Il ne s’agit pas d’avoir les mêmes idées, les mêmes idéaux, les mêmes espoirs. Dieu a voulu la diversité?; pluralisme et respect mutuel, il doit donc y avoir. Il est urgent d’exprimer ce que l’on refuse, de circonscrire ce qu’est pour nous l’inacceptable en nous engageant à tout faire pour qu’il ne soit, effectivement, accepté, normalisé, banalisé.
Dans un monde où l’économique a pris le pas sur le politique, où l’intérêt financier et commercial fait la raison d’État, où les valeurs ne sont convoquées que si elles ne portent pas préjudice aux plus obscures tractations ou contrats. Il ne faut pas se tromper d’ennemi et faire alliance avec tous ceux pour qui la vie d’un homme a un sens et une valeur. Ceux qui refuseront la folie meurtrière pour défendre la foi, le respect, la dignité, la fraternité et l’amour. Ceux enfin qui, portés par leurs convictions, sont décidés à y engager leur vie entière en acceptant de faire face à tous les écueils, à toutes les souffrances, à toutes les trahisons.
Tant au Nord qu’au Sud, jamais l’urgence d’un engagement total, organisé, unifié, n’a été aussi patente. Chaque « communauté » humaine de religion, de spiritualité ou de conscience, doit trouver les moyens de vivifier l’énergie de ses références pour donner force et vigueur à l’impératif de l’action de bien et de justice. Dans la diversité des croyances, le témoignage de sincérité est dans l’acte : « […] Si Dieu l’avait voulu, il aurait fait de vous une seule communauté. Mais il a voulu vous éprouver par le don qu’il vous a fait. Cherchez à vous surpasser les uns les autres dans les bonnes actions. Votre retour, à tous, se fera vers Dieu?; il vous éclairera, alors, au sujet de vos différends. »
Avant que ne vienne le jour où nous serons tous éclairés sur nos différends, il n’est qu’une seule action possible : faire le bien et lutter contre ce qui s’y oppose.
À un compagnon qui lui demandait ce qu’était le bien, le Prophète (PBSL) répondit : « Tu es venu t’informer sur le bien?? – Oui, répondit Wâsiba. – Consulte ton cœur, dit le Prophète, car le bien est ce qui apaise ton âme et calme ton cœur. Le péché est ce qui te trouble intérieurement et suscite dans ton cœur de l’embarras, de la gêne et ce, même si les gens te livrent toutes les justifications juridiques possibles. »
La tension morale participe de la nature humaine. La paix du cœur ou son agitation témoigne des chemins empruntés, mais le choix reste toujours le propre des hommes. De la liberté naît la responsabilité : il faudra rendre compte de notre attachement à la morale. Pour nous-mêmes, en notre cœur, dans le silence et la solitude de notre intimité, comme dans nos relations avec nos parents, nos frères, nos amis, nos ennemis, l’étranger, le collègue, l’employé, le vieux, le handicapé, le pauvre ou l’exilé?; comme encore avec la nature, les arbres, les forêts, l’air, la mer et tous les éléments?; comme enfin la totalité du règne animal. La tradition rapporte que le paradis fut promis à une prostituée qui avait donné à boire à un chien assoiffé : un geste simple porteur de l’essentiel de la morale qu’on enseigne aujourd’hui, en référence au message de l’islam, du Maroc à l’Indonésie… « réformer son caractère et faire le bien. »
Être musulman, c’est d’abord vivre l’expérience de piété : « Le meilleur d’entre vous (entre les gens) auprès de Dieu est le plus pieux […] »
Le témoignage de cette piété est essentiellement, sur les plans social, politique et économique, de nature morale : « Ce qui est dans les cieux et ce qui est sur la terre appartient à Dieu. Toute chose revient à Lui?! Vous formez la meilleure communauté suscitée pour les hommes : vous ordonnez ce qui est convenable, et vous interdisez ce qui est blâmable et vous croyez en Dieu. »
Dans le miroir de la nature et de son ordre, et dont tous les éléments appartiennent à Dieu et retourneront à Lui, la meilleure des communautés est celle qui respecte l’harmonie par son engagement pour le bien et sa lutte contre le mal. Le passage commence et finit par la référence divine : l’acte moral est témoignage de la foi, il est à l’homme ce que voler est à l’oiseau. Aussi, une communauté, quelque majoritairement musulmane qu’elle puisse être, qui alimente l’injustice, la laisse se propager et détruire ainsi le tissu social, n’est en rien « élue » : au contraire, elle prouve chaque jour son manquement à l’exigence du message auquel elle dit se référer. Le Prophète (PBSL) avait pourtant recommandé la vigilance : « Soutiens ton frère qu’il soit juste ou injuste?! » Des compagnons s’étonnèrent : « Lorsqu’il est juste, cela est compréhensible, mais comment cela peut-il être quand il est injuste?? » – Le Prophète répondit : « En mettant un terme à son injustice?! »
26 Commentaires
Anonyme
En Novembre, 2015 (14:07 PM)Kalkulart
En Novembre, 2015 (14:31 PM)Voici ce que je voudrai porter aux yeux de Mr Ramadan, qui a un long heritage des freres musulmans, car son grand père est un des digne fondateur:
" Heureux ceux qui ont faim et soif de justice et de Paix, car ils seront rassasiés"
"Heureux les artisans de paix, ils seront appelés Fils de DIEU"
Anonyme
En Novembre, 2015 (14:44 PM)Khe Khol Kham
En Novembre, 2015 (14:51 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (15:36 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (15:38 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (15:44 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (16:09 PM)... TU ES Où QUAND BHARAM & CO BLASPHEMENT????
...
Ex-abd....
En Novembre, 2015 (16:14 PM)... LE TIGRE NE CRIE PAS SA TIGRITUDE.....
... DE MEME QUE LA PAIX ...NIE CRIE PAS SA ...PACIFIFITE......
...
Anonyme
En Novembre, 2015 (16:21 PM)Dior Oye London
En Novembre, 2015 (16:36 PM)Nous pouvons lui dire ,qu'il aille se faire voir ailleurs,nous cherchons de quoi survivre plutôt que ses discours,lui qui est plein au as pour cracher la parole bonne car je dirai pas la bonne parole.
Rekk_anonyme
En Novembre, 2015 (16:40 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (17:16 PM)1. Sa famille
Il est bien connu que Ramadan est le petit-fils du fondateur de l’organisation des Frères musulmans, Hassan al-Banna. Mais on ignore généralement que la famille Ramadan joue un rôle essentiel dans l’histoire du mouvement islamiste, depuis trois générations. Al-Banna, le grand-père, a créé le mouvement des Frères musulmans, qui est la matrice de l’islamisme contemporain, à laquelle se rattachent à la fois le Hamas palestinien et aussi (de manière moins directe) la nébuleuse Al-Qaida. Said Ramadan, le père, beaucoup moins connu, a joué un rôle essentiel dans l’implantation des Frères musulmans en Europe. C’est lui qui a créé l’Internationale islamiste, au cours de ses périples incessants (Pakistan, Israël, Arabie saoudite, Allemagne, Suisse…). Tariq Ramadan est un acteur important de la réislamisation des populations musulmanes et de l’islamisation de l’Occident.
2. Sa jeunesse
Né en 1962 à Genève, Tariq Ramadan a connu une enfance dorée en Suisse. Son itinéraire est – comme pour de nombreux autres militants islamistes – celui d’un born again muslim, c’est-à-dire d’un musulman revenu sur le tard à sa religion. Contrairement à son père et à son grand-père, en effet, il n’a pas été élevé dans le strict respect de la tradition et son cursus scolaire a été presque totalement profane. Comme il le reconnaît lui-même dans un livre d’entretiens, la religion ne tenait pas une place importante dans sa jeunesse. Jusqu’à l’âge de 30 ans, il était un citoyen suisse de confession musulmane, beaucoup plus intéressé par le football que par l’islam ou la politique… Il a même envisagé un temps de devenir footballeur professionnel.
3. Sa rencontre avec Hassan Tourabi
Une des rencontres décisives, qui a décidé de son avenir, fut celle du leader islamiste soudanais, Hassan Tourabi. Francophone, Tourabi accueille le jeune Ramadan, auquel il promet un brillant avenir. Il aura une influence durable sur celui-ci, notamment concernant l’idée de « l’islamisation par le haut » (c’est-à-dire par le biais des élites) et aussi par son recours au double langage. Quelques années plus tard, en 1991, le leader islamiste soudanais accueillera un autre dirigeant islamiste, encore inconnu du grand public : Oussama Ben Laden.
4. Ses amis et réseaux d’influence
Tariq Ramadan est passé maître dans l’art de se créer des réseaux d’influence (qu’il appelle des « partenariats »). Parmi ces réseaux, figurent notamment celui des chrétiens de gauche (dont plusieurs ont avoué leur erreur après avoir compris qui était vraiment Ramadan, comme Christian Delorme), certains altermondialistes et plusieurs islamologues ou journalistes, comme François Burgat ou Alain Gresh, rédacteur en chef du Monde diplomatique, qui est resté jusqu’à aujourd’hui un des plus fidèles soutiens de Ramadan dans les médias français.
5. Son mentor, le cheikh Qaradawi
Parmi les théoriciens de l’islamisme qui ont le plus influencé Tariq Ramadan – outre son père, Said Ramadan, et Hassan Tourabi – figure le cheikh Qaradawi. Animateur d’une émission très suivie sur Al-Jazira, ce décisionnaire de l’islam proche des Frères musulmans s’est exilé au Qatar, après avoir été expulsé d’Egypte. Il a été interdit de séjour aux Etats-Unis (tout comme Ramadan) en raison de ses liens avec la banque Al-Taqwa, affiliée à Al-Qaida. Il est surtout célèbre pour avoir autorisé les attentats-suicides contre des civils israéliens, y compris ceux commis par des femmes (précisant que la femme kamikaze « peut même retirer son voile pour mener l’opération [suicide], car elle s’apprête à mourir pour la cause d’Allah et non pas à exhiber sa beauté »… Ramadan ne s’est jamais démarqué des positions extrémistes de Qaradawi, qui est en fait son véritable mentor politique.
6. Ramadan et les convertis
La femme de Tariq Ramadan, Isabelle, est une convertie. Ce point pourrait sembler anecdotique, mais il ne l’est pas du tout. Les convertis jouent en effet un rôle essentiel dans la stratégie islamiste de conquête de l’Occident, comme je l’ai montré dans mon dernier livre. Tariq Ramadan, comme son mentor Qaradawi et comme d’autres dirigeants islamistes, consacre une grande partie de sa propagande (da’wa) à destination des convertis potentiels, et plus généralement du public occidental non musulman. Un fait récent en témoigne : pendant de nombreuses années, Tariq Ramadan a publié ses livres chez des éditeurs musulmans spécialisés (comme l’éditeur Taw’hid de Lyon), touchant essentiellement un public musulman. Depuis quelques années, il publie des ouvrages s’adressant à un public beaucoup plus large, chez un éditeur qui a pignon sur rue à Paris, les Presses du Châtelet. Cela traduit sans aucun doute un changement qui n’est pas purement commercial, mais stratégique.
L’analyse du parcours de Tariq Ramadan et de son discours montre qu’il n’est pas un « réformiste » ou un réformateur de l’islam, mais qu’il poursuit la stratégie de conquête entamée par Hassan Al-Banna et par Said Ramadan, dont il est l’héritier et le continuateur. Le premier avait fondé, à travers l’organisation des Frères musulmans, une « avant-garde » de l’islam politique conquérant, aspirant à prendre le pouvoir en Egypte et dans les pays musulmans. Le second avait déplacé le combat islamiste vers l’Europe, anticipant avec beaucoup de lucidité l’importance grandissante des populations musulmanes installées en Occident. Tariq Ramadan, quant à lui, poursuit le même combat, en l’habillant d’un discours trompeur, et en prenant pour cible de sa propagande tant les musulmans d’Occident que les non-musulmans, convertis potentiels ou compagnons de route de l’islamisme militant.
Paul Landau
Anonyme
En Novembre, 2015 (17:17 PM)Tariq Ramadan est de retour… Après une période de relative absence dans les médias français, et après ses déboires aux Etats-Unis et aux Pays-Bas, il fait à nouveau la pluie et le beau temps sur le petit écran, où on lui donne généreusement la parole, en le laissant présenter de lui une image avantageuse et trompeuse. Le présent article vise à donner quelques éléments d’information et de réflexion pour ceux qui ne savent pas (encore) qui est vraiment Tariq Ramadan.
1. Sa famille
Il est bien connu que Ramadan est le petit-fils du fondateur de l’organisation des Frères musulmans, Hassan al-Banna. Mais on ignore généralement que la famille Ramadan joue un rôle essentiel dans l’histoire du mouvement islamiste, depuis trois générations. Al-Banna, le grand-père, a créé le mouvement des Frères musulmans, qui est la matrice de l’islamisme contemporain, à laquelle se rattachent à la fois le Hamas palestinien et aussi (de manière moins directe) la nébuleuse Al-Qaida. Said Ramadan, le père, beaucoup moins connu, a joué un rôle essentiel dans l’implantation des Frères musulmans en Europe. C’est lui qui a créé l’Internationale islamiste, au cours de ses périples incessants (Pakistan, Israël, Arabie saoudite, Allemagne, Suisse…). Tariq Ramadan est un acteur important de la réislamisation des populations musulmanes et de l’islamisation de l’Occident.
2. Sa jeunesse
Né en 1962 à Genève, Tariq Ramadan a connu une enfance dorée en Suisse. Son itinéraire est – comme pour de nombreux autres militants islamistes – celui d’un born again muslim, c’est-à-dire d’un musulman revenu sur le tard à sa religion. Contrairement à son père et à son grand-père, en effet, il n’a pas été élevé dans le strict respect de la tradition et son cursus scolaire a été presque totalement profane. Comme il le reconnaît lui-même dans un livre d’entretiens, la religion ne tenait pas une place importante dans sa jeunesse. Jusqu’à l’âge de 30 ans, il était un citoyen suisse de confession musulmane, beaucoup plus intéressé par le football que par l’islam ou la politique… Il a même envisagé un temps de devenir footballeur professionnel.
3. Sa rencontre avec Hassan Tourabi
Une des rencontres décisives, qui a décidé de son avenir, fut celle du leader islamiste soudanais, Hassan Tourabi. Francophone, Tourabi accueille le jeune Ramadan, auquel il promet un brillant avenir. Il aura une influence durable sur celui-ci, notamment concernant l’idée de « l’islamisation par le haut » (c’est-à-dire par le biais des élites) et aussi par son recours au double langage. Quelques années plus tard, en 1991, le leader islamiste soudanais accueillera un autre dirigeant islamiste, encore inconnu du grand public : Oussama Ben Laden.
4. Ses amis et réseaux d’influence
Tariq Ramadan est passé maître dans l’art de se créer des réseaux d’influence (qu’il appelle des « partenariats »). Parmi ces réseaux, figurent notamment celui des chrétiens de gauche (dont plusieurs ont avoué leur erreur après avoir compris qui était vraiment Ramadan, comme Christian Delorme), certains altermondialistes et plusieurs islamologues ou journalistes, comme François Burgat ou Alain Gresh, rédacteur en chef du Monde diplomatique, qui est resté jusqu’à aujourd’hui un des plus fidèles soutiens de Ramadan dans les médias français.
5. Son mentor, le cheikh Qaradawi
Parmi les théoriciens de l’islamisme qui ont le plus influencé Tariq Ramadan – outre son père, Said Ramadan, et Hassan Tourabi – figure le cheikh Qaradawi. Animateur d’une émission très suivie sur Al-Jazira, ce décisionnaire de l’islam proche des Frères musulmans s’est exilé au Qatar, après avoir été expulsé d’Egypte. Il a été interdit de séjour aux Etats-Unis (tout comme Ramadan) en raison de ses liens avec la banque Al-Taqwa, affiliée à Al-Qaida. Il est surtout célèbre pour avoir autorisé les attentats-suicides contre des civils israéliens, y compris ceux commis par des femmes (précisant que la femme kamikaze « peut même retirer son voile pour mener l’opération [suicide], car elle s’apprête à mourir pour la cause d’Allah et non pas à exhiber sa beauté »… Ramadan ne s’est jamais démarqué des positions extrémistes de Qaradawi, qui est en fait son véritable mentor politique.
6. Ramadan et les convertis
La femme de Tariq Ramadan, Isabelle, est une convertie. Ce point pourrait sembler anecdotique, mais il ne l’est pas du tout. Les convertis jouent en effet un rôle essentiel dans la stratégie islamiste de conquête de l’Occident, comme je l’ai montré dans mon dernier livre. Tariq Ramadan, comme son mentor Qaradawi et comme d’autres dirigeants islamistes, consacre une grande partie de sa propagande (da’wa) à destination des convertis potentiels, et plus généralement du public occidental non musulman. Un fait récent en témoigne : pendant de nombreuses années, Tariq Ramadan a publié ses livres chez des éditeurs musulmans spécialisés (comme l’éditeur Taw’hid de Lyon), touchant essentiellement un public musulman. Depuis quelques années, il publie des ouvrages s’adressant à un public beaucoup plus large, chez un éditeur qui a pignon sur rue à Paris, les Presses du Châtelet. Cela traduit sans aucun doute un changement qui n’est pas purement commercial, mais stratégique.
L’analyse du parcours de Tariq Ramadan et de son discours montre qu’il n’est pas un « réformiste » ou un réformateur de l’islam, mais qu’il poursuit la stratégie de conquête entamée par Hassan Al-Banna et par Said Ramadan, dont il est l’héritier et le continuateur. Le premier avait fondé, à travers l’organisation des Frères musulmans, une « avant-garde » de l’islam politique conquérant, aspirant à prendre le pouvoir en Egypte et dans les pays musulmans. Le second avait déplacé le combat islamiste vers l’Europe, anticipant avec beaucoup de lucidité l’importance grandissante des populations musulmanes installées en Occident. Tariq Ramadan, quant à lui, poursuit le même combat, en l’habillant d’un discours trompeur, et en prenant pour cible de sa propagande tant les musulmans d’Occident que les non-musulmans, convertis potentiels ou compagnons de route de l’islamisme militant.
Paul Landau
Anonyme
En Novembre, 2015 (17:24 PM)L'ennemie, c'est l'idéologie libérale capitaliste....
Française
En Novembre, 2015 (17:42 PM)Atypico
En Novembre, 2015 (18:15 PM)La seconde question que chaque citoyen dans le monde doit se poser est : "pouvons nous croire que les états du Golfe qui ont encouragés, financés les islamistes terroristes, et les états occidentaux qui ont porté la guerre en Afghanistan, en Irak pour avoir notamment la main sur le pétrole, et qui bombardent, en Syrie en alliance avec des dictateurs sanglants en coalitions ou en rivalités, sont à même de faire autre chose que de créer des ruines, du chaos, de la désolation et de la haine, donc de faire naitre et renaître ce type de nouveaux monstres ?"
Thiessois
En Novembre, 2015 (20:56 PM)C´était au temps de Christian Bonnet et Lionel Stoleru. Ceux qui étaient en France ces temps là se souviendront de ces fachistes- racistes. Dépité je suis parti dans un autre pays d´Europe qui m´accueillit, m´offrit meme une bourse. Et c´est là que j´eus la chance de décrocher un diplome d´ingénieur. Tout ceci pour vous dire combien est " grande " cette France qu´on nous chante à nous faire éclater la tete. Ah j´oubliais: Deux de mes oncles sont pourtant enterrés dans le sol Francais, venus pour libérer la France du Nazisme ! Voyez vous ? Pour vous dire que l´Islam est seulement un hasard pour ces jeunes. Le Problème principal c´est la politique francaise et le comportement de beaucoup de Francais qui sont plus fachistes que meme les Nazis.
Anonyme
En Novembre, 2015 (22:11 PM)Fakir
En Novembre, 2015 (22:47 PM)Anonyme
En Novembre, 2015 (02:48 AM)Momotaro
En Novembre, 2015 (04:33 AM)Arretons de jouer au philosophe, au poete ou tout simplement au pedant en parlant de la religion.
L'extremisme religieux, d'ou qu'il vienne, doit etre denonce sans equivoque. N'essayons pas de justifier la barbarie, qu'elle emane de nos proches ou pas,
Yotox
En Novembre, 2015 (06:12 AM)Seuls ceux qui le prennent comme maître à penser, croient parfois en ses discours par simplicité d’esprit et/ou préjugé anti-occidentale et anti-judéo-chrétienne. Ils le font aussi par ignorance de l’histoire de l’islam – souvent politique – et de son expansion tragique par le glaive.
S’il y a un ennemi sur lequel il ne faut pas se tromper, c’est plutôt celui d’un islam politique agressif et/ou activement prosélyte qui s’évertue constamment d’inverser les rôles et de propager son fondamentalisme par des impostures. Mr. Tarik Ramadan est d’ailleurs l’une des illustrations de ce raisonnement subversif du jihad idéologique qui falsifient et travestissent l’histoire de l’Orient au profit des Arabes et des musulmans. Dans ses rhétoriques, arabes et musulmans sont toujours exhibés comme les victimes de l’Occident et des sionistes, alors qu’ils furent et demeurent dans le raisonnement fanatisé de la domination obsessionnelle du monde.
Anonyme
En Novembre, 2015 (11:39 AM)Personne be veut reconnaitre les ressources energetiques notamment le Petrol comme la raison fondamentale de l'engagement des pays occidentaux dans les pays arabes. Ceci est passe sous silence.
Pour ma part, je partage pas que le monde actuel est confronte a une guerre de religion ou plus generalement de civilisation: personne ne veut plus vivre dans la pauvrete ou la misere, c'est cela la cilivilisation du 21e siecle, valable en Afrique et partout dans le monde.
En plus, chacun dans sa conscience la plus intime doute au mieux, et plus souvent be reconnait pas l'existence de Dieu.
Halifa
En Novembre, 2015 (11:58 AM)1. Situation à Aviation Handling Services (AHS).
2. Plateforme revendicative 2016 et le plan d’action du SUTTAAAS
3. Compte rendu audience avec le Ministre des Transports Aériens et du Tourisme
4. Préparation renouvellement conseil administration IPM TA
5. Divers
Sur le premier point, le Conseil Syndical dénonce vigoureusement la gestion gabégique, népotique, et clientéliste orchestrée par l’administration provisoire à AHS. Cette bande d’incompétents veut faire supporter au personnel son échec patent en supprimant par la terreur tous les avantages acquis par les travailleurs depuis plusieurs années. Depuis plusieurs semaines, la Direction d’AHS s’est engagée dans une vaste et dangereuse campagne de menaces, d’agressions physiques et de sanctions arbitraires et illégales dans l’optique d’éliminer toute possibilité de contestation de sa gestion chaotique. Parallèlement, avec d’importants moyens financiers, la Direction d’AHS mène une campagne médiatique mensongère pour déstabiliser le SUTTAAAS et son Secrétaire Général, le camarade Alassane NDOYE mais elle échouera lamentablement comme d’autres qui l’avaient tenté dans le passé. Par manque d’arguments objectifs et vérifiables, la Direction d’AHS sert aux plus hautes autorités du pays des arguments politiques fallacieux et sans preuves. Prétextant de sa proximité avec les plus hautes autorités du Sénégal, Monsieur Abdoulaye SYLLA a refusé et ignoré avec mépris toutes les propositions de sortie de crise proposées par Madame Le Ministre en charge du Transport Aérien qui s’est beaucoup investie pour éviter une détérioration rapide et dangereuse du climat social à l’aéroport Léopold Sédar Senghor . On se demande qui cautionne l’arrogance, l’insolence et le mépris de Monsieur Abdoulaye SYLLA ? Le Conseil Syndical du SUTTAAAS dénonce vigoureusement l’attitude inadmissible, irrespectueuse et dangereuse de Monsieur Abdoulaye SYLLA et invite ses supposés soutiens à le ramener à la raison avant qu’il ne soit trop tard. Le Conseil Syndical salue la décision de l’inspection Régionale du Travail de Dakar portant refus de de la demande de licenciement des 2 délégués du personnel introduite par la Direction d’AHS confirmant ainsi le caractère illégal et arbitraire de toutes les sanctions prises à l’encontre des travailleurs d’AHS. D E C L A R A T I O N 2
Le Conseil Syndical exige l’annulation de toutes les sanctions arbitraires et illégales prises par la Direction d’AHS et la reconnaissance du droit d’expression et de manifestation reconnu aux travailleurs dont le port des brassards rouges. Le Conseil Syndical dénonce les comportements abjects d’une infime minorité de 3 délégués du personnel et syndicaux, manipulés et achetés par la Direction d’AHS pour déstabiliser et diviser le SUTTAAAS. Le Conseil syndical salue l’élaboration de la plateforme revendicative 2016 du SUTTAAAS, tout en invitant tous les membres du syndicat et tous les travailleurs à la vigilance et à la mobilisation. Le Conseil Syndical salue la disponibilité et l’engagement au quotidien de son Secrétaire Général, le camarade Alassane NDOYE à qui il renouvelle sa confiance et son soutien tout en le félicitant des démarches menées pour la reprise des travaux sur le projet de nouvelle Convention Collective. Le Conseil Syndical se félicite du soutien sans faille apporté par la Confédération Nationale des Travailleurs du Sénégal (CNTS) et la Fédération Internationale des Ouvriers du Transport, à travers son Bureau pour l’Afrique Francophone et la CEDEAO particulièrement dans la gestion du dossier AHS. Le Conseil Syndical engage le Secrétaire Général du SUTTAAAS à déposer dans les plus brefs délais un préavis de grève de 24 heures renouvelables et demande à toutes les sections syndicales de préparer la campagne de port du brassard rouge, la marche des travailleurs du Transport Aérien et le ralentissement des rythmes de travail. Le Conseil Syndical remercie Madame le Ministre du Tourisme et des Transports Aériens pour l’audience accordée le Jeudi 9 octobre 2015 à une forte délégation du SUTTAAAS conduite par son Secrétaire Général. Le conseil syndical a prévu de renouveler d’ici la fin de l’année le conseil d’administration de l’IPM TA. A la suite de l’audience accordée par Madame le Ministre, le SUTTAAAS s’est engagé à déposer des mémorandums pour le handling, l’avitaillement, le catering le contrôle documentaire entre autres. Le conseil a en conclusion affirmé sa volonté de démontrer à la direction de AHS ce qu’est la SOLIDARITE AGISSANTE et prouvera sous peu sa capacité de mobilisation et de lutte afin que toutes les injustices soient bannies au niveau de cetteadministration provisoire et scélérate
Fait à Dakar, le 03 novembre 2015
Anonyme
En Novembre, 2015 (14:20 PM)Le Prophète (PBSL) avait pourtant recommandé la vigilance : « Soutiens ton frère qu’il soit juste ou injuste?! » Des compagnons s’étonnèrent : « Lorsqu’il est juste, cela est compréhensible, mais comment cela peut-il être quand il est injuste?? » – Le Prophète répondit : « En mettant un terme à son injustice?! »
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