Dans un communiqué publié ce lundi 3 avril, le Ministère des Affaires étrangères et des sénégalais de l'Extérieur affirme avoir pris connaissance de la disparition « d'une vingtaine de nos compatriotes », qui tentaient de rejoindre l'Europe de manière irrégulière, à la suite du naufrage de leur embarcation aux larges de la Méditerranée, dans la nuit du 23 au 24 mars 2023.
La note informe qu’immédiatement, une équipe de l'Ambassade du Sénégal en Tunisie s'est rendue dans la ville portuaire de Sfax, point de départ desdites embarcations, pour une mission d'identification.
« A ce jour, aucune des dépouilles repêchées par les garde-côtes tunisiens ne correspond à nos compatriotes portés disparus », renseigne le communiqué.
« Le Ministère a instruit l'Ambassade de rester en contact permanent avec les Autorités de ce pays et le Croissant rouge tunisien, pour suivre les opérations de repêchage et d'identification des victimes, en vue de prendre les mesures idoines », conclut le communiqué.
7 Commentaires
Foulbés
En Avril, 2023 (19:31 PM)Reply_author
En Avril, 2023 (21:04 PM)Ce qui par contre est impossible c est accueillir toute la jeunesse désoeuvrée de la sous région africaine ! Marchez sur Dakar, plus de 6 personnes que vous rencontrez sur 10 est un guinéen ou un malien ou une autre nation !
Bientôt la ligne de rupture sera atteinte et ceccsera un véritable carnage ! Cela s est déjà passé en Afrique du sud; et présentement la Tunisie ! Retournez chez vous pour développer votre propre pays que ce soit la guinée ou le mali !
Kassem Diop
En Avril, 2023 (05:59 AM)Senegalais
En Avril, 2023 (09:03 AM)En 2004,il nous disait qu il prendra ce chemin quelqu en soient les conséquences,soit il entre en Espagne,soit il meurt en route.A l époque,nous étions tous au chomage;nous qui sommes restés,avons pu trouver aussi du travail,comme lui aussi,heureusement sur place.
Mais,dans notre cas,nous avions aussi une part de responsabilité a un moment donné ,sur notre sort,car pendant plusieurs années,certains d entre nous ne faisaient pas le necessaire,pour tenter de gagner notre vie localement : certains pouvaient faire du petit commerce,d autres pouvaient pouvaient s adonner a des activité d embouche,compte tenu des potentialités de la zone ou nous vivons;mais le fait de voir les émigrés revenir avec un certain statut ,nous faisait réver.
Aux jeunes,je conseillerai de chercher a se former dans certains domaines,d entreprendre en fonction des potentialités de leurs terroirs respectifs,en attendant d avoir mieux;et si le voyage est semé d innombrables embuches,de refléchir murement avant de se lancer dans ces périples ou il existe toutes sortes de groupes criminels qui opèrent sans scrupule.
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