« J’ai un code d’honneur et un sens de la responsabilité historique qui me commandent de préserver ma dignité et ma parole » Macky SALL, Président de la République.
« Min njamfotaaka, Min Pirtataa aadi ». «Nous ne trahirons pas, Nous ne romprons pas le pacte de promesse. »
Ce lundi 03 juillet 2023 marque assurément une étape décisive dans la marche de notre démocratie et n’est pas sans rappeler, toutes choses étant égales par ailleurs, la soirée historique du 31 décembre 1980 lorsque le Président Senghor annonçait sa décision de quitter le pouvoir. En effet, les populations sénégalaises matures et attachées à leur destinée, dans chaque communauté rurale, dans chaque commune, dans chaque région, ce peuple pacifique et patient des ethnies et des tarikhas, des riches et des moins fortunés, a prêté une oreille attentive au Président Macky Sall.
Une brève histoire de l’avenir
Il y a exactement quatre ans, au lendemain de la victoire du Président Sall à l’élection présidentielle de février 2019, j’écrivais ceci : avec toute l’humilité requise, je vais tenter de vous raconter la belle histoire des cinq prochaines années telles qu’on peut l’imaginer à partir de ce qu’on l’on sait aujourd’hui du bilan et des perspectives du Plan Sénégal émergent, autrement dit, vous conter une « brève histoire de l’avenir » pour reprendre la belle formule de Jacques Attali. J’ajoutais que « notre pays, notre peuple, notre culture, notre démocratie ont l’obligation de rentrer dans ce temps du temps d’après, dans lequel seul un puissant ressort moral et spirituel sera en mesure d’affronter les doctrines et les radicalités.»
De l’infrastructure morale
Des pays les plus riches aux contrées les plus pauvres, c’est la structure même des Institutions démocratiques qui craquelle de partout, sous les applaudissements de la presse à scandale et la colère des jeunes sans emploi. Ce craquèlement est la conséquence directe d’un affaissement de l’infrastructure morale surtout au sein de la population jeune. Partant du postulat que les valeurs, pour abstraites qu’elles soient, peuvent être considérées comme des idéaux collectifs, susceptibles d’orienter les actions individuelles, sera-t-il possible de réussir l’émergence sans en tenir compte ? Surtout « qu’une fois les valeurs ordonnées, elles sont porteuses d’une vision du monde, donnent un sens aux pratiques des individus, et s’imposent à eux »* Max Weber, dans « L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme » montre que des valeurs, -religieuses dans son cas-, peuvent être un des facteurs du changement économique et social, que ce facteur pouvait jouer un rôle essentiel dans certaines transformations sociales et intervenir de façon très indirecte dans d’autres. Il en est ainsi, selon Weber, de l’essor de l’esprit d’entreprise et du capitalisme moderne, qui a été favorisé par la morale issue du calvinisme. Il nous faut donc aller au-delà du bilan infrastructurel pour insister sur les perspectives qui touchent à l’éthique, à la paix, à la sécurité, à la construction du citoyen, à l’infrastructure morale, en bref aux valeurs. En ignorant totalement cet aspect du problème et en ne se focalisant que sur des aspects techniques et technocratiques, ne fait-on pas bon marché des aspects liés aux normes et valeurs, à la culture, à la religion, bref aux aspects sociaux de la nation, comme facteurs indispensables pour tout développement économique ?
Permettez-moi à ce niveau de visiter « Le Sénégal au Cœur » du Président Macky Sall, œuvre dans laquelle on découvre à la fois des leçons de dignité et de patriotisme, d’humilité et de courage, des leçons de vie simplement, et qui permet de comprendre le refus du Président Sall de se présenter à la prochaine élection présidentielle.
Des Valeurs
Leçon de dignité
« Ma mère plaçait la dignité au-dessus de tout : elle nous a élevés dans le culte de l’effort et de la fierté, elle nous a appris à nous suffire de ce que nous avions et à ne pas envier de plus nantis que nous. Mon père disait on peut perdre une bataille, mais il faut toujours garder l’arme au poing pour gagner la suivante » p.16
Leçon de patriotisme
« On ne peut pas diriger un pays et ne pas se mettre à son service, sinon on n’est là que pour son intérêt personnel et son ego surdimensionné. Je travaille à tracer des sillons à transformer mon pays, le Sénégal, de façon à laisser quelque chose derrière moi, non pour ma propre postérité, mais pour cette terre qui m’a vu naître ». p.44
Leçon d’humilité
« Politiquement, j’engrange de l’expérience et j’observe. Je ne fais pas les titres des journaux, je ne cherche pas la lumière, je passe pour un bon cadre du PDS, qui ne fait pas de vagues et reste loin des intrigues. Lors des photos de groupe, je n’essaie pas de jouer des coudes : ce n’est pas mon tempérament, ni ma manière d’exister » p.46
Leçon de vie
« La trahison, les complots et les intrigues n’existent pas dans le disque dur de mon éducation et de ma vision du monde. Je ne crois ni à la ruse ni à la philosophie consistant à penser que tous les coups sont permis en politique » p.73
C’est donc une démarche tout en hauteur qu’a adoptée le Président SALL, qui voudrait que les paroles soient corroborées voire précédées par des actes car ici, comme nous le dit si bien André GIDE, « ce n’est pas seulement le monde qu’il s’agit de changer mais l’homme. D’où surgira-t-il, cet homme neuf ? Non du dehors, camarade, saches le découvrir en toi-même (« Xam sa bopp ») et comme du minerai l’on extrait un pur métal sans scories, exiges de toi cet homme attendu.» A la lecture du « Prince » de MACHIAVEL, César BORGIA, le héros principal a une philosophie bien simple ! « La fin justifie les moyens, tous les moyens en politique ». Hé bien pour le Président Macky SALL, ce sont des normes et des valeurs positives, un éthos politique, une morale, qui régissent et guident ses actions. En ce sens, il vient de nous administrer une belle leçon d’éthique en politique en décidant de ne pas participer à la prochaine élection présidentielle.
Et demain ?
Je voudrais très humblement rappeler à nos amis de BBY que le changement social postule deux paradigmes à savoir :
-les facteurs du changement social c'est-à-dire le contexte économique, culturel, social ;
-les acteurs du changement que constituent les élites, toutes les élites, les mouvements sociaux, les organisations politiques etc.
Si l’on ne peut pas ignorer l’importance du contexte, ce sont les acteurs qui sont déterminants dans la mise en avant d’atouts propres à capter une population désorientée par une manipulation médiatique orchestrée par l’opposition. Il nous faudra donc mettre la volonté politique au service de la compétence, la compétence au service de l’Etat, l’Etat au service des citoyens, les citoyens au service du pays. Bien entendu, cette ambition à laquelle nous invite le Président de la République ne sera possible que dans :
-la solidarité ou l’obligation morale d’assistance mutuelle;
-l’unité,c'est-à-dire cette harmonie d’ensemble d’une œuvre politique ou cette combinaison de différentes choses de manière qu’elles ne forment plus qu’un tout;
-le travail ou l’occupation rétribuée, qui en économie politique est l’un des facteurs de production. Il s’agit de se donner de la peine pour faire, pour exécuter une chose qui produise un intérêt;
-la justice, c'est-à-dire la vertu morale qui fait rendre à chacun ce qui lui est dû, une justice économique et sociale, objectif d’une économie menée en vue d’assurer entre les individus une égalité –au moins relative- en matière de satisfaction des besoins.
Les décisions des leaders politiques sont principalement influencées par leurs perceptions de la réalité qui sont faites de l’appréciation qu’ils portent sur leur État comme sur celui des pays tiers, de leurs informations, de l’attirance ou de la répulsion qu’ils éprouvent face à tel interlocuteur ou fait international, de leur prédisposition à agir ou à temporiser, des valeurs qu’ils ont intériorisées au fil des années
Pendant douze ans, le Président Sall n’a eu de cesse d’exhorter les militants et la direction de son parti, l’APR, à travailler avec ses partenaires politiques de BBY dans un esprit critique, sans suspicion, mais avec l’humilité requise, pour une refondation de la République sur des bases démocratiques et transparentes. Le Président invite donc la coalition BBY à réfléchir sur des thèmes aussi importants et urgents que les stratégies qui offrent à une collectivité humaine une représentation du monde et de la société qui lui permet d’agir sur la défense de ses intérêts matériels. Il nous faudra donc réfléchir sur comment transformer notre coalition, le BBY et la Grande Majorité Présidentielle en un puissant facteur de mobilisation afin qu’ il puisse entreprendre des actions pour gagner d’abord, abréger les souffrances et les frustrations des masses ensuite, et ouvrir à notre pays des perspectives qui l’éloignent de la médiocrité ; il nous faudra réfléchir et proposer les modalités à mettre en œuvre pour promouvoir réellement la construction nationale, édifier une société juste et fraternelle pour permettre à chaque Sénégalaise, chaque Sénégalais, d’occuper la place que lui assignent ses mérites et son dévouement aux intérêt du pays (Jëf Jël,Ñaq Jariñu).
Conclusion
Nos cœurs sont en souffrance, les mots nos maux. Cherchons donc chers compatriotes et trouvons des fissures dans l’infortune. Montrons que notre survie est dans la construction de soi. Au nom de la Nouvelle Alliance des Forces Républicaines (NAFORE), je dis « chapeau bas, Monsieur le Président. Nos prières ferventes vous accompagnent, afin que l’après - mandat vous permette de vous installer dans l’Histoire de ce beau pays, après y être entré avec fracas en 2012. Qu’Allah continue de veiller sur ce pays.
Ce lundi 03 juillet 2023 marque assurément une étape décisive dans la marche de notre démocratie et n’est pas sans rappeler, toutes choses étant égales par ailleurs, la soirée historique du 31 décembre 1980 lorsque le Président Senghor annonçait sa décision de quitter le pouvoir. En effet, les populations sénégalaises matures et attachées à leur destinée, dans chaque communauté rurale, dans chaque commune, dans chaque région, ce peuple pacifique et patient des ethnies et des tarikhas, des riches et des moins fortunés, a prêté une oreille attentive au Président Macky Sall.
Une brève histoire de l’avenir
Il y a exactement quatre ans, au lendemain de la victoire du Président Sall à l’élection présidentielle de février 2019, j’écrivais ceci : avec toute l’humilité requise, je vais tenter de vous raconter la belle histoire des cinq prochaines années telles qu’on peut l’imaginer à partir de ce qu’on l’on sait aujourd’hui du bilan et des perspectives du Plan Sénégal émergent, autrement dit, vous conter une « brève histoire de l’avenir » pour reprendre la belle formule de Jacques Attali. J’ajoutais que « notre pays, notre peuple, notre culture, notre démocratie ont l’obligation de rentrer dans ce temps du temps d’après, dans lequel seul un puissant ressort moral et spirituel sera en mesure d’affronter les doctrines et les radicalités.»
De l’infrastructure morale
Des pays les plus riches aux contrées les plus pauvres, c’est la structure même des Institutions démocratiques qui craquelle de partout, sous les applaudissements de la presse à scandale et la colère des jeunes sans emploi. Ce craquèlement est la conséquence directe d’un affaissement de l’infrastructure morale surtout au sein de la population jeune. Partant du postulat que les valeurs, pour abstraites qu’elles soient, peuvent être considérées comme des idéaux collectifs, susceptibles d’orienter les actions individuelles, sera-t-il possible de réussir l’émergence sans en tenir compte ? Surtout « qu’une fois les valeurs ordonnées, elles sont porteuses d’une vision du monde, donnent un sens aux pratiques des individus, et s’imposent à eux »* Max Weber, dans « L’éthique protestante et l’esprit du capitalisme » montre que des valeurs, -religieuses dans son cas-, peuvent être un des facteurs du changement économique et social, que ce facteur pouvait jouer un rôle essentiel dans certaines transformations sociales et intervenir de façon très indirecte dans d’autres. Il en est ainsi, selon Weber, de l’essor de l’esprit d’entreprise et du capitalisme moderne, qui a été favorisé par la morale issue du calvinisme. Il nous faut donc aller au-delà du bilan infrastructurel pour insister sur les perspectives qui touchent à l’éthique, à la paix, à la sécurité, à la construction du citoyen, à l’infrastructure morale, en bref aux valeurs. En ignorant totalement cet aspect du problème et en ne se focalisant que sur des aspects techniques et technocratiques, ne fait-on pas bon marché des aspects liés aux normes et valeurs, à la culture, à la religion, bref aux aspects sociaux de la nation, comme facteurs indispensables pour tout développement économique ?
Permettez-moi à ce niveau de visiter « Le Sénégal au Cœur » du Président Macky Sall, œuvre dans laquelle on découvre à la fois des leçons de dignité et de patriotisme, d’humilité et de courage, des leçons de vie simplement, et qui permet de comprendre le refus du Président Sall de se présenter à la prochaine élection présidentielle.
Des Valeurs
Leçon de dignité
« Ma mère plaçait la dignité au-dessus de tout : elle nous a élevés dans le culte de l’effort et de la fierté, elle nous a appris à nous suffire de ce que nous avions et à ne pas envier de plus nantis que nous. Mon père disait on peut perdre une bataille, mais il faut toujours garder l’arme au poing pour gagner la suivante » p.16
Leçon de patriotisme
« On ne peut pas diriger un pays et ne pas se mettre à son service, sinon on n’est là que pour son intérêt personnel et son ego surdimensionné. Je travaille à tracer des sillons à transformer mon pays, le Sénégal, de façon à laisser quelque chose derrière moi, non pour ma propre postérité, mais pour cette terre qui m’a vu naître ». p.44
Leçon d’humilité
« Politiquement, j’engrange de l’expérience et j’observe. Je ne fais pas les titres des journaux, je ne cherche pas la lumière, je passe pour un bon cadre du PDS, qui ne fait pas de vagues et reste loin des intrigues. Lors des photos de groupe, je n’essaie pas de jouer des coudes : ce n’est pas mon tempérament, ni ma manière d’exister » p.46
Leçon de vie
« La trahison, les complots et les intrigues n’existent pas dans le disque dur de mon éducation et de ma vision du monde. Je ne crois ni à la ruse ni à la philosophie consistant à penser que tous les coups sont permis en politique » p.73
C’est donc une démarche tout en hauteur qu’a adoptée le Président SALL, qui voudrait que les paroles soient corroborées voire précédées par des actes car ici, comme nous le dit si bien André GIDE, « ce n’est pas seulement le monde qu’il s’agit de changer mais l’homme. D’où surgira-t-il, cet homme neuf ? Non du dehors, camarade, saches le découvrir en toi-même (« Xam sa bopp ») et comme du minerai l’on extrait un pur métal sans scories, exiges de toi cet homme attendu.» A la lecture du « Prince » de MACHIAVEL, César BORGIA, le héros principal a une philosophie bien simple ! « La fin justifie les moyens, tous les moyens en politique ». Hé bien pour le Président Macky SALL, ce sont des normes et des valeurs positives, un éthos politique, une morale, qui régissent et guident ses actions. En ce sens, il vient de nous administrer une belle leçon d’éthique en politique en décidant de ne pas participer à la prochaine élection présidentielle.
Et demain ?
Je voudrais très humblement rappeler à nos amis de BBY que le changement social postule deux paradigmes à savoir :
-les facteurs du changement social c'est-à-dire le contexte économique, culturel, social ;
-les acteurs du changement que constituent les élites, toutes les élites, les mouvements sociaux, les organisations politiques etc.
Si l’on ne peut pas ignorer l’importance du contexte, ce sont les acteurs qui sont déterminants dans la mise en avant d’atouts propres à capter une population désorientée par une manipulation médiatique orchestrée par l’opposition. Il nous faudra donc mettre la volonté politique au service de la compétence, la compétence au service de l’Etat, l’Etat au service des citoyens, les citoyens au service du pays. Bien entendu, cette ambition à laquelle nous invite le Président de la République ne sera possible que dans :
-la solidarité ou l’obligation morale d’assistance mutuelle;
-l’unité,c'est-à-dire cette harmonie d’ensemble d’une œuvre politique ou cette combinaison de différentes choses de manière qu’elles ne forment plus qu’un tout;
-le travail ou l’occupation rétribuée, qui en économie politique est l’un des facteurs de production. Il s’agit de se donner de la peine pour faire, pour exécuter une chose qui produise un intérêt;
-la justice, c'est-à-dire la vertu morale qui fait rendre à chacun ce qui lui est dû, une justice économique et sociale, objectif d’une économie menée en vue d’assurer entre les individus une égalité –au moins relative- en matière de satisfaction des besoins.
Les décisions des leaders politiques sont principalement influencées par leurs perceptions de la réalité qui sont faites de l’appréciation qu’ils portent sur leur État comme sur celui des pays tiers, de leurs informations, de l’attirance ou de la répulsion qu’ils éprouvent face à tel interlocuteur ou fait international, de leur prédisposition à agir ou à temporiser, des valeurs qu’ils ont intériorisées au fil des années
Pendant douze ans, le Président Sall n’a eu de cesse d’exhorter les militants et la direction de son parti, l’APR, à travailler avec ses partenaires politiques de BBY dans un esprit critique, sans suspicion, mais avec l’humilité requise, pour une refondation de la République sur des bases démocratiques et transparentes. Le Président invite donc la coalition BBY à réfléchir sur des thèmes aussi importants et urgents que les stratégies qui offrent à une collectivité humaine une représentation du monde et de la société qui lui permet d’agir sur la défense de ses intérêts matériels. Il nous faudra donc réfléchir sur comment transformer notre coalition, le BBY et la Grande Majorité Présidentielle en un puissant facteur de mobilisation afin qu’ il puisse entreprendre des actions pour gagner d’abord, abréger les souffrances et les frustrations des masses ensuite, et ouvrir à notre pays des perspectives qui l’éloignent de la médiocrité ; il nous faudra réfléchir et proposer les modalités à mettre en œuvre pour promouvoir réellement la construction nationale, édifier une société juste et fraternelle pour permettre à chaque Sénégalaise, chaque Sénégalais, d’occuper la place que lui assignent ses mérites et son dévouement aux intérêt du pays (Jëf Jël,Ñaq Jariñu).
Conclusion
Nos cœurs sont en souffrance, les mots nos maux. Cherchons donc chers compatriotes et trouvons des fissures dans l’infortune. Montrons que notre survie est dans la construction de soi. Au nom de la Nouvelle Alliance des Forces Républicaines (NAFORE), je dis « chapeau bas, Monsieur le Président. Nos prières ferventes vous accompagnent, afin que l’après - mandat vous permette de vous installer dans l’Histoire de ce beau pays, après y être entré avec fracas en 2012. Qu’Allah continue de veiller sur ce pays.
* E. DURKHEIM
YORO BA Sociologue, Master 2 Défense, Sécurité et Paix
Président NAFORE (Nouvelle Alliance des Forces Républicaines)
Conseiller Spécial Présidence de la République
Président NAFORE (Nouvelle Alliance des Forces Républicaines)
Conseiller Spécial Présidence de la République
15 Commentaires
un peu détoucoulorisation avant que tu ne fiches le camp. Ca aiderait grandement ton remplacnt qui sera obligé de le faire pour retablir l'équilibre. Pendant 11 ans le minable a trop joué sur cette corde ethnique en les bombardant DG et postes dans les ambassades.
Moi-meme ma mere est toucouleur mais Macky a trop abusé de cela. Prenez n'importe quel journal de 20h à la RTS tu vois les autorités halpoukard qui se défilent,. On dirait une republique des toucouleur. C'est ahurissant le ndéddokobandoumisme exagéré sous Macky Sall
Torodo Djaaby Torodo
En Juillet, 2023 (02:08 AM)Haalamah ko kotteh mehhe: Deh valeurs humaines dawii MAcky hiirdou:
How can you associate MAcky Sall with human value ? " Khanaah yow" an tu es tombé Du ciel - where were you to miss out on the tragic, horrific, unlawful and reckless.
comment un Polpot peut-Il être loué De cette manière fut -Il un Neddo ko bandii. Les poularoide sont dangereux dans un État moderne
La pire des statuts de citoyen est celui qui vous fait cohabiter dans Une État moderne dirige Par un poular ( Des poulars Je devais dire - Car Il gouvernent en meute en Clan en pirates ).
Tu es intellectuellement malhonnête comme le prouve ta bouillabaise de Semantique clienteliste, ethniciste, et pathogène.
Your Master degree has no essence - you might have some post graduate education but you are not an intellectual because you do not celebrate social justice (equity and fairness preferring ethnocentrism to those values that boud a modern society )
Moorrmah - awonaah haaffizzi shame on you for not bearing any wisdom. Tu degrade le niveau Master pour ne pas porter la sagesse.
Damga - Guenaar - Lao - Toro - Guidimaka: Senegal is Senegal MAcky is a Senegalese - Président MAcky sall is not necessarily effective because he is à Poular. The is essence is not genetic, nor is it family or ethnicity.
Pastef in the 4 corners of the planet Earth is say hello bandit raaddo.
The Southern Pacific
Reply_author
En Juillet, 2023 (02:17 AM)Sorry for minor typo mistakes due tu the rush and frustration triggered by this gold digger: pardon pour quelques erreurs sur le typing; causes par la rapitdite et la frustration née de l'attitude de se creuser d'or ( Comme disent les Australiens à propos des opportunistes déguisés : " Gold diggers" )
Bouna
En Juillet, 2023 (22:30 PM)Madou
En Juillet, 2023 (02:37 AM)Les manipulations n'y feront rien. Les comptes seront rendus et c'est pour bientot. En attendant faite Ce que voulez et décidez comme vous voulez, prédisez comme vous voulez sur le retour au calme et à la paix, parceque vous tantôt libéré un X Ou un Y arbitrairement arrêter pour vous servir d'instrument de chantage et marchandage. Birame Souleye libéré, par le juge Maham Diallo précise t on. El Malick Ndiaye libéré. Les députés de Benno qui demandent la suppression d'une demande de Macky Sall sur l'article 87. Certains parlent déjà de mesures d'apaisement. Nous, nous disons à ces juges et députés, qu'ils sachent n'avoir pas affaire à des enfants. Il n'existe pas sur cette terre ce qu'ils pourront faire pour faire oublier leurs crimes. Ils ont consciemment et volontairement fait le mal, ils ont menti, soutenu, cautionné ou validé ce mensonge. Ils ont torturé, fait souffrir, causé la morts de sénégalais, volontairement, sans aucune raison autre que satisfaire Firaouna Sall. Il faudra absolument qu'ils payent ces crimes. Point. Barre. Rêver de tout autre scénario, c'est se foutre le doigt dans l'œil, la presse des 100 nous bassine avec un Madior Fall à l'assemblée pour, disent-ils, supprimer la CREI, redonner à Khalifa et Karim leurs droits qu'ils leur avaient pris par la force doolé mbaam, modifier les procésures pénales. On s'en fiche. Parce que c'est toujours le satanisme de Macky Sall, couvert par des médias, qui se déroule. La CREI qu'ils vont supprimer n'existait pas. Karim et Khalifa n'avait perdu aucun droit au nom de la loi. Ils l'ont perdu par la volonté et la force de Macky Sall. C'est lui qui a décidé de leur rendre le droit qu'il leur avait pris para force. Macky Sall n'a jamais respecté une procédure pénale. La dernière preuve est Birane Souleye. Député, on l'arrête quand même parce que c'est un flagrant délit. Puis on instruit parce que ce n'est pas un flagrant délit. Durant 11 ans aucune procédure pénale n'a été respéctée au Sénégal lorsque le respect empêche à Macky Sall de faire ce qu'il veut ou le retarde. Et pourquoi diable cela doit changer pour protéger Macky et son armée de satanistes ?
Toute loi, au Sénégal, qui empêche de faire à un membre du satanisme de Macky Sall ce qu'on veut serait une loi illégale, parce qu'elle assurerait l'impunité.Ces gens doivent payer leurs crimes. Comme disait l'autre, ce sera le tout de la loi. Il faut savoir si les sénégalais veulent d'une république ou d'une porcherie. Des membres du pouvoir de Macky et de la dynastie Faye-Sall-Timbo échappant à la justice, le Sénégal serait une porcherie
Detoucoulorisation
En Juillet, 2023 (02:45 AM)Damel Fall
En Juillet, 2023 (23:15 PM)Zmajuscule
En Juillet, 2023 (23:37 PM)Conseiller ? Demandez lui combien de fois il a rencontré le president
Il ne le croise meme pas dans les couloirs du palais
Terwhat
En Juillet, 2023 (02:19 AM)Ami De Yoro
En Juillet, 2023 (04:00 AM)Yoro, une personne que j'apprecie enormement depuis Sanar. Une personne entiere et tres genereux.
Nous ne sommes point du meme bord (moi je pense qu'un rupture s'impose et des lors, Sonko est la solution lol). mais un grand plaisir de te revoir apres plus de 25 ans.
Keep it up brother!
Se rabaisser ainsi dans la courtisannerie ,
Chanter les louanges comme un Farba Ngom
C'est indigne et déshonorant
Car un Lamtoro ne pleure pas quand il est menacé d'emprisonnement
Et il n'a pas peur de ses adversaires au point de vouloir tous les emprisonner
Yoro ba, conseiller inconnu parmi 50, dit n'importe quoi
Il y a que des laudateurs menteurs comme ce Yoro Ba qui racontent des mensonges
Mais c'est pas le plus important dans la vie d'un homme l'essentiel ce sont les valeurs humaines qui font la grandeur d'un individu et Macky Sall n'a aucune grandeur il a tue plus de 50 jeunes senegalais sans aucune raison il a emrmprisonne plus de 1000 senegalais pour des accusations fallacieuses il va payer pour tous ses crimes
Senegalais Lamda
En Juillet, 2023 (11:05 AM)J'attire votre attention sur la personne qui te critique à travers les commentaires que c'est la même personne. Sokhor rek ak agnane molen diap
Bravo a ce monsieur Yoro Ba, moi jai bien lu et saissi le contenu
Merci
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