La saison des pluies, tant attendue pour ses bienfaits, est devenue une période de profonde angoisse pour les habitants de la zone de Kounoune et ses environs, situés entre les sorties 10 (Sangalkam) et 9 (Sédima) de l'autoroute à péage.
Chaque année, avec l'arrivée des pluies, ces populations se retrouvent dans une situation de vulnérabilité extrême, ne sachant plus à quel saint se vouer.
Leurs maisons, leurs biens, et parfois même leur santé sont constamment menacés par les inondations qui transforment leurs quartiers en véritables zones sinistrées.
Malgré cette détresse récurrente, les habitants de Kounoune sont les victimes d'une indifférence qui ne fait que renforcer leur sentiment d'abandon.
Les autorités administratives et locales compétentes, pourtant censées être en première ligne pour répondre à ces crises, semblent incapables de fournir l'aide nécessaire.
Le manque de moyens, qu'ils soient financiers ou matériels, se traduit par une inaction qui aggrave chaque jour un peu plus la situation.
Les habitants, désespérés, se tournent vers leurs élus et responsables locaux, mais leurs appels à l'aide semblent rester sans réponse.
Il est urgent que cette indifférence cesse. Les populations de Kounoune ne peuvent plus attendre. Elles ont besoin d'une intervention massive et coordonnée pour évacuer les eaux qui les assiègent, pour dégager leurs routes et pour leur permettre de retrouver un semblant de normalité.
Les autorités doivent mobiliser les gros moyens nécessaires pour débarrasser cette zone des inondations qui la paralysent et soulager les souffrances de ses habitants.
Cela passe par le déploiement immédiat de ressources humaines et matérielles, mais aussi par une réflexion à long terme sur les infrastructures et la gestion des eaux pluviales dans cette zone.
Il est difficile de croire que les autorités centrales soient pleinement informées de l'ampleur du désastre qui se déroule à Kounoune. Si tel était le cas, il est inconcevable qu'elles restent inactives.
Chères autorités, les habitants de Kounoune souffrent, et ils ont besoin de votre intervention immédiate. Il est temps de transformer les promesses en actions concrètes, pour que ces populations puissent enfin vivre sereinement, sans craindre chaque goutte de pluie comme un potentiel désastre. Il est aussi crucial que la tutelle prenne les mesures nécessaires pour coordonner cette réponse d'urgence.
Les habitants de Kounoune attendent cela, et ils ne peuvent plus attendre.
Avec l'avènement du nouveau régime au Sénégal, un vent d'espoir devrait pouvoir souffler enfin sur les habitants de Kounoune et d'autres zones inondées.
Certes, les souffrances de ces dernières années ont été intenses, marquées par une indifférence insupportable et une gestion de crise inefficace. Mais aujourd'hui, avec la nouvelle administration, il y a un réel espoir que ces difficultés ne seront bientôt plus qu'un mauvais souvenir.
Espérons que les autorités compétentes semblent déterminés à apporter des solutions concrètes et durables aux problèmes des inondations. Les populations, qui ont tant souffert, peuvent enfin envisager un futur où leurs maisons ne seront plus menacées à chaque saison des pluies, où l'assistance sera immédiate et efficace, et où la gestion des eaux pluviales sera prise au sérieux. Ce changement de régime pourrait bien marquer la fin d'une longue période de souffrance et l'avènement d'une ère où chaque citoyen, même dans les zones les plus vulnérables, se sentira enfin protégé et soutenu.
BKD…
Chaque année, avec l'arrivée des pluies, ces populations se retrouvent dans une situation de vulnérabilité extrême, ne sachant plus à quel saint se vouer.
Leurs maisons, leurs biens, et parfois même leur santé sont constamment menacés par les inondations qui transforment leurs quartiers en véritables zones sinistrées.
Malgré cette détresse récurrente, les habitants de Kounoune sont les victimes d'une indifférence qui ne fait que renforcer leur sentiment d'abandon.
Les autorités administratives et locales compétentes, pourtant censées être en première ligne pour répondre à ces crises, semblent incapables de fournir l'aide nécessaire.
Le manque de moyens, qu'ils soient financiers ou matériels, se traduit par une inaction qui aggrave chaque jour un peu plus la situation.
Les habitants, désespérés, se tournent vers leurs élus et responsables locaux, mais leurs appels à l'aide semblent rester sans réponse.
Il est urgent que cette indifférence cesse. Les populations de Kounoune ne peuvent plus attendre. Elles ont besoin d'une intervention massive et coordonnée pour évacuer les eaux qui les assiègent, pour dégager leurs routes et pour leur permettre de retrouver un semblant de normalité.
Les autorités doivent mobiliser les gros moyens nécessaires pour débarrasser cette zone des inondations qui la paralysent et soulager les souffrances de ses habitants.
Cela passe par le déploiement immédiat de ressources humaines et matérielles, mais aussi par une réflexion à long terme sur les infrastructures et la gestion des eaux pluviales dans cette zone.
Il est difficile de croire que les autorités centrales soient pleinement informées de l'ampleur du désastre qui se déroule à Kounoune. Si tel était le cas, il est inconcevable qu'elles restent inactives.
Chères autorités, les habitants de Kounoune souffrent, et ils ont besoin de votre intervention immédiate. Il est temps de transformer les promesses en actions concrètes, pour que ces populations puissent enfin vivre sereinement, sans craindre chaque goutte de pluie comme un potentiel désastre. Il est aussi crucial que la tutelle prenne les mesures nécessaires pour coordonner cette réponse d'urgence.
Les habitants de Kounoune attendent cela, et ils ne peuvent plus attendre.
Avec l'avènement du nouveau régime au Sénégal, un vent d'espoir devrait pouvoir souffler enfin sur les habitants de Kounoune et d'autres zones inondées.
Certes, les souffrances de ces dernières années ont été intenses, marquées par une indifférence insupportable et une gestion de crise inefficace. Mais aujourd'hui, avec la nouvelle administration, il y a un réel espoir que ces difficultés ne seront bientôt plus qu'un mauvais souvenir.
Espérons que les autorités compétentes semblent déterminés à apporter des solutions concrètes et durables aux problèmes des inondations. Les populations, qui ont tant souffert, peuvent enfin envisager un futur où leurs maisons ne seront plus menacées à chaque saison des pluies, où l'assistance sera immédiate et efficace, et où la gestion des eaux pluviales sera prise au sérieux. Ce changement de régime pourrait bien marquer la fin d'une longue période de souffrance et l'avènement d'une ère où chaque citoyen, même dans les zones les plus vulnérables, se sentira enfin protégé et soutenu.
BKD…
8 Commentaires
Taz
En Août, 2024 (15:48 PM)Fabeinne
En Août, 2024 (15:51 PM)Ousmane.diallo
En Août, 2024 (16:58 PM)IL faut s'y rendre pour comprendre l'ampleur de l'ètat de degradation du Cadre de vie. Les routes existent que de nom....
Les habitants sont dèsemparès, et apparement aucune autoritè ne semble ètre preocupèe par la Situation.
Aux populations environnantes de sonner la mobilization...
Vous interpelez des gens que vous avez élus et qui n’en n’ont que faire des promesses tenues qui n’engagent que ceux qui les écoutent. Il y a quand même moins d’une semaine, quelqu’un a dit au su et au vu de tous les sénégalais que la première priorité du gouvernement était son titre foncier à lui. Il a été confirmé par le tout fraîchement élu à la tête du pays. Personne n’a trouvé à redire et tout le monde fait comme si c’était la loi naturelle des choses, le bon sens incarné. Vous le savez donc que votre dort ne vient que bien après la Grande Urgence qui mobilise tout un nouveau système différent de l’ancien car imprimé avec de l’encre de couleur et reprenant tout de l’ancien système. Ah oui, chez nous la démarche systémique c’est le changement des cartouches d’encre pour imprimer et rien que cela. Essayez donc d’avoir votre Magal à vous et vous verrez bien si cela vous réussit ou pas. Je prends la chose par l’humour mais je trouve, comme vous, que ce qui vous arrive est purement scandaleux. Après tout, ces nouveaux gouvernants, quand ils ont été mécontents (et ils avaient raison) qu’est-ce qu’ils ont fait ? Ils ont mis la population dehors et il y en a même beaucoup qui y ont laissé leur vie, ce qui est regrettable. Mais, tant qu’à crever, autant choisir sa propre façon de mourir.
Si Kounoune était Nder, peut-être que les choses auraient une chance de changer. Il n’est, certes, pas question d’esclavage mais de survie tout simplement. Je pose une question très simple aux 4000 hbts de Kounoune : «Seriez-vous prêts à mourir pour la survie de vos enfants ? »
De votre réponse dépend votre attitude. Vous n’avez pas besoin d’user de violence pour faire bouger les choses. Vous êtes assez nombreux pour neutraliser le trafic sur un axe principal du pays qui passe pas loin de chez vous. Plein d’autres localités sont dans le même cas que vous et en unissant vos forces et vos causes, vous finirez par exister et vous faire entendre.
Ah oui, Nder c’était hier mais c’était aussi l’écho de l’honneur !
Manam
En Août, 2024 (17:33 PM)Ce régime ne fera rien d'ici 2029.
Mtzof
En Août, 2024 (18:01 PM)je suis d ce coté mais le malheur est que ceux qui construisent aussi ne respecte pas l'environement.
quelqu'un qui construit un bâtiment de 30 40 ou 50 millions a t-il vraiment un probleme pr l'achat de charge de sable de 32 000 f pour son allentour?
Pourkoi les riverains d'une mm ruelle ne cotisent pas pour leur pavage? meme pas 4 millions.
aulieu de cela, une fois le batiment achevé, meme les gravas sont laissé labas. et qui va l'enlever? ainsi les rues sont accidentées et l'eau stagne pour certaines ruelles et difficicil de passer avec un véhicule.
respectons nous d'abord et notre environnement.
l'assainissemnt nécessite de gros moyens mais reunissons nous d'abord et cotisons pour un début de solution , l'Etat ou la commune suivra.
mais rien tabakh sa keur bamou rafett bayfa say gravas di khar Etat, vraiment c facile.
mon dernier point est que pour des calculs politique cette partie a été ratchée à Sangalkam alors qu'elle est plus proche de keur massar. la Mairie aussi ce n'est pas que les recttes, c'est aussi l'investissment d'au moins 25% des recettes de fonctionnement aux dépenses d’investissement. mais meme pr un poteau electrique c'est problematique. qu'on rattache cette partie à la commune de keurmassar, au moins y a le Maire qui se bat.
mes salutations respectueuses à tous, cté juste une opinion!
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