Décidément le ridicule ne tue pas !
Dans une série de tweets suintant la haine, la condescendance et le mépris à l’endroit du peuple sénégalais, de ses dirigeants et de ses guides religieux, Tariq Ramadan, pseudo intellectuel anarcho-fasciste, empêtré dans plusieurs affaires de sexe, s’invite sans scrupule dans l’actualité politique du Sénégal suite aux malheureux événements survenus chez nous.
Pêle-mêle, ce tartuffe des temps modernes, dont la décadence morale n’a d’égal que son nombrilisme primaire, incite à la violence, s’acharne contre un régime démocratiquement élu, fait des appels du pied à l’armée et se lance dans une insolente critique contre nos guides religieux.
J’espère que les autorités sénégalaises donneront la suite qui sied, y compris par des poursuites judiciaires, à cette incitation à la violence et à l’insurrection dans notre pays.
En attendant, il faut mettre à nu ce faux dévot dont les actes sont à l’opposé de sa parole.
Comme tous les radicaux-anarchistes de sa trempe, Tariq Ramadan est un habitué des excès, un mégalomane à l’esprit tordu et corrompu, rétif à la nuance et à la modération propres à l’islam dont il se prévaut, mais que ses actes au quotidien démentent.
Tariq Ramadan n’ignore pas que selon le Coran et les enseignements du Prophète Mohamed (PSL) l’islam est une « religion du juste milieu », qui prône la paix, la pondération et le respect des autres, quelle que soit leur religion.
Le bon musulman ne souffle pas sur des braises, il n’attise pas le feu, mais doit plutôt chercher à l’éteindre.
Dans un hadith de notoriété publique, le Prophète Mohamed (PSL dit : "La Fitnah (qui signifie épreuve, calamité) est endormie. Puisse Allah maudire celui qui la réveille ".
Cela, Tariq Ramadan n’en a cure ! Lui comme ses acolytes est un pyromane incorrigible, un éternel souffleur de braises. Là où il y a la paix, il allume et attise le feu de la violence ; là où règne l’harmonie, il sème la zizanie et la discorde. Il se plaît et se complet dans l’excès, l’anarchie et le chaos. Ses multiples déboires en Europe, sa terre de refuge qu’il ne cesse de souiller par ses bassesses, en témoignent à suffisance.
Faut-il le rappeler, même s’il a été récemment acquitté dans un procès pour viol en Suisse par intime conviction du juge, le faux dévot a reconnu dans la même affaire que c’est sa victime « qui s’est invitée dans sa chambre » ajoutant « s’être laissé embrasser avant de mettre rapidement fin à l’échange. » Se livrer aussi facilement à ses instincts sataniques, voilà le comble pour un moralisateur ! Diantre, où est donc passé le Jihad al-nafs, le combat contre les idées maléfiques, les désirs de bas étage ? Tout cela en dit long sur la duplicité déconcertante de l’homme !
S’il venait à l’oublier, il convient de rappeler à l’imposteur que sa galère judiciaire n’est pas finie. En France, Tariq Ramadan est soupçonné de viols commis entre 2009 et 2016 sur quatre femmes ; ce qui a provoqué ses déboires et déclenché sa déchéance morale.
Le parquet de Paris a en effet requis en juillet 2022 son renvoi devant une cour d’assises ; ce qui lui ouvre grande la porte à d’autres procès, tous de même nature : sexe et viols. Quelle infamie ! Ces affaires sordides lui ont d’ailleurs valu plus de neuf mois de détention provisoire en 2018. Il est depuis sous contrôle judiciaire en France, mais bénéficie d’autorisations exceptionnelles pour se rendre en Suisse, son pays de résidence officielle.
Voilà Tariq Ramadan dans toute sa nudité nauséabonde : prêcheur à l’égo surdimensionné en public, vulgaire pécheur récidiviste sous les lambris dorés !
Au lieu de fréquenter les Mosquées et les médersa, l’imposteur est plutôt un habitué des hôtels et des plaisirs charnels !
Aujourd’hui qu’il est touché et coulé dans ses affaires de mœurs légères, le pseudo intellectuel tombé brutalement de son piédestal se cherche une nouvelle virginité ailleurs, et veut faire du Sénégal le réceptacle de ses turpitudes.
Mais sa tactique est de piètre qualité : se faire oublier en Europe et se refaire une santé morale en Afrique, en particulier au Sénégal. Peine perdue !
Il est d’ailleurs saisissant de constater la similitude des parcours tortueux de Tariq Ramadan et de son acolyte chez nous. Ses randonnées libertines dans les hôtels rappellent étrangement d’autres virées épicuriennes dans une certaine Sweet beauté...
Dans les deux cas, on s’est prévalu d’une probité morale angélique vite démentie par des faits sordides, qui ont plongé leurs auteurs dans la déchéance morale. Les prétendus chantres de la rectitude spirituelle sont en fait de burlesques adeptes du sexe, de la violence, de la débauche et mensonge. Comme quoi, qui se ressemblent s’assemblent !
En réalité, si la charia que M. Ramadan se plait à invoquer urbi et orbi devait s’appliquer dans toute sa vigueur, il y a longtemps que lui et son acolyte seraient passés de vie à trépas !
M. Ramadan, par votre comportement vicieux aux antipodes des vertus que vous prêchez, vous êtes devenu un cadavre social en état de putréfaction avancée. Alors, passez votre chemin, continuez votre descente aux enfers ; mais de grâce, laissez notre Sénégal tranquille !
Me Djibril War
Membre du SEN de l’APR