Mes chers compatriotes,
Nous avons déroulé plus d’une dizaine d’années de notre vie sous le régime de Wade et ses acolytes. Hélas, le constant est amer ! Empruntant un langage imagé, je dirais que notre navire englouti par les eaux, est sur le point de couler… Nous sommes à la croisée des chemins…
Dans bien des pays, soient des paysans ou des ouvriers, souvent aidés par une élite intellectuelle insidieuse, se sont soulevés pour mettre fin a une aristocratie annihilant. Nous avons eu la chance de passer ce cap de décadence de l’humain grâce à une convergence de volonté commune, et du « commun vouloir de vie commune », pour parler comme Senghor.
Aujourd’hui, nous sommes une République, mais aussi une démocratie. Ces deux acquis sont le fondement même de notre liberté, donc de notre vie. Leur perte serait un forfait. Naturellement, nous sommes les gardiens de ces deux valeurs cardinales, car des citoyens peu scrupuleux s’aventureront à les tarir et nous replonger dans cet état de nature que Rousseau a si bien développé les terreurs. Car sachons que si parmi nous, il y’en a qui ne bravent que pour la patrie, il y’en a d’autres qui ne cherchent que la satisfaction personnelle du besoin matériel. Ces parasites, nous devons les surveiller constamment, les orienter, les réintégrer car si nuisibles soient-ils, ils sont aussi des fils du peuple, et ont, envers ce dernier, un devoir de redevance.
La course au fauteuil présidentiel doit être une frénésie vers l’éthique, le comportement républicain et l’amour de la patrie. Si des candidats briguent des suffrages dans l’optique de se faire une notoriété, se servir et servir leur entourage, le développement restera encore, pendant longtemps, une utopie pour notre peuple. Ils auront trahi le peuple, car, une fois installés au pouvoir, ils ne penseront pas au peuple, mais à eux-mêmes, et plongeront le peuple dans la misère.
« Toutes les ambitions sont légitimes, excepté celles qui s’élèvent sur les misères ou les crédulités de l’humanité », nous enseigne Joseph Conrad.
Au Sénégal, ce qui est frappant dans ce bouillonnement électoral, c’est la pléthore de candidats, sans aucun programme véritable parfois, comme si les tâches et obligations de l’Etat se résumaient à des banalités que le plus ignare pouvait prétendre se charger. Mais plus frappant encore, ces candidats, qui, dans les pays de grande démocratie n’auraient point pensé demander les suffrages des électeurs, tant leur passé est si peu élogieux, pour des scandales financiers commis ou supposés, ou par manque de crédibilité et de vertu. Devant l’entêtement ou la supposé ruse de ces hommes politiques, il revient au peuple de les bannir et les envoyer aux calandres grecques.
Aujourd’hui, le combat, c’est de lutter pour que Wade obéisse à la Constitution qui ne lui donne pas droit à un troisième mandat.
« Lorsque vous avez éliminé l’impossible, ce qui reste, si improbable, soit-il, est nécessairement la vérité », écrit Doyle.
La Vérité, elle est l’éthique qui renforcera notre démocratie. La démocratie est synonyme de paix et la paix est l’autre nom du développement. Donc, sans l’éthique, nous verserons dans la tyrannie, avec son corolaire de maux comme la corruption, les détournements de deniers publics, le népotisme etc...
« Un seul mauvais exemple, une fois donné est capable de corrompre toute une nation, et l’habitude devient une tyrannie », avertit Voltaire.
Lorsque nous aurons séparé l’ivraie (la candidature de Wade) des autres graines, qui ne sont pas forcement toutes bonnes, nous revient alors la tâche de confier le destin de notre pays, a celui qui a le plus de mérite de le diriger. Je dis bien mérite
A quatre mois des échéances électorales, le candidat qui réunit le mieux les critères de compétence, d’expérience, d’éthique et de probité morale, reste sans un aucun doute le Professeur Ibrahima Fall. Et heureusement que le peuple l’a si bien compris. Parlant du Professeur Ibrahima Fall, dans Dakaractu du 27 Septembre 2011, Cheikh Yerim Seck écrit :
« On le croirait si la capacité à diriger un pays se mesurait aux nombres de lignes sur le curriculum vitae de celui qui y aspire. Il a, en effet tout été, ou presque, en une vie passée a pas de charge »
Et de renchérir : « Ibrahima Fall est l’un des rares candidats en lice aujourd’hui capable de joindre quand il le veut Ban Ki Moon, le Secrétaire General des Nations Unis, n’importe quel chef d’Etat Africain de son choix, n’importe quel chef de la diplomatie en Europe ou aux Etats Unis »
Mais plus important est le programme innovant qu’il a tissé pour booster le pays.
La crise énergétique qui est loin de faire son épilogue, plongeant le pays dans l’obscurité des temps anciens et l’insécurité totale, est la résultante d’un manque de vision et de dénigrement des compétences locales. Il trouve la solution dans les énergies renouvelables, comme le solaire.
L’Education civique doit revenir dans nos écoles pour conscientiser nos populations et développer en eux un esprit citoyen. Aussi, l’école publique qui a été l’ascenseur social le plus juste doit retrouver sans place d’antan. Le sabotage et le sabordage de l’école publique est une injustice envers le peuple.
Et comme le Professeur Fall dit lui-même : « Former pour que nous puissions avoir des citoyens éduqués, face au pouvoir, afin que ces citoyens soient les défenseurs de leurs Droits, et qu’ils ne laissent pas le pouvoir abuser de sa situation de supériorité »
Aussi l’enseignement supérieur sera éclaté en des formations plus pratiques et spécifiques qui ouvrent les portes de l’emploi. L’intégration et la revalorisation des langues arabe et anglaise permettront aux Sénégalais de les apprendre dès le primaire, pour mieux faire face aux exigences linguistiques du monde contemporain.
La politique de l’emploi du Professeur Ibrahima Fall repose sur la transparence et le mérite.
« Le recrutement dans les services publics doit se faire sur la base du mérite et de la compétence, a l’exclusion de toute discrimination, de tout favoritisme, de toute corruption et de tout népotisme », avance le Professeur Fall qui, élu président au soir du 26 Février 2012, donnera aux marginalisés de l’administration leurs droits.
Le train de vie de l’Etat nous coûte cher. Nous n’avons nullement besoin de ces institutions inutiles qui dévorent des milliards qui pouvaient servir à la construction d’usines, d’hôpitaux, de dispensaires et autres infrastructures sociales. Le Sénat sera tout simplement supprimé, lance le candidat agrégé et spécialiste de droit international.
Les effectifs pléthoriques à la présidence de la république, a l’assemblée nationale connaitront une diminution drastique. Les postes de prestige seront supprimés. Un control strict sera appliqué sur les dépenses budgétaires.
L’agriculture, la pêche et l’élevage seront revalorisées. Des subventions seront octroyées pour les cultures vivrières qui nous évitent la dépendance alimentaire et favorisent la croissance de notre économie.
Les cultures de rente, comme l’arachide, seront organisées de sorte que les producteurs soient les plus grands bénéficiaires et trouvent une rentabilité substantielle.
La même politique transparence et d’accompagnement sera appliquée dans les secteurs de l’élevage et de la pêche.
Le retour de la paix en Casamance, figure en bonne place dans l’agenda du Professeur Ibrahima Fall.
Cette politique de recherche de la paix en Casamance doit se faire par la coordination de toutes les parties susceptibles d’y jouer un rôle déterminant. Au premier plan, figurent les fils de la Casamance.
Mes chers compatriotes,
Avec M. Ibrahima Fall, l’espoir refait surface, au grand bonheur de notre pays, le Sénégal.
. Ne nous disons pas « Ah, la politique ne m’intéresse pas ».
Comme l’a si bien dit le Professeur Ibrahima Fall : « Faisons de la politique autrement », c’est-a –dire, une politique de développement.
Comme avancé plus haut, si nous ne forgeons pas une bonne politique pour notre pays, nous laisserons alors d’autres en forger une mauvaise, et nous en serons les victimes.
Et comme disait Jules Renard : « Je ne m’occupe pas de la politique », c’est comme si vous disiez « je ne m’occupe pas de la vie ». Nous ne renoncerons pas à la vie, n’est-ce pas ?
Béni soit mon peuple !
3 Commentaires
Patisco
En Octobre, 2011 (22:13 PM)Même 100 ans de recherche génétique ne pourrait permettre de créer quelqu'un d'aussi parfait que vous !
De toutes les merveilles connues, une seule fait l'unanimité : vous, ce sublime modèle de perfection.
Si certains prennent plaisirs à chercher vos infimes défauts, c'est pour mieux oublier leurs incommensurables lacunes.
Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Mbour
En Octobre, 2011 (22:13 PM)La perfection vous va si bien !
Savez-vous comment on appelle le fait de recevoir un mail dans lequel on vous informe qu'il existerait un être aussi parfait que vous ? Réponse : un canular...
La lune ne serait rien sans le soleil... un peu comme nous sans vous !
Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Ndiaganiao
En Octobre, 2011 (22:16 PM)Certains pays ont du pétrole jusqu'au plafond; d'autres ont des mines de diamants qui n'ont pas de fond; et certains ont même des filons d'or à en perdre la raison; Et nous on a... VOUS, qui valez tous les trésors du monde !
Vous n'êtes pas intelligent, vous êtes mieux encore !
Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
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