Les travaux du sommet extraordinaire de la Communauté économique des Etats d’Afrique de l’Ouest (Cedeao), ont débuté mardi en fin de matinée à Abuja, avec comme principal point à l’ordre du jour, la situation politique au Burkina Faso.
Au cours de ce sommet, le président Macky Sall présentera, à l'appréciation de ses homologues, le projet d'Accord de sortie de crise élaboré suite aux consultations qu'il a menées à Ouagadougou.
La cérémonie officielle d'ouverture de la Conférence s'est poursuivie par une séance de débats à huis clos à laquelle prennent part sept chefs d'Etat ouest africains présents dans la capitale fédérale nigériane.
Le président en exercice de la Cedeao, a rappelé, que le sommet discutera principalement du préaccord en 13 points obtenu dimanche, au terme de trois jours de tractations, devant aider le Burkina à surmonter la crise née du coup d'Etat perpétré par le Régiment de Sécurité Présidentielle (RSP).
‘'Il est nécessaire de pardonner et de repartir sur de nouvelles bases'', a clamé le président Sall, parlant de l'amnistie aux putschistes du RSP, un des points contestés par les responsables de la transition et la de société civile burkinabé.
Il a aussi soutenu que le pouvoir des militaires doit être retourné aux civils.
Entres autres points, la médiation de la CEDEAO propose l'acceptation du pardon et de l'amnistie pour les conséquences liées au coup d'État, l'organisation des élections le 22 novembre avec la participation des candidats exclus. Elle recommande aussi le rétablissement de la transition avec le président Michel Kafando
32 Commentaires
Anonyme
En Septembre, 2015 (14:29 PM)Peut etre la seule voie por se libérer définitivement des militaires ...
Pds
En Septembre, 2015 (14:30 PM)CAMEROUN :: DÉTENTION ARBITRAIRE : PLAIDOYER POUR LE RESPECT DU GROUPE DE TRAVAIL ONUSIEN :: CAMEROON
L’Association Atangana contre l’oppression et l’arbitraire (Aacoa) s’indigne à la suite des insultes proférées dans la presse sénégalaise contre le Groupe de travail sur la détention arbitraire des Nations- Unies.
Le ton est monté de plusieurs crans. L’Association Atangana contre l’oppression et l’arbitraire (Aacoa) est passée à l’offensive. Tout de go, l’Aacoa dégaine. Un extrait du communiqué parvenu à la rédaction centrale du Messager est évocateur. «Proférer des insultes au remplaçant de Malick Sow au Groupe de travail comme l’ont fait la délégation des 20 membres du Sénégal à la session du 2 septembre, est une abomination. La bienséance, le minimum, veulent qu’on ne commente pas une décision de justice. Les délibérations du Groupe de travail sont confidentielles. Les rumeurs dans la presse sénégalaise sont la preuve que ceux qui étaient là, ont voulu volontairement diffuser des informations orientées, qui ne devraient pas être divulguées sur le déroulement de la session. Avec tout ce qu’on lit aujourd’hui dans la presse sénégalaise, on se rend aisément compte que la délégation sénégalaise attaque un homme – Roland Adjovi – pour essayer d’atteindre l’institution. C’est l’Afrique qui attaque un représentant africain. C’est un réflexe tribaliste que d’aller chercher dans les origines d’un membre du Groupe de travail pour taxer une décision d’impartiale. Comment l’Afrique peut-elle se développer avec de tels arguments ? Quand la forme est attaquée, c’est que le fond ne tient pas. Les fonds publics africains ne doivent pas servir à promouvoir le tribalisme» condamne l’Aacoa.
Pour Michel-Thierry Atangana, le renforcement des capacités de la Cour pénale internationale, qui est «seule garante de l’indépendance des juridictions quand les nationales sont défaillantes, est un impératif. On l’a vu dans l’affaire Michel-Thierry Atangana. Le ministre de la Justice donner des ordres, exploser la collégialité des juges le jour du délibéré». Dans l’avis n° 38/2013 concernant Michel-Thierry Atangana, les trois catégories de la détention arbitraire sont visées. « On a vu le président camerounais commenter et analyser une décision de justice devant son homologue français. Est-ce le rôle d’un président de la République que de commenter une décision de justice ?» s’interroge-t-il.
Pour conclure, une Afrique moderne, se doit de renforcer les capacités de la justice. La Cour pénale internationale sur les cas de crimes collectifs, la section spécialisée des Nations- Unies qu’est le Groupe de travail, mérite une attention, un respect de tous les Etats signataires du Pacte international sur les droits civils et politiques, la Charte des Nations-Unies dont les termes sont contenus dans le bloc constitutionnel de tous les Etats africains. « Evoquer la souveraineté chaque fois qu’une décision de justice ne nous est pas favorable est profondément choquant. On ne peut pas être membre des Nations Unies seulement quand cela nous arrange. On ne peut pas revendiquer où juger Hissène Habré quand cela nous arrange, et détenir arbitrairement un citoyen au Sénégal comme ce fut le cas pour Michel-Thierry Atangana pendant 17 ans au Cameroun. Il faut promouvoir le Groupe de travail qui défend les cas particuliers» soutient l’ex-pensionnaire de la prison secondaire de Yaoundé logée au secrétariat d’Etat à la gendarmerie
Analyste1
En Septembre, 2015 (14:31 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (14:32 PM)Prokureur
En Septembre, 2015 (14:34 PM)Pourquoi parler de pardon ? Il faut inculquer la culture de la responsabilité. Une faute ca se paie !!!
Anonyme
En Septembre, 2015 (14:35 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (14:36 PM)Mansawali Walimansa Presidium
En Septembre, 2015 (14:37 PM)'' Il est nécessaire de pardonner et de repartir sur de nouvelles bases'' ! Macky Sall dixit
ET C'EST VRAI QUE LA MEILLEURE VOIE VERS LA TRANSITION DEMOCRATIQUE EST PAVEE DES MEILLEURS INTENTIONS DE CETTE NOBLE INTELLIGENCE POLITIQUE QUI MEUT LA DYNAMIQUE DE LA MISSION ASSIGNEE AU PRESIDENT MACKY SALL
PRIONS DIEU POUR LUI ET POUR SES PAIRS AFRICAINS PRESENTS A ABUJA
Anonyme
En Septembre, 2015 (14:44 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (14:47 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (14:55 PM)QUE JUSTICE SOIT FAITE.
PARDONNEZ A HABRÉ OU KARIM ALORS
Anonyme
En Septembre, 2015 (14:56 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (15:00 PM)Gax
En Septembre, 2015 (15:06 PM)From Zion
En Septembre, 2015 (15:13 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (15:19 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (15:22 PM)Amen
En Septembre, 2015 (15:27 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (15:32 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (15:38 PM)2 -On admettant qu'il soit coupable de prévarication ,ils admettent qu'il a fait perdre au Sénégalais leur argent.
3 - Donc c'est au Sénégalais (une partie des Sénégalais) qu'il faut demander de pardonner.
4- Pourquoi pardonner à Karim Wade seulement ?
Bindia
En Septembre, 2015 (15:41 PM)Sankariste
En Septembre, 2015 (15:47 PM)Bledar
En Septembre, 2015 (15:48 PM)Sankariste
En Septembre, 2015 (16:01 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:09 PM)Sam
En Septembre, 2015 (16:12 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:14 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:45 PM)Anonyme
En Septembre, 2015 (16:52 PM)Lebou
En Septembre, 2015 (17:09 PM)Anonyme Le Paysan
En Septembre, 2015 (13:19 PM)Arona Ndianor
En Septembre, 2015 (13:52 PM)Participer à la Discussion