Partout où il est passé, à l'ASEPEX d'abord, ensuite au Ministère du commerce où il a, avec brio, stabilisé les prix des denrées de 1ère nécessité pendant cinq ans sans hausse, réduit la hausse vertigineuse du prix des loyers, et porté haut le flambeau du Sénégal à l'Organisation mondiale du Commerce (OMC), les avis sont unanimes honnêteté, intégrité et compétence. La loyauté est la pierre angulaire de son engagement politique. Sans faire de vague, Alioune SARR est en train de transformer son Diobass natal dont il est le Maire.
L'enfant du terroir a compris l'importance du changement de statut que l'Acte 3 a conféré aux territoires ruraux.
Ainsi Notto-Diobass fait sa mue sous son magistère. Le territoire se transforme en tirant profit de la proximité des infrastructures et équipements charriés par le Plan Sénégal Emergent.
Notto-Diobass est aujourd'hui un réceptacle des politiques publiques de logement qui lui assure une certaine vitalité au-delà de la valorisation des fortes potentialités que propose un capital foncier aux aptitudes agronomiques éprouvées.
Le Domaine agricole communautaire de la commune l'illustre éloquemment
Bassirou Gaye Responsable politique AFP à Touba
Coordonnateur de la ZONE 11de Touba
2 Commentaires
La Vérité Finale
En Octobre, 2019 (19:57 PM)Je pense que le projet initié par Mr Alioune SARR, Maire de Notto Diobass et Mr FOFANA, Ministre de l’urbanisme et de l’habitat à Notto Diobass, Thiès, concernant la construction de 6.500 logements, est une excellente idée, belle initiative qui répond aux exigences d’un peuple grandissant. Cependant, c’est avec une légère amertume et beaucoup de frustration que je vais au travers de ce message, féliciter l’initiative de Mr Alioune SARR, Maire de Notto Diobass et Mr FOFANA, Ministre de l’urbanisme et de l’habitat, tout en expliquant plus loin pourquoi ces sentiments mitigés. Le Sénégal est un pays dont la production en logements en général est très déficitaire. Son accélération entrainera sans s’en rendre compte et de manière systématique une réussite dans le domaine de l’inclusion financière, augmentant fortement le faible taux de bancarisation, et luttant farouchement dans le même élan, contre la pauvreté au Sénégal. Nous savons très bien qu’un projet de promotion immobilière, fait comme il se doit, dans les règles de l’art, avec tous les équipements (boutiques, écoles primaires, secondaires, centres de santé etc..) dans ses sites, lutte effectivement contre l’exode rural. Et qui lutte contre l’exode rural combat l’immigration clandestine dans toutes ses formes car c’est un exode échoué qui donne envie de prolonger son voyage hors du pays.
Nous ne pouvons que nous réjouir de telles initiatives qui offrent des nouvelles opportunités, de nouveaux emplois et de nouvelles perspectives aux populations. La concurrence quant à elle, est une excellente chose, elle permet non seulement à la clientèle d’avoir plusieurs options, mais aussi de casser les prix, au grand bonheur de ces mêmes clients. Le besoin est là, les promoteurs sont là, mais trop peu de sociétés arrivent à s’en sortir pour multiples raisons que j’énumérerai dans un prochain article, car je veux parler d’autre chose dans celui-ci.
Pouvez-vous me faire la genèse du Groupe SCAC Afrique ?
C’est mon devoir de relever une surprenante et extraordinaire anomalie que j’ai énormément de mal à comprendre et à digérer. Mais afin que vous compreniez, permettez-moi de vous faire un historique de la situation. Le 21 Avril 2009, après dix-huit ans aux Etats-Unis dans le domaine des finances pour automobiles, aidant des milliers de personnes par an, à accéder aux crédits automobiles, souvent sans apport personnel et sans garantie, j’ai décidé de répondre à l’appel qu’avait lancé le Président de la République d’alors, Son Excellence Me Abdoulaye WADE, demandant aux sénégalais de revenir apporter leur contribution au développement du pays.
J’ai décidé une fois arrivé au pays, de créer une société dénommée le Groupe SCAC Afrique SARL (Société de Crédit A la Consommation) Afrique auprès de la réputée notaire, Nafissatou DIOP CISSE. Dans le but de mieux aider à la décentralisation et de lutter efficacement contre l’exode rural et la pauvreté, j’ai décidé de modifier mon ancien fonctionnement des USA en l’adaptant à l’immobilier. Encore une fois, pour nous le but a toujours été de permettre à un individu lambda d’accéder à la propriété en deux phases :
Phase 1 : acquisition d’une parcelle de terre sans apport personnel et sans garantie
payable en 10 ans.
Phase 2 : Financement total des constructions payables sur 25 ans
Tout avait correctement commencé sur les sites de Kaolack, Diourbel et Saint-Louis-Louga, toutefois les dossiers de Thiès ont traversé toutes les épreuves du monde, de la délibération jusqu’à l’obtention de l’attestation de bail, c’est-à-dire que nous avons payé tous les frais auprès de Mr Ndiaga LO (remplacé par Pascal DIONE actuel Receveur des domaines de Thiès). Toutes les procédures jusqu’au CCOD, jusqu’au Ministère du budget (au temps du Ministre Mr Birane MANGARA), puis la primature (au temps de Son Excellence Abdallah Boune DIONNE), qui l’a diligenté à la présidence sous le Projet décret numéro FC 089 du 16/01/2015. Et jusqu’aujourd’hui nous n’avons pas le sésame de nos clients.
Peut-on parler de blocage dans le dossier du Groupe SCAC Afrique ?
J’ai connu plusieurs Présidents d’Afrique par l’entremise de notre ancien Président de la République Son Excellence Me Abdoulaye WADE et je leur reconnais un certain degré d’extrême occupation dont je ne peux leur tenir rigueur en tant que simple citoyen. Nul ne peut et ne doit les bousculer surtout lorsqu’on sait très bien que le nôtre n’est pas seulement là pour les intérêts de certains, mais plutôt pour tout le peuple. Toutefois, même si je me refuse à penser négativement, les faits restent éloquents. Force est de voir que pour l’un des plus grands projets immobiliers du pays en son temps, Le Groupe SCAC Afrique était et reste toujours voué aux gémonies, livré à lui-même sans aucun soutien administratif pour encourager cette initiative, livré à la vindicte populaire, insultée dans les radios nationales et les plateaux de télévision parce que tout simplement, l’administration est trop occupée pour signer son projet de bail, malgré le fait qu’on ait fait TOUT ce qui est humainement possible pour que le dossier arrive jusqu’à la Présidence. C’est l’endroit de prendre à témoin l’opinion, et le peuple Sénégalais. Tous doivent savoir que SCAC veut poursuivre sa mission d’offrir à chaque Sénégalais un toit et ce, malgré les circonstances actuelles.
Quel est le lien avec Alioune SARR et que revendiquez-vous alors face à leur projet ?
Mr Alioune SARR est le Maire de Notto Diobass et l’actuel Ministre du tourisme, et c’est lui qui nous avait octroyé cent trente hectares 130 ha à Mbomboye, pour lesquels nous avons préféré lui rétrocéder quatre-vingt hectares 80 ha sur une demande verbale de ce dernier après de violentes manifestations, organisées par une partie de la population. Nous parlons alors de Décembre 2009. Mes questions sont les suivantes :
- Si après 10 ans, les papiers nous permettant de livrer effectivement les parcelles à notre vaillante clientèle (4.000 dont 500 ont soldé, dispersés sur plusieurs sites) sont toujours bloqués, alors que nous avons rempli toutes les formalités administratives et payé toutes les sommes dues pour être régularisés, comment se ferait-il qu’une autre entité, serait-elle membre du gouvernement, démarre et obtienne tous ses documents aux yeux et sus des populations et de notre clientèle toujours en attente ?
- Pourquoi leurs documents sont-ils signés alors que les nôtres ne le sont toujours pas ?
- Pourquoi avoir choisi le site en face de celui du Groupe SCAC Afrique ?
- Que pense Alioune SARR des 4.000clients constitués en collectif et qui le suppliaient de le rencontrer en vain jusqu’aujourd’hui ?
- Y-avait-il une vraie raison pour bloquer les dossiers du Groupe SCAC Afrique ?
- Quelle était la vraie motivation derrière la décrédibilisation du Groupe SCAC Afrique ?
En refusant de bousculer l’administration, je mettais le tort sur les lenteurs de procédures et invitais tout le monde à être patient malgré les pertes sèches et la faillite presque cuisante au niveau national. Mais là je ne suis pas d’accord parce que selon moi, une bonne concurrence est saine pour l’économie d’un pays, mais, on ne peut pas courir avec quelqu’un dont on vient d’amputer les jambes.
Comment avez-vous survécu ces tsunamis ?
Dans un premier temps j’ai préféré me taire car je ne me reconnaissais pas dans ce que j’entendais et lisais. J’ai fait les choux gras de la radio et de la TFM au grand dam de ma famille et de mes amis d’enfance au pays. Il n’y a que DIEU, le travail et la détermination qui payent. Ce n’est alors que par la grâce de DIEU et le soutien du Président WADE que je m’en suis sorti. Il m’a ouvert la porte à d’autres pays et je me suis lancé. Toutefois mon inquiétude demeure pour mes 4.000 clients au Sénégal dont 500 qui ont soldé et n’arrivent toujours pas à entrer en possession de leur bien.
PS : Je suis à 1.000 % pour la construction de plus de logements, mais je suis encore plus pour l’équité et la justice dans la gestion de la chose administrative. Je garde énormément d’informations, de documents PDF, et autres informations que je réserve pour mes prochaines correspondances au cas où certains auraient besoin de clarification.
Devoir De Vérité
En Octobre, 2019 (20:03 PM)Je pense que le projet initié par Mr Alioune SARR, Maire de Notto Diobass et Mr FOFANA, Ministre de l’urbanisme et de l’habitat à Notto Diobass, Thiès, concernant la construction de 6.500 logements, est une excellente idée, belle initiative qui répond aux exigences d’un peuple grandissant. Cependant, c’est avec une légère amertume et beaucoup de frustration que je vais au travers de ce message, féliciter l’initiative de Mr Alioune SARR, Maire de Notto Diobass et Mr FOFANA, Ministre de l’urbanisme et de l’habitat, tout en expliquant plus loin pourquoi ces sentiments mitigés. Le Sénégal est un pays dont la production en logements en général est très déficitaire. Son accélération entrainera sans s’en rendre compte et de manière systématique une réussite dans le domaine de l’inclusion financière, augmentant fortement le faible taux de bancarisation, et luttant farouchement dans le même élan, contre la pauvreté au Sénégal. Nous savons très bien qu’un projet de promotion immobilière, fait comme il se doit, dans les règles de l’art, avec tous les équipements (boutiques, écoles primaires, secondaires, centres de santé etc..) dans ses sites, lutte effectivement contre l’exode rural. Et qui lutte contre l’exode rural combat l’immigration clandestine dans toutes ses formes car c’est un exode échoué qui donne envie de prolonger son voyage hors du pays.
Nous ne pouvons que nous réjouir de telles initiatives qui offrent des nouvelles opportunités, de nouveaux emplois et de nouvelles perspectives aux populations. La concurrence quant à elle, est une excellente chose, elle permet non seulement à la clientèle d’avoir plusieurs options, mais aussi de casser les prix, au grand bonheur de ces mêmes clients. Le besoin est là, les promoteurs sont là, mais trop peu de sociétés arrivent à s’en sortir pour multiples raisons que j’énumérerai dans un prochain article, car je veux parler d’autre chose dans celui-ci.
Pouvez-vous me faire la genèse du Groupe SCAC Afrique ?
C’est mon devoir de relever une surprenante et extraordinaire anomalie que j’ai énormément de mal à comprendre et à digérer. Mais afin que vous compreniez, permettez-moi de vous faire un historique de la situation. Le 21 Avril 2009, après dix-huit ans aux Etats-Unis dans le domaine des finances pour automobiles, aidant des milliers de personnes par an, à accéder aux crédits automobiles, souvent sans apport personnel et sans garantie, j’ai décidé de répondre à l’appel qu’avait lancé le Président de la République d’alors, Son Excellence Me Abdoulaye WADE, demandant aux sénégalais de revenir apporter leur contribution au développement du pays.
J’ai décidé une fois arrivé au pays, de créer une société dénommée le Groupe SCAC Afrique SARL (Société de Crédit A la Consommation) Afrique auprès de la réputée notaire, Nafissatou DIOP CISSE. Dans le but de mieux aider à la décentralisation et de lutter efficacement contre l’exode rural et la pauvreté, j’ai décidé de modifier mon ancien fonctionnement des USA en l’adaptant à l’immobilier. Encore une fois, pour nous le but a toujours été de permettre à un individu lambda d’accéder à la propriété en deux phases :
Phase 1 : acquisition d’une parcelle de terre sans apport personnel et sans garantie
payable en 10 ans.
Phase 2 : Financement total des constructions payables sur 25 ans
Tout avait correctement commencé sur les sites de Kaolack, Diourbel et Saint-Louis-Louga, toutefois les dossiers de Thiès ont traversé toutes les épreuves du monde, de la délibération jusqu’à l’obtention de l’attestation de bail, c’est-à-dire que nous avons payé tous les frais auprès de Mr Ndiaga LO (remplacé par Pascal DIONE actuel Receveur des domaines de Thiès). Toutes les procédures jusqu’au CCOD, jusqu’au Ministère du budget (au temps du Ministre Mr Birane MANGARA), puis la primature (au temps de Son Excellence Abdallah Boune DIONNE), qui l’a diligenté à la présidence sous le Projet décret numéro FC 089 du 16/01/2015. Et jusqu’aujourd’hui nous n’avons pas le sésame de nos clients.
Peut-on parler de blocage dans le dossier du Groupe SCAC Afrique ?
J’ai connu plusieurs Présidents d’Afrique par l’entremise de notre ancien Président de la République Son Excellence Me Abdoulaye WADE et je leur reconnais un certain degré d’extrême occupation dont je ne peux leur tenir rigueur en tant que simple citoyen. Nul ne peut et ne doit les bousculer surtout lorsqu’on sait très bien que le nôtre n’est pas seulement là pour les intérêts de certains, mais plutôt pour tout le peuple. Toutefois, même si je me refuse à penser négativement, les faits restent éloquents. Force est de voir que pour l’un des plus grands projets immobiliers du pays en son temps, Le Groupe SCAC Afrique était et reste toujours voué aux gémonies, livré à lui-même sans aucun soutien administratif pour encourager cette initiative, livré à la vindicte populaire, insultée dans les radios nationales et les plateaux de télévision parce que tout simplement, l’administration est trop occupée pour signer son projet de bail, malgré le fait qu’on ait fait TOUT ce qui est humainement possible pour que le dossier arrive jusqu’à la Présidence. C’est l’endroit de prendre à témoin l’opinion, et le peuple Sénégalais. Tous doivent savoir que SCAC veut poursuivre sa mission d’offrir à chaque Sénégalais un toit et ce, malgré les circonstances actuelles.
Quel est le lien avec Alioune SARR et que revendiquez-vous alors face à leur projet ?
Mr Alioune SARR est le Maire de Notto Diobass et l’actuel Ministre du tourisme, et c’est lui qui nous avait octroyé cent trente hectares 130 ha à Mbomboye, pour lesquels nous avons préféré lui rétrocéder quatre-vingt hectares 80 ha sur une demande verbale de ce dernier après de violentes manifestations, organisées par une partie de la population. Nous parlons alors de Décembre 2009. Mes questions sont les suivantes :
- Si après 10 ans, les papiers nous permettant de livrer effectivement les parcelles à notre vaillante clientèle (4.000 dont 500 ont soldé, dispersés sur plusieurs sites) sont toujours bloqués, alors que nous avons rempli toutes les formalités administratives et payé toutes les sommes dues pour être régularisés, comment se ferait-il qu’une autre entité, serait-elle membre du gouvernement, démarre et obtienne tous ses documents aux yeux et sus des populations et de notre clientèle toujours en attente ?
- Pourquoi leurs documents sont-ils signés alors que les nôtres ne le sont toujours pas ?
- Pourquoi avoir choisi le site en face de celui du Groupe SCAC Afrique ?
- Que pense Alioune SARR des 4.000clients constitués en collectif et qui le suppliaient de le rencontrer en vain jusqu’aujourd’hui ?
- Y-avait-il une vraie raison pour bloquer les dossiers du Groupe SCAC Afrique ?
- Quelle était la vraie motivation derrière la décrédibilisation du Groupe SCAC Afrique ?
En refusant de bousculer l’administration, je mettais le tort sur les lenteurs de procédures et invitais tout le monde à être patient malgré les pertes sèches et la faillite presque cuisante au niveau national. Mais là je ne suis pas d’accord parce que selon moi, une bonne concurrence est saine pour l’économie d’un pays, mais, on ne peut pas courir avec quelqu’un dont on vient d’amputer les jambes.
Comment avez-vous survécu ces tsunamis ?
Dans un premier temps j’ai préféré me taire car je ne me reconnaissais pas dans ce que j’entendais et lisais. J’ai fait les choux gras de la radio et de la TFM au grand dam de ma famille et de mes amis d’enfance au pays. Il n’y a que DIEU, le travail et la détermination qui payent. Ce n’est alors que par la grâce de DIEU et le soutien du Président WADE que je m’en suis sorti. Il m’a ouvert la porte à d’autres pays et je me suis lancé. Toutefois mon inquiétude demeure pour mes 4.000 clients au Sénégal dont 500 qui ont soldé et n’arrivent toujours pas à entrer en possession de leur bien.
PS : Je suis à 1.000 % pour la construction de plus de logements, mais je suis encore plus pour l’équité et la justice dans la gestion de la chose administrative. Je garde énormément d’informations, de documents PDF, et autres informations que je réserve pour mes prochaines correspondances au cas où certains auraient besoin de clarification.
Participer à la Discussion