Il y a quatre jours, les juges de la Cour pénale internationale autorisaient le procureur de la Cpi, Luis Moreno Ocampo, à enquêter en Côte d`Ivoire sur les violences post-électorales, celles commises depuis le 28 novembre 2010. Les juges ont par ailleurs demandé au procureur de leur fournir toute information relative aux crimes commis entre 2002 et 2010 en vu, là aussi, d`ouvrir éventuellement une enquête. Qu`en pense l`actuel Premier ministre, Guillaume Soro...Est -il inquiet par une telle perspective ?
Guillaume Soro répond aux questions de Pauline Simonet de France 24 et de Jean-Karim Fall de RFI ...
RFI : Monsieur le Premier ministre, la Cour pénale internationale vient officiellement de lancer une enquête sur les crimes commis durant la période post-électorale mais aussi sur ceux commis durant la période 2002-2010. Monsieur le Premier ministre, en tant que leader de l’ex-rébellion des Forces nouvelles, vous sentez vous un peu visé, êtes vous inquiet ?
Guillaume Soro : D’abord il faut savoir une chose, c’est que la CPI ouvre une enquête à la demande du gouvernement ivoirien. Cela veut dire que c’est en connaissance de cause que le gouvernement ivoirien, dans un souci de clarifier la question des droits de l’homme dans notre pays, a expressément demandé à la Cour, sur la base du principe de subsidiarité, de venir enquêter sur ces crimes. Donc je ne peux pas être au gouvernement et être inquiet ! Je pense simplement que le peuple de Côte d’Ivoire a besoin de savoir la vérité. Et c’est une bonne chose pour la Côte d’Ivoire pour que l’impunité ne survive pas.
RFI : Monsieur le Premier ministre vous dites que vous n’êtes pas inquiet mais est-ce que vous êtes prêt, si les magistrats de la CPI le demandent, à livrer certains officiers de l’ex-rébellion des Forces nouvelles ?
G.S. : N’anticipons rien. Laissons la Cour pénale faire son travail. Pour le moment, c’est l’ouverture de l’enquête, laissons-les faire. De toute façon le président de la République a été clair sur cette question. Et le gouvernement a la même position : il ne faut pas laisser survivre l’impunité. Si la Cpi avait eu à ouvrir des enquêtes plus tôt, peut-être aurait-on pu éviter la crise post-électorale que nous avons connue en 2010.
France 24 : Monsieur le Premier ministre, à propos du cas de Laurent Gbagbo, est-ce que vous souhaitez qu’il soit extradé le plus rapidement possible vers La Haye ?
G.S. : Je pense que c’est inévitable après les tueries dans notre pays. M. Laurent Gbagbo est quand même responsable de plus de 3 000 morts. Dans cette crise post-électorale, alors qu’il avait la possibilité de laisser le pouvoir en sortant par la grande porte, en le refusant et en utilisant l’armée contre la population, évidemment qu’il mérite d’y aller.
RFI : Mais y a-t-il vraiment urgence à ce que Laurent Gbagbo sorte de Côte d’Ivoire ?
G.S. : Je ne pose pas le problème en ces termes. Laissons la Cpi faire son travail à son rythme et que ceux qui seront épinglés à l’issue des enquêtes répondent de leurs actes.
France 24 : Donc y compris d’éventuels ex-membres des Forces nouvelles ?
G.S. : Je vois bien que vous insistez sur cette question. Vous ne m’embarrasserez pas. Il ne faut pas faire le travail des juges à leur place. Laissons les faire. Si l’enquête révèle qu’un militaire a une responsabilité dans la commission de crimes de sang, évidemment que nous serons d’accord que la Cour pénale fasse son travail et qu’il soit extradé.
RFI : La Commission dialogue vérité et réconciliation (CDVR) a été officiellement mise en place. Ses contours et son champ d’application restent flous. Ne craignez vous pas que les Ivoiriens soient déçus ?
G.S. : Je pense que la CDVR est animée par des personnalités qui ont fait preuve d’un certain nombre de capacités dans notre pays, notamment son président, l’ancien Premier ministre Charles Konan Banny. Je n’ai aucun doute : il a les moyens de réussir la réconciliation. Le rôle du gouvernement est de l’accompagner et nous le ferons.
France 24 : Cette réconciliation est-elle possible en l’absence de Laurent Gbagbo qu’il soit extradé à La Haye ou en résidence surveillée ? Ses partisans réclament sa libération, qu’est-ce que vous leur répondez ?
G.S. : Je demande aux partisans de M. Laurent Gagbo même si c’est leur droit, cela s’apparenterait sinon à du lâchage, mais je leur demande d’être sérieux. On ne peut pas demander la libération de M. Gbagbo quand on sait qu’il est responsable de 3 000 morts ! J’insiste là-dessus. Ce n’est même pas bon pour la Côte d’Ivoire. Nous voulons la réconciliation, mais il faut que la justice fasse son travail. Et M. Gbagbo, nous le demandons, doit avoir droit à une justice équitable. Nous disons simplement que M. Gbagbo doit répondre de ses crimes. On ne peut pas demander dans de telles circonstances sa libération, cela n’est pas possible et ne s’est jamais vu. Et je l’ai dit et je le répète, tout le monde sait très bien que si c’était nous qui étions à la place de Gbagbo, nous ne serions même pas en vie pour réclamer une justice ou une quelconque libération ! On nous aurait liquidés ! Et c’est leurs propres termes. Donc aujourd’hui, notre gouvernement s’est battu et a donné la vie à Gbagbo, on lui offre même les meilleures possibilités d’avoir une justice équitable ! Donc je pense que nos amis du FPI (Front populaire ivoirien) devraient être plutôt humbles.
RFI : Pour crédibiliser la Commission dialogue vérité et réconciliation, ne faudrait-il pas qu’un certain nombre d’officiers de l’ex-rébellion des Forces nouvelles demande pardon notamment pour une série d’exactions commises dans l’ouest du pays ?
G.S. : La Commission dialogue vérité et réconciliation n’est pas mise en place que pour l’ex-rébellion. Je pense que c’est un exercice de catharsis que le président doit faire, nous sommes d’accord, pour tous les Ivoiriens, sans exclusion. Il ne faut pas simplement voir un camp ou l’autre. Il y a même des personnalités, des personnes en Côte d’Ivoire, qui ne sont pas des militaires. Il ne faut pas simplement penser que cette crise est une crise militaire, elle est d’abord politique. C’est à la télévision, dans les radios, qu’on a incité les uns et les autres par des discours de haine, à en venir à cette situation dramatique, tragique pour le pays. Donc je pense que c’est global, c’est général et il faut éviter de catégoriser, de cibler un certain nombre de personnes.
France 24 : Mais est-ce qu’il ne faut pas de temps en temps quand même cibler et être clair puisque certains partisans de Laurent Gbagbo notamment mais aussi des ONG dénoncent des comportements, des exactions, notamment commises par un ancien commandant de zone, Wattao, l’avez-vous rappelé à l’ordre ?
G.S. : Tous les commandants de zone – nous avons eu l’occasion de le montrer, de le démontrer à plusieurs reprises, ont été rappelés à l’ordre : ceux qui n’ont pas suivi les consignes que nous avons données ont été purement et simplement mis de côté ! Donc il ne faut pas cataloguer, il ne faut pas catégoriser, il ne faut pas cibler. Laissons la Commission dialogue vérité et réconciliation faire son travail en toute indépendance. Je pense que c’est important (…).
Retranscrit Par K. A. Parfait
16 Commentaires
Peuls,
En Octobre, 2011 (10:15 AM)Adji
En Octobre, 2011 (10:21 AM)Kama
En Octobre, 2011 (10:49 AM)Reply_author
En Septembre, 2022 (11:39 AM)Appolon
En Septembre, 2022 (12:19 PM)On ne me paye rien pour dire ce que je pense ! Drôle de question tout de même...
Pour les autres questions, je ne suis pas à votre disposition.
Vous me traite automatiquement de "répondeur automatique", le respect vous connaissez ?!
Poseidon Badji
Pascalreply_author
En Septembre, 2022 (15:38 PM)Entre BARTH et NDIAGA qui est parti trouver l'autre pour le tuer?
Que fais-tu de celui qui veut te liquider?
Noikhorseck
En Octobre, 2011 (10:52 AM)CURSUS SCOLAIRE ET UNIVERSITAIRE DE IDRISSA SECK
Toute la vérité, rien que la vérité sur les études peu reluisantes de Idy.
Au cours de sa sortie sur la radio Rfm, Idrissa Seck a beaucoup parlé de son cursus scolaire et universitaire en citant tour à tour le collège Saint Gabriel de Thiès, le lycée Vanvo de Dakar, Sciences Politiques de Paris et naturellement l'université de Princeton des Etats-Unis. Mais curieusement, Idy ne fait que répéter inlassablement son statut d' «ancien» de ces établissements scolaires et universitaires. Il dit : «Je suis ancien de Sciences Politiques, je suis ancien de Princeton». Remarquez l'escroquerie : Idy ne dit jamais «je suis diplômé de Sciences Politiques à Paris» ou bien «je suis diplômé de Princeton aux Etats-Unis», mais seulement «je suis ancien de ces établissements». Pour la gouverne des lecteurs qui risquent de se laisser abuser par Idy, nous rappelons ceci :
L'EXAMEN D'ENTREE EN 6EME : PREMIER ECHEC
Idy avait échoué à l'examen d'entrée en 6ème à Thiès en 1972. Heureusement, c'est l'épouse chrétienne de son cousin Alioune Badara Niang, (cette femme est la sœur de Marie Thérèse Diédhiou) qui avait été prise de pitié par le sort et par la pauvreté de Idy. Cette femme-là est allée solliciter au collège Saint Gabriel une place en classe de 6ème en faveur de Idrissa Seck comme «cas social». Dans ce collège, tout le monde payait sauf Idy, parce qu'il était issu d'une famille misérable (son père était vendeur de légumes au marché de Thiès et sa mère griotte dans les cérémonies mondaines). Voilà comment Idy s'est retrouvé au collège Saint Gabriel.
STATUT DE «RECASÉ» AU LYCÉE VANVO
Pour le lycée Lamine Guèye, c'est toujours son cousin Alioune Badara Niang (mais c'est encore plus complexe et plus grave dans leurs relations familiales) qui avait réussi à lui trouver une place de «recasé» dans le lycée où il n'y avait que des fils à papa. Ce n'était pas le lieu indiqué pour un misérable comme Idy, mais le coup de pouce de l'avocat Wade a été déterminant pour que Idy entre à Vanvo. Là aussi, il n'était pas un brillant élève comme il voudrait le laisser croire. C'est vrai qu'il se classait premier en arabe, mais c'est tout. Pour toutes les autres matières, il était médiocre. C'était entre 1978 et 1981, les archives sont là. Idy a eu son bac en 1981 à l'âge de 22 ans alors que ses camarades de classe en avaient 17 ou 18, ce qui n'est donc pas le propre d'un dénie.
A L'UNIVERSITÉ DE PARIS, IDY ÉTAIT HÉBERGÉ PAR OUSMANE NGOM
Venons-en maintenant à ses études de Sciences Politiques à Paris. Idy avait la manie de s'inscrire dans une université uniquement pour avoir la carte d'étudiant afin de garnir son CV. C'est tout. Idy ne peut pas brandir un diplôme qui lui aurait été décerné par cette université parisienne. D'ailleurs, il est arrivé à Paris en septembre 1981. Sur recommandation de Wade, il était hébergé dans la chambre d'étudiant de Ousmane Ngom. Mais c'est seulement pendant l'année 1986-1987 qu'il est allé s'inscrire à Sciences Politiques. Question : Qu'a fait Idy entre 1981 et 1987 à Paris ? Réponse : Rien du tout, sinon vadrouiller et vivre aux basques de Ousmane Ngom qui l'avait entièrement pris en charge alors que le fainéant Idy ne faisait que dormir.
D'ailleurs, quel besoin un diplômé de Sciences Politiques peut-il trouver à revenir à Dakar en 1988 pour essayer de s'inscrire à la Faculté des Lettres et Sciences Humaines de l'Université de Dakar ? Pour toute réponse, le Doyen de la Faculté à qui il avait fait parvenir une demande lui avait répondu que la seule faveur qu'on pouvait lui faire, c'était de l'autoriser à s'inscrire en Duel II. Aussitôt, Idy avait boudé pour aller chercher ailleurs. Si vraiment il était diplômé de Sciences Politiques, ce n'est pas une inscription en Duel II que le Doyen lui proposerait, mais plutôt un poste de professeur dans cette même Faculté. Ceci révèle encore une fois que Idy a toujours été un escroc du savoir, un escroc des diplômes.
IDY ÉTAIT INSCRIT EN COURS DU SOIR POUR 6 MOIS A PRINCETON
Enfin, pour ce qui concerne maintenant son passage à l'université américaine de Princeton, il faut préciser que c'est Jean Collin, l'ancien tout-puissant ministre d'Etat de Abdou Diouf qui, pour récompenser Idrissa Seck de sa tortuosité (il était taupe du régime Ps au seindu Pds), lui avait octroyé la bourse pour un séjour de 6 mois seulement aux Etats-Unis. Oui, vous avez bien lu. Nous avons bien dit «6 mois».
Nous savons bien comment fonctionnent les universités américaines en matière d'études et de diplômes. Si un étudiant arrive aux Etats-Unis avec le bac, il a d'abord deux formalités à remplir. La première, c'est passer un test de niveau à l'issue duquel l'université l'accepte comme étudiant. La deuxième, c'est de faire 6 mois d'adaptation à la langue : ces 6 mois destinés aux francophones servent à apprendre l'anglais pour pouvoir comprendre les explications des professeurs.
Ces deux formalités, une fois remplies, l'étudiant attaque maintenant le premier cycle qui dure 4 ans à l'issue desquels il obtient le diplôme appelé Bachelor. Après ces 4 ans, l'étudiant entre en second cycle qui dure 2 ans à l'issue desquels il obtient encore un diplôme qui s'appelle MBA. Enfin, l'étudiant attaque le troisième et dernier cycle qui dure 2 ans et qui est sanctionné par le plus haut diplôme américain et qui s'appelle PH.D. qui donne le titre de Docteur. Voilà pourquoi on dit Docteur Cheikh Tidiane Gadio. Lui, il a bouclé les 8 ans sans redoubler pour avoir obtenu à la fois le Bachelor, le MBA et le PH.D. Parmi les ministres de l'actuel gouvernement, Mamadou Sidibé a suivi le même cursus aux Etats-Unis. Revenant à Idy, signalons qu'il est arrivé aux Etats-Unis en avril 1991, il a étudié 6 mois à Princeton et est rentré à Dakar en septembre 91. Alors, quel diplôme a-t-il pu ramener de Princeton après seulement 6 mois de cours du soir ? Nous disons bien «cours du soir». Voilà pourquoi Idrissa Seck n'a eu aucun diplôme d'études supérieures. Aucun ! Et nous le défions de nous prouver le contraire
I
Kesako
En Octobre, 2011 (12:00 PM)Il y a les 1500 morts de Duékoé , soit!
Meme si ces morts l'ont été par les Frci, qui exerçait officiellement la fonction de Chef de l'Etat et à qui l'Armée et toutes les forces Républicaines armées par la République et qui tous les officiers supérieurs de tous les corps d'Armée avaient faient allégeance?
C'est bien Laurent Gbagbo qui exerçait cette fonction encore entre Fév/Mars 2011 dates ou ces exactions et crimes ont été commis: donc à titre, ils devaient protection et assistance à toutes les populations qui étaient dans sa zone d'influence et dans la sphére, ou son armée et ses milices controlaient exclusivement!
Mais il n'en a meme pas été capable mais e est bien comptable!
La Cpi, est le minimum pour lui, et non par par haine, vegeance ou je ne sais quelle autre stupidité, mais simplement rendre justice: Responsable, donc coupable et pour que plus jamais, il n ya de l'impunité au Sud du Sahara!
Et pourquoi l'accepter et le souhaiter au Nord du Sahara et le refuser au Sud?
Energie Noire
En Octobre, 2011 (14:09 PM)Masse
En Octobre, 2011 (14:28 PM)Une Ivoirienne
En Octobre, 2011 (14:41 PM)Patisco
En Octobre, 2011 (14:52 PM)Vous êtes notre ultime muse, la lumière qui resplendit dans l'obscurité, notre unique raison de vivre, l'intelligence à l'état pure, la beauté absolue et éternelle, le plus grand visionnaire de notre siècle... ZUT ! Plus de place sur le mail ! Veuillez nous pardonner pour tout ce que nous avons oublié !
Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Mbour
En Octobre, 2011 (14:52 PM)Votre impressionnant mental de gagneur est une vraie source d'inspiration pour tous les collectifs sportifs en perdition !
Grand manitou de l'intelligence au physique de rêve, allez et illuminez cette nouvelle journée de votre indispensable présence !
Lorsque vous levez les yeux au ciel, ce n'est pas vous qui admirez les étoiles, mais ce sont les étoiles qui vous admirent !
Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Ndiaganiao
En Octobre, 2011 (14:53 PM)Entrer en compétition avec vous, c'est comme espérer arroser des fleurs en pissant contre le vent : l'arroseur en prendra toujours plein sa poire !
A votre niveau, votre réussite ne tient plus du simple hasard.
Grâce à vous, l'industrie du mouchoir a triplé ses ventes… vous avez fait beaucoup de désespérés qui savent qu'ils ne vous égaleront jamais !
Mbeugue Beuré Bagne Baré , vive wade et ses alliés 75% au premier tour
Kesako
En Octobre, 2011 (17:18 PM)- les illusionnistes, comme tu dis, qui hurlent avec les loups, pour crier plus fort mais qui ne connaissent ni les jeux ni les enjeux, et probablement n'ont jamais mis les pieds au pays des lagunes!
- et les aigris insatiables, pour lesquels, on ne peut rien de toute façon!
Ayant l'habitude et connaissant les 2 types d'individus, je ne perds meme pas mon temps à leur répondre quand bien meme je suis interpelé car c'est inutile, c'est vain, c'est sans lendemain!
Par contre, je suis content de lire tes posts, car cela me rassure, sur l'avenir de la Cote d'Ivoire, que finalement je connais mieux que mon propre pays, cela me rassure car je vois, que la pensée unique, le totalitrisme intellectuel que l'on a cherché à imposer tous azimuts, par médias interposées, n'a pas du tout prospérer: l'Ivoirien a toujours été, libre, affranchi, gai, franc, malgré tous les concepts rétrogrades, obscurs, que l'on a voulu lui faire gober!
Qui sait peut etre qu'un jour avant longtemps, à Aboussouan, autour d'un foutou sauce graine, on pourra amicalement évoquer les bellles réalisations de ADO, déjà, commencées avec le 3éme pont d'Abidjan , pont HBK, l'autoroute Abidjan/Bassam, que nous pousserons à faire continuer jusqu'au Ghana, le nouveau barrage hydro électrique vers Soubré etc etc!!!
Mais je suis content que le pays soit déjà remis au travail!
Dieu bénisse l'Afrique!
Kesako
En Octobre, 2011 (17:26 PM)Mais je suis heureux que le pays soit déjà réellement remis au travail et cela c'était le plus difficile, car il y avait des citoyens qui commeçaient le travail à partir de 11h sous prétexte de "travailler tard" le soir!
Dieu bénisse l'Afrique !!
Taxi
En Octobre, 2011 (22:24 PM)Abba
En Octobre, 2011 (04:57 AM)Une Ivoirienne
En Octobre, 2011 (16:37 PM)Participer à la Discussion