de Dakar
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    Auteur

    Amadou Diop

    il y a 2 semaines (21:38 PM)
    Quand le droit est manipulé, c’est la République qui vacille.
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    Auteur

    Fallou Lam

    il y a 2 semaines (21:39 PM)
    L’article 272 est clair, mais son application semble volontairement biaisée.
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    Auteur

    Lamine Gueye

    il y a 2 semaines (21:42 PM)
    Pourquoi certains bénéficient-ils d’un traitement de faveur, tandis que d’autres sont injustement ciblés ?
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    Auteur

    Khadim Thiam

    il y a 2 semaines (21:42 PM)
    Barthélémy Dias est élu démocratiquement. Pourquoi chercher à le démettre sans fondement ?
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    Auteur

    Daouda Fall

    il y a 2 semaines (21:44 PM)
    Les institutions sont censées garantir la justice, pas servir des agendas politiques.
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    Auteur

    Observateur

    il y a 2 semaines (21:46 PM)
    Dans l'affaire Ndiaga Diouf, Barthélemy Diaz est condamné définitivement pour crime et non pour délit !!!



    NB c'est illogique et incohérent de l'enlever de l'assemblée Nationale et de le laisser a la mairie de Dakar !!!
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    Auteur

    Tapha Dabo

    il y a 2 semaines (21:46 PM)
    Cette affaire illustre l’effritement de l’État de droit dans notre pays.
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    Auteur

    Alassane

    il y a 2 semaines (21:48 PM)
    Les citoyens perdent confiance dans les institutions face à de telles
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    Auteur

    Petit Mo

    il y a 2 semaines (21:49 PM)
    L’application de l’article 277 à Barthélémy Dias est tout simplement une aberration.
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    Auteur

    Khadim

    il y a 2 semaines (22:12 PM)
    C’est une parodie de justice que de chercher à destituer un maire élu sans preuves
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    Auteur

    Nitou Deug

    il y a 2 semaines (22:13 PM)
    Barthélémy Dias incarne une lutte pour la justice face à un système défaillant
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    Auteur

    Zembla

    il y a 2 semaines (22:14 PM)
    Et que dis tu de l'article 92 du code général des collectivités territoriales ? Désolé mais le poste de Barth ne tient qu'à un fil.
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    Auteur

    il y a 2 semaines (23:05 PM)
    Boy pape les habitants de Mermoz sacré coeur savent qui tu es.barth ne peut gagner qu'un seul bureau de vote avec 09 voix.

    Bounou fontoo wa baobab te connaissent et savent que tu es limité intellectuellement.
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    Auteur

    Ma

    il y a 2 semaines (23:12 PM)


    Un traître comme Barth qui rappelle sa nationalité Américaine quand ça chauffe, un ingrat impoli....c'est au Cap Vert ou en Guinée Bissau qu'il aura un poste électif si vraiment ces peuples voudront de lui.

    Si Barth avait une once de dignité, il n'allait pas attendre le coup de pieds au cul qui va le dégager.

    En attendant que le balaie fasse son travail, on a plus besoin de ce déchet.

    Manipuler et se victimiser pour rebondir sera vain, car Barth a été excessif en mauvais agissements , il s'est decredibilisé, avec perte de confiance importante...

    Barthélémy  le cow boy  impoli et arrogant meurtrier, à vie tu seras hanté par ce meurtre injustifié de Ndiaga Diouf, les conséquences de tes mauvais actes.....L'impolitesse, l'arrogance, la sournoiserie, la traîtrise.... Tôt ou tard le retour de bâton plein la gueule.

    .

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    Auteur

    Le Témoin

    il y a 2 semaines (02:16 AM)
    Art.L.272.- Ne peuvent être conseillers municipaux :

     1° les individus privés d’un droit électoral ;

     2° ceux qui sont secourus par les budgets Communaux ;

     3° ceux qui ont fait l’objet d’une condamnation en application de l’article 88 du Code

    général des Collectivités territoriales ;

    C'est L272 qui élimine Barthélémy Dias, il est clairement dit que les individus qui ont perdu leur droit electoral ne peuvent pas etre des conseillers municipaux donc ils sont inéligibles à ce poste, L272 fait partie des cas d'inéligibilité de L277. En toute évidence quelqu'un qui ne peut pas voter , ne peut etre maire c'est juste une question de logique. On dit souvent celui qui peut le plus, peut le moins mais c'est aussi c'est vrai dans l'autre sens, celui qui ne peut pas le moins, ne peut pas le plus.

    Nous demandons aux autorités de faire appliquer la loi, le mal de l'homme noir c'est que nous avons tendance à pardonner aux traitres, des gens comme judas dias ne méritent aucun pitié
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    Auteur

    Franchement

    il y a 2 semaines (06:58 AM)
    JUDA croyait que nos nouveaux dirigeants avait peur de lui . Tout le monde sait qu'il les a défiés à maintes reprises en insultant et faisant acte de violences verbales à travers ses nervis .

    Une personne qui se comporte de cette sorte et ayant déà fait l'objet de meurtre est inquiétant . De plus , sur le plan pénal , il dispose des peines Judiciaires et adminsitratives

    Dans un état fort , la justice doit s'appliquer d'autant plus , la rupture est largement prônée par les sénégalais en élisant notre cher Président DIOMAYE qui a brandi le JUMB JUBATTI

    JUDA a besoin du JUMB UMMBATTI ne serait ce que pour son agressité verbale , son indiscipline et son arrogance .

    Pour rappel , il doit aussi répondre de ces actes sur les violences à Saint Louis . Sur des vidéos , il se disait être l'auteur car il était chargé de la sécurité de sa caravane. Qu'attend vraiment le ministre de la justice pour le déchoir de toute responsabilité citoyenne. Il ne doit plus représenter l'Etat et les citoyens
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    Auteur

    Le Tir Ailleurs.....

    il y a 2 semaines (08:52 AM)
    Ce Pape Konaré làààà est tellement bête et amusant ! Il écrit ses articles et fais ses propres commentaires. C'est tellement manifeste mais comme il est un peu zélé, il veut donner des gages Ndeyssan. Personne ne peut manipuler les masses. Vous allez devoir vous convaincre que thiakhaan dieekh na si mim Reew. Soo amé bénène liguey nak nga dem liguéyi. Moo gueun si Yaw !
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    Auteur

    Ousmi

    il y a 2 semaines (15:27 PM)
    Selon la loi sénégalaise, un maire est un conseiller municipal. En effet, le maire est élu parmi les membres du conseil municipal, ce qui fait de lui automatiquement un conseiller municipal avant d’accéder à la fonction de maire.



    Contexte légal :



    Le Code général des collectivités locales (CGCL) du Sénégal précise les règles concernant les conseils municipaux et la désignation du maire :



    1. Élection du maire : Le maire est choisi par les conseillers municipaux parmi eux lors de la première réunion du conseil municipal qui suit les élections locales.



    2. Statut du maire : Puisqu’il est élu au conseil municipal, il conserve son statut de conseiller municipal tout en exerçant les fonctions spécifiques de maire.



    Ainsi, le maire cumule les rôles : il reste un conseiller municipal avec les droits et devoirs qui y sont liés, tout en assurant la direction exécutive de la municipalité.
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    Auteur

    Waaru

    il y a 2 semaines (16:24 PM)
    Mr KONARE retournez apprendre le droit. La différence est dans le fait que Barthélémy à eu une condamnation FERME de 6 mois, les autres avec SURSIS. Si Barthélémy n'avait pas ces 6 mois il aurait été dans le même cas..BASTA!!++
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    Auteur

    Waaru

    il y a 2 semaines (16:30 PM)
    orsqu’une peine d’inéligibilité est définitivement prononcée en cours de mandat pour une cause survenue postérieurement à l’élection, elle implique la cessation immédiate du mandat.







    A l’inverse si l’inéligibilité est découverte en cours de mandat pour une cause préexistante à l’élection, la procédure de la démission d’office n’est pas applicable.















    Les conseillers municipaux







    Pour les conseillers municipaux c’est au Préfet qu’il revient de déclarer l’intéressé démissionnaire.







    L’article L 236 du Code électoral dispose en effet que :







    « Tout conseiller municipal qui, pour une cause survenue postérieurement à son élection, se trouve dans un des cas d’inéligibilité prévus par les articles L. 230, L. 231 et L. 232 est immédiatement déclaré démissionnaire par le préfet, sauf réclamation au tribunal administratif dans les dix jours de la notification, et sauf recours au Conseil d’État, conformément aux articles L. 249 et L. 250. Lorsqu’un conseiller municipal est déclaré démissionnaire d’office à la suite d’une condamnation pénale définitive prononcée à son encontre et entraînant de ce fait la perte de ses droits civiques et électoraux, le recours éventuel contre l’acte de notification du préfet n’est pas suspensif. »







    Le préfet ne peut toutefois prononcer la démission d’office qu’à la condition que la condamnation pénale soit définitive :







    « Considérant qu’aux termes de l’article L. 236 du code électoral : Tout conseiller municipal qui, pour une cause survenue postérieurement à son élection, se trouve dans un des cas d’inéligibilité prévus par les articles L. 230, L. 231 et L. 232 est immédiatement déclaré démissionnaire par le préfet (…) ; qu’aux termes de l’article L. 230 du code électoral : Ne peuvent être conseillers municipaux : 1° Les individus privés du droit électoral (…) ; qu’aux termes, enfin, de l’article L. 7 du même code, applicable aux faits commis postérieurement à l’entrée en vigueur de la loi du 19 janvier 1995 : Ne doivent pas être inscrites sur la liste électorale, pendant un délai de cinq ans à compter de la date à laquelle la condamnation est devenue définitive, les personnes condamnées pour l’une des infractions prévues par les articles 432-10 à 432-16 (…) du code pénal (…) ; qu’il résulte de la combinaison de ces dispositions que le préfet ne peut prononcer la démission d’office d’un conseiller municipal en raison d’une condamnation prononcée en application des articles 432-10 à 432-16 du code pénal que si le jugement de condamnation est devenu définitif postérieurement à l’élection de l’intéressé comme conseiller municipal ;







    Considérant qu’il résulte de l’instruction qu’en application de l’article 432-14 du code pénal, le tribunal correctionnel de Bordeaux a, par jugement du 19 juin 2000 dont il n’a pas été relevé appel, condamné M. F pour délit de favoritisme à raison de faits commis entre janvier 1995 et août 1996 dans l’exercice de son mandat de maire de Lesparre (Gironde) ; qu’il suit de là que, si M. F n’a été radié des listes électorales qu’en décembre 2001, la cause de son inéligibilité est antérieure à son élection, en mars 2001, comme conseiller municipal de la commune de Lesparre, de telle sorte que le préfet de la Gironde n’aurait pu, sans excéder ses pouvoirs, le déclarer démissionnaire d’office en application des dispositions de l’article L. 236 du code électoral ; qu’il résulte de ce qui précède que M. D… et autres ne sont pas fondés à demander l’annulation de la décision implicite par laquelle le préfet de la Gironde a rejeté leur demande tendant à ce que M. F soit démis d’office de son mandat de conseiller municipal (…); » (CE, 7 janv. 2004, n° 258240)







    Le préfet se trouve alors dans le cadre d’une compétence liée.







    Il est donc tenu de prononcer d’office la démission du conseiller concerné.







    Cette décision de démission d’office n’est enfermée dans aucun délai.







    Tant que le conseiller n’a pas été démis, celui-ci peut poursuivre son mandat







    En cas de carence du Préfet, il appartient à tout électeur de la commune de demander au préfet d’exercer sa compétence.







    En cas de refus, l’électeur pourra saisir le tribunal administratif territorialement compétent lequel devra statuer dans un délai de deux mois.







    Le conseiller démis peut également saisir le tribunal administratif dans les 10 jours de la notification de la décision préfectorale.















    Les maires et les adjoints







    L’application de l’article L. 236 du Code électoral ne fait pas obstacle à l’application de l’article L. 2122-16 du Code général des collectivités territoriales qui confie la révocation définitive des maires et des adjoints à un décret en Conseil des ministres.







    Cet article dispose en effet que :







    « Le maire et les adjoints, après avoir été entendus ou invités à fournir des explications écrites sur les faits qui leur sont reprochés, peuvent être suspendus par arrêté ministériel motivé pour une durée qui n’excède pas un mois. Ils ne peuvent être révoqués que par décret motivé pris en conseil des ministres. »





    Jérôme MAUDET



    Avocat associé
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    Auteur

    Aidara

    il y a 2 semaines (17:47 PM)
    Sa way barth ne dem fowi
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    Auteur

    Seydina

    il y a 1 semaine (19:49 PM)
    C'est a cause de gens comme vous que Barth en est zrrive là. Conseiller en communication ? Vous êtes où quand a chaque fois Barth sort et fait des écarts de langage qui le font détester des populations ? Vous êtes où quand Barth fait des révélations qui choquent et utiliseun langage ordurier ? Vous êtes le premier responsable de tous les écarts de langage. Minable conseiller en com de mes couilles
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    Auteur

    Mais

    il y a 1 semaine (05:28 AM)
    À force de vouloir Vous justifier c’est VOUS MÊMES qui allez vous éjecter de la mairie de Dakar

    Pourquoi vous ignorez pas ? Tout simplement

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