Après deux semaines de campagne relativement calme, le climat politique sénégalais semble se tendre à l’approche des derniers jours avant le scrutin. Si, au début, les débats se focalisaient sur les programmes et les propositions des différents partis, ce sont désormais les tensions et les affrontements qui occupent l’espace médiatique. Ce changement de ton s’est particulièrement illustré dans les affrontements entre les caravanes de Pastef et de Sàmm Sa Kàddu, deux formations dont les ambitions électorales s’entrelacent et s’opposent dans un contexte où chaque voix compte.
Les scènes de violence, notamment celles qui ont éclaté à Saint-Louis, sont révélatrices d’une atmosphère de plus en plus électrique. Ce n’est plus simplement une joute d’idées, mais une lutte de pouvoirs où les muscles semblent avoir remplacé les discours. Les vidéos circulant sur les réseaux sociaux montrent des scènes de violence choquantes, dignes d’une altercation entre agresseurs dans un magasin en plein jour, et non d’une campagne électorale censée se dérouler dans le respect des principes démocratiques.
Les autorités, en particulier le ministère de l’Intérieur, ont émis des mises en garde, mais cela ne semble plus suffire pour garantir la sécurité de tous les militants, quelle que soit leur affiliation politique. Les appels à la sérénité semblent ignorés, et la situation devient de plus en plus préoccupante. En effet, avec la retrouvaille des deux « doomou ndaye » à Dakar, la capitale sénégalaise, à l’épicentre des enjeux électoraux, les derniers jours de la campagne risquent d’être particulièrement chauds.
Il est désormais urgent que les forces de l’ordre, sous la direction du général Jean-Baptiste Tine, prennent pleinement la situation en main. La mission de la police n’est plus seulement de protéger les rassemblements et de maintenir l’ordre ; elle doit aussi garantir la sécurité des militants de toutes les coalitions en lice et prévenir tout dérapage violent. L’inaction pourrait ouvrir la voie à une escalade de la violence, dont l’impact sur le processus démocratique serait catastrophique.
Il est également crucial que les autorités s’attaquent fermement à la source de ces tensions : les discours incendiaires et provocateurs qui alimentent la haine et la division. Qu’ils proviennent de leaders politiques, de militants ou d’influenceurs sur les réseaux sociaux, ces propos doivent être sanctionnés avec la plus grande rigueur, peu importe le camp auquel ils appartiennent. Car à ce stade, il ne s’agit plus seulement de politique, mais de la préservation de la paix et de l’intégrité du processus électoral. Le Sénégal ne peut pas se permettre de laisser la violence s’installer dans son débat démocratique.
Plus jamais de gros mots, il faut s’attaquer aux maux des populations.
30 Commentaires
Dfgd
En Novembre, 2024 (14:02 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (14:08 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (15:08 PM);e cancer c'est vous les domerames haineux . vous ne faites plus de la poltique , vous etes une bande de polticiens aigris , jaloux de l'aura et de la popularite de sonko ..
Reply_author
En Novembre, 2024 (15:08 PM);e cancer c'est vous les domerames haineux . vous ne faites plus de la poltique , vous etes une bande de polticiens aigris , jaloux de l'aura et de la popularite de sonko ..
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En Novembre, 2024 (15:08 PM);e cancer c'est vous les domerames haineux . vous ne faites plus de la poltique , vous etes une bande de polticiens aigris , jaloux de l'aura et de la popularite de sonko ..
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En Novembre, 2024 (15:08 PM);e cancer c'est vous les domerames haineux . vous ne faites plus de la poltique , vous etes une bande de polticiens aigris , jaloux de l'aura et de la popularite de sonko ..
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En Novembre, 2024 (15:08 PM);e cancer c'est vous les domerames haineux . vous ne faites plus de la poltique , vous etes une bande de polticiens aigris , jaloux de l'aura et de la popularite de sonko ..
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En Novembre, 2024 (15:08 PM);e cancer c'est vous les domerames haineux . vous ne faites plus de la poltique , vous etes une bande de polticiens aigris , jaloux de l'aura et de la popularite de sonko ..
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En Novembre, 2024 (15:08 PM);e cancer c'est vous les domerames haineux . vous ne faites plus de la poltique , vous etes une bande de polticiens aigris , jaloux de l'aura et de la popularite de sonko ..
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En Novembre, 2024 (15:29 PM)Ousmane doit arrêter de prendre des décisions non collégiale, les militants de Yoro Foula et de velingara ont investi pour accueillir la caravane de Fastef. Les militants regardent le projet politique dont il adhèrent et se réunissent pour le porter à l'assemblée nationale et ce sera malheureux que quelqu'un pense que leurs yeux sont rimés sur lui pour ses beaux yeux. Ousmane ne doit pas se tromper en confondant avec le parti qui est l'effort coordonnés plusieurs individus, donc le parti doit primé sur les coups de tête d'une décision émotive de lui. Depuis quelques temps on a senti un changement d'attitude belliqueux chez lui avec ses bras dans le dos comme un Bokassa futur en gestation, ça ne me surprendrait pas un jour il cherche à faire voter une loi pour le transformer en empereur.
Dfgd
En Novembre, 2024 (14:03 PM)Reply_author
En Novembre, 2024 (14:10 PM)Du N'mporte Quoi
En Novembre, 2024 (14:26 PM)Adouna
En Novembre, 2024 (14:45 PM)Thiourayou Deummeu
En Novembre, 2024 (14:47 PM)Sonko Domeram
En Novembre, 2024 (15:12 PM)Ibrahim
En Novembre, 2024 (15:13 PM)Salla
En Novembre, 2024 (15:14 PM)Noura
En Novembre, 2024 (15:15 PM)Amadou Pastef
En Novembre, 2024 (15:17 PM)Gallo
En Novembre, 2024 (15:18 PM)Mamadou Diop
En Novembre, 2024 (15:18 PM)Lamine Touré
En Novembre, 2024 (15:19 PM)Sidy Ba
En Novembre, 2024 (15:20 PM)Rosa
En Novembre, 2024 (15:22 PM)Seydou Diop
En Novembre, 2024 (15:23 PM)Verite
En Novembre, 2024 (15:24 PM)Habib Dia
En Novembre, 2024 (15:24 PM)Lamine Thiam
En Novembre, 2024 (15:25 PM)Lamine Thiam
En Novembre, 2024 (15:25 PM)Yalamine Faye
En Novembre, 2024 (15:26 PM)Talla Sylla
En Novembre, 2024 (15:26 PM)Helene
En Novembre, 2024 (15:26 PM)Gadiaga Diop
En Novembre, 2024 (15:27 PM)Demba Faye
En Novembre, 2024 (15:28 PM)Rabine Gaye
En Novembre, 2024 (15:29 PM)domo meuss degg ndakh dagua meune fene sa khol bone
Hier à Ziguinchor je me suis rendu à la tombe de mon père et j’ai demandé à ma mère de prier pour moi. Je suis prêt à laisser ma vie dans ce combat”.
Sonko n’entend pas se livrer à ”des magistrats comploteurs choisis par Macky Sall”.
"Si Macky Sall ne recule pas, soit il nous tue, soit nous le tuons"
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